Shinobi no Naruto V2.1
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 Mission rang S, un combat sanglant.

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Eaque
Bras Droit de Kiri
Eaque


Messages : 143

Fiche ninja
Niveau: 49
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MessageSujet: Mission rang S, un combat sanglant.   Mission rang S, un combat sanglant. EmptySam 23 Mai - 2:48

La guerre n’est qu’une excuse pitoyable que les hommes utilisent afin de justifier leur folie croissante et leur envie de contrôler encore plus le monde au creux de leur main pourris et dégoulinante d’un sang noir et impur arraché aux entrailles de la terre qu’ils martèlent de leurs pieds et de la lame de leur épée, ou qu’ils brulent et meurtrissent à l’aide techniques ninjas qui chaque jour faisaient souffrir encore plus le monde que nous foulions de nos pieds.
Les hommes ne sont que des amas de chair bon à nourrir les asticots, a quoi bon la folie du pouvoir, puisqu’on finit toujours 6 pieds sous terre… A quoi notre quête de puissance et de destruction nous mène alors lorsqu’on se retrouve ensevelis dans le cœur de la reine terre qui nous garde a jamais en son sein comme des enfants adorés, même si indignes de sa tendresse.
Seul ceux que le ciel accueillait entre ses mains délicates, des êtres comme moi étaient les seuls à pouvoir s’élever au dessus de la banalité humaine dans les cieux divins, tel le roi Garuda. Oui, j’étais le divin Garuda qui de ses ailes apportaient le message de la mort, de la souffrance et de la domination la plus barbare sur les être faibles et ignares qui tels des pantins désarticulés s’agenouillaient devant la prestance de l’oiseau sacré qui tel le phénix éclairait leur âme si faible d’un océan de puissance et de terreur.
Aujourd’hui encore, le sang allait couler et souiller la terre de son odeur ferreuse et âpre et teinté la poussière nouvelle d’une couleur ocre, témoin du festin sauvage que la folie destructrice de l’homme allait encore une fois livrer aux yeux de ce monde maudit par son existence et la souillure humaine.
Le spectacle d’un monde incandescent allait s’offrir aux yeux du ciel qui, rompu par la souffrance de l’homme, si fou, si stupide, teinterait alors sa robe d’un rouge écarlate en signe de pitié et de colère envers eux qui s’offrait à cette débauche sanglante et si empreinte de folie qu’elle ébranlait les fondements de la création. De tels évènements sont aptes à retourner la voute céleste sous un jour sanglant qui ferait s’abattre le déluge d’une tristesse incommensurable, comme si les dieux se penchaient enfin sur le monde qu’ils gouvernaient sois disant, regrettant leur manque d’attention, et le manque de sagesse des hommes.

Déjà 4 jours de marche à travers champs et villages et ruines, l’odeur putride de la mort régnant en maître sur un sol ravagé par la guerre et la souffrance. Habitué à la guerre, je n’étais guère émue par les visions chaotiques de villages en ruines dont la fumée s’élevant en spirale grisâtre témoignait d’une récente bataille dans laquelle les villageois innocents avaient été pris. C’est ce qu’on l’on appelait les dommages collatéraux. Mais plus terrible encore que les ruines, pire encore que les flammes sucrés et déchirantes qui mordaient la terre et le ciel, c’était les massacres en tout genre que ces ninjas stupides livraient en ces lieux, témoin de la folie et de ce que certains ancêtres disaient : « l’homme est capable de tout, du bien, comme le pire » et ce que nous voyions était bel et bien le pire… C’était des scènes d’une violence inouïe auxquels j’étais habitué, des scènes qui ne me faisait plus grand-chose, à part émoustiller encore plus ma rage de combattre des adversaires de plus en plus proches, de leur montrer que c’était moi le plus cruel, celui qui soumettrait leur folie et leur semblant de liberté sous un étendard de souffrance et de mort.
Mais ce qui me laissait indiffèrent ne faisait qu’affecter de plus en plus, chaque jour qui passe, le moral de mes troupes qui avançaient en rang bien ordonnés vers le lieu de l’exécution.
En effet, sur plusieurs des villages s’offrait à nous un spectacle d’une barbarie ignoble. Tel un amas de chair purulent dévorés par les incestueux asticots et autres rapaces en incessantes quête de carnage et de massacre, se dressait parfois au cœur du village un immense charnier… Montagne de cadavre dont els visages semblaient à jamais figer dans une expression de peur obscure, une peur que seul le doigt griffu et blanchâtre de la mort pouvait souffler au creux de nos cœurs, une peur telle que les fondements de notre âme semblaient alors s’écrouler sous le poids de la détresse.
Le plus marquant tableau représentant la décadence et l’ascension de la violence et de la soif de guerre au cœur même de l’âme de nos futurs ennemis s’était illustré dans un petit village que nous avions fouillé le jour précèdent. Au cœur même de la place centrale du village, une montagne de corps sanguinolent se dressait tel l’œuvre grotesque d’un démon à l’esprit torturé, un charnier répandant une odeur infecte de décomposition, de chair brulée et de désespoir. Au sommet de cette montagne grotesque se dressait tel l’étendard d’une folie absurde une pique sur lesquelles était fiché, figure grotesque et malsaine, le corps d’un nourrisson dont les larmes cristallines s’étaient à jamais figés sur les joues roses de cet être.
Bien que dans un tel spectacle je pouvais entre apercevoir la beauté de la guerre, bien qu’ici elle soit dénuée de logique et de cœur, mes hommes eux ne pouvait que détourner les yeux de ce carnage qui annonçait encore plus de sang et de violence.
Mis à part moi, les seuls à y trouver leur compte étaient les rapaces qui caquetaient de joie en se battant pour un morceau de viande, en arrachant de toutes leurs forces des lambeaux de chairs d’un rouge sombre, ou un morceau de viscère qu’ils bâfraient avec contentement.
Comme me le disait mon chef d’équipe autrefois, ce n’est là que les affres de la guerre, une chose courante lorsque plusieurs villages ou groupe de ninjas entrent en conflits.
Un spectacle abominable qu’il disait, mais c’était là pour moi la peinture grandiose, une œuvre d’art, chef d’œuvre qui peignait si bien la dure réalité de notre monde, un art que je ne pouvais cesser d’admirer.

Ce ne fut qu’au 5 ème jour de marche, qu’a l’ore d’une forêt, les hurlements tapageurs et ruade forcenés de plusieurs combattants se fit entendre.
Nous étions sur un chemin escarpés qui finit par déboucher sur une plaine .où deux groupes de ninjas se livraient une bataille sanglante, certains d’entre eux vêtus de lourdes armures et brandissant avec hargne des hampes et des katanas.
Sur cette plaine meurtrit, le sang des braves coulait tels les effluves incestueux d’un monde antique et révolu. Des membres volaient en tout sens, les viscères des ninjas déguisaient le sol d’un motif ridicule tandis que de petites créatures s’affairaient à dévorer la chair et les entrailles des morts dans un incessants va et viens, aussi bien au sol, ce qui donnait l’impression de voir la terre se refermer elle-même sur els corps des morts en un bataillon d’asticots et autres vers, ou dans le balai cinglant de plumes noirs que laissaient les corbeaux qui se délectaient de ce repas frugal que leur apportait cette bataille.
Je me retournais dès lors vers mes hommes qui allaient assister à leur premier combat d’envergure. Parmi la cinquantaine de guerriers que je commandais en ce jour, j’en étais presque sur, la moitié ne reviendrai pas, mais ceux qui tomberaient aux combats, laissant leur corps pourrir au soleil n’étaient nullement une perte, seulement le surplus qui ne méritait pas de servir sous les ailes du Garuda.


- Notre objectif est l’élimination des deux groupes ninjas se livrant bataille en ces lieux depuis plusieurs mois déjà. En effet, els autorités du coin ne savent plus que faire pour arrêter les pillages et massacres que ces imbéciles commettent. Messieurs, levez haut dans le ciel votre katanas, et faites pleuvoir sur eux la colère glaciale de la morsure de vos épées, et la force impétueuse de vos techniques ! En avant !


Un nouveau hurlement vint se mêler à la clameur morbide de la bataille, celle des ninjas mercenaires de Kiri, fier bataillon engagé dans cette lutte morbide afin d’écraser les deux
Un ninja ennemi nous avait repérés car il gesticulait en tout sens en s’époumonant de notre arrivée. Et, après avoir avertit la vingtaine de ninjas qui composaient son groupe, celui-ci sauta sur un rocher d’un gris sombre avant de rebondir vers nous dans un cri strident, kunai pointé vers moi.
Je venais de lever la main pour faire signe à mes hommes de ne point faire de mouvements, de me laisser ce stupide ninjas qui croyait pouvoir atteindre le Garuda à l’aide d’une arme aussi pitoyable. Après quelques secondes, il arriva devant moi et tendis le bras en visant mon épaule droite, dans une jointure de l’armure. En faisant un rapide pas de côté, le malheureux ninja ne fit que frapper dans le vide.


-Inutile !

Ayant perdu l’équilibre dans son geste dénué de logique stratégique, ne sachant pas qu’il essayait en vain de briser l’aile d’un être supérieur à lui, le misérable ver de terre venait de s’attirer la colère d’un enfant du ciel, une colère que seul le sang pouvait nettoyer. Il ne se rendit pas compte immédiatement que j’avais esquivé, tant le mouvement que j’avais produit était fluide et rapide. Son visage se crispait alors qu’il comprenait son erreur et que la peur de voir son erreur se retourner contre lui… Je le saisis par la taille, et d’un geste puissant le soulève au dessus de ma tête, sentant ce misérable asticot gesticuler comme un ver de terre que l’on vient d’arracher à sa terre putréfiée par les va et viens incessant qu’il produit. Il remuait en tout sens tentant d’échapper ainsi à la poigne d’acier des serres du Garuda qui venaient de se refermer sur la proie facilement chassée, une bien piètre proie qui allait toutefois signer le départ d’un combat sanglant. Paumes en l’air, je le tenais en équilibre sur mes mains quelques instants avant de refermer mes doigts au creux de son ventre, les faisant pénétrer la chair. Un hurlement strident jaillit de ses lèvres tuméfiées par la peur tandis que je plongeais mes doigts plus profondément encore afin d’y être clairement ancrés. Je trouvais appuis à l’intérieur sur la paroi ventrale, et, affichant un sourire sadique, je me mis à tirer de toute mes forces dans des sens opposés, exerçant ainsi une forte pression qui déchirait petit à petit la chair sur laquelle je tirais, en appuyant au passage son corps sur le somment de me casque.
Plus je tirais, plus je sentais les fibres musculaires s’étirer et craquer, plus je sentais le sang de ce ninja couler sur mon visage, et plus ses cris devenaient stridents. Puis, enfin, sous l’effet conjugués de ce tiraillement dans des directions opposés, le corps céda, rompu en deux par le milieu, la partie inférieure de son corps se trouvant dans ma main gauche, celle supérieure dans ma main droit… les deux moitiés n’étant reliés que par le long appendice qu’étaient les entrailles humaines qui se déroulaient petit à petit au fur et à mesure que j’éloignais les deux tronçons de corps l’un de l’autre, répandant une véritable gerbe de sang.

Je lâchais les deux morceaux de corps de mon ennemi fraichement dépecés en regardant mes hommes qui avaient assistés à cet acte barbare avec un sursaut d’effroi. Voyant que je les regardais ils se ruèrent comme un seul homme dans la bataille, et je les suivais de près.
Nous voyant arriver, certains ninjas des deux autres groupes se ruèrent sur nous en jetant deux katons qui touchèrent deux de mes hommes qui s’effondrèrent en hurlant, laissant s’échapper de leur carcasse une odeur d chair brulé et de graisse. Une ennemi venait de passer les rangs de mes ninjas et courait vers moi katana dressé au dessus de sa tête.
Je pris position en cherchant un point d’ancrage par terre afin de me propulser vers lui en un seul mouvement. Une fois le bon point trouvé, je m’élançais bras tendus vers son visage. Sous le choc, le ninja lâcha son sabre et se cabra en arrière jusqu'à qu’un craquement sinistre résonne au niveau de son cou, accompagné par un autre craquement, ou plutôt déchirement, celui de sa chair qui laissait se détacher sa tête dans une véritable fontaine de sang.
Le corps décapité sous l’impact continua sa course quelques secondes avant de s’écrouler à terre.
Avec un regard amusé, je me jetais à nouveau dans la bataille, de nombreux corps parsemant déjà le champ de bataille, mes hommes avaient fait une belle percée dans les rangs ennemis, répandant têtes et membres tranchés ou grillés sur leur passage.
Dans une valse sanglante, je me jetais tel un fauve affamé sur les rangs ennemis, arrachant à main nue leurs membres les dépeçant et miroitant avec bonheur leurs entrailles, et écoutant avec plaisir, les hurlements désespérés de nos ennemis.
Ils se massacraient entre eux, et nous en profitions pour éclaircir encore plus rapidement leurs rangs… cette bataille allait vite se finir.


Dernière édition par Eaque le Lun 1 Juin - 18:25, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Mission rang S, un combat sanglant.   Mission rang S, un combat sanglant. EmptySam 30 Mai - 2:28

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Combien cette bataille avait-elle durée ? Je n’en avais aucune idée, 30 minutes, une heure, peu m’importais désormais.
Non loin de moi, couché par terre gisait le corps d’un jeune ninja qui avait apparemment survécu à la boucherie sans nom qui venait d’avoir lieu. Son souffle saccadé déchirait le silence de l’après bataille, et il souriait, un sourire sans vie qui montrait sa joie d’avoir survivre, mais aussi sa déconnexion totale du monde pervers qui l’entourait et qui le temps de quelques heures l’avait trainé dans les tréfonds des ténèbres et de la folie la plus sanglante.
Il restait donc un survivant ennemi dans les alentours … et cet idiot affichait ce sourire niais qui allait bientôt se transformer en une grimace d’horreur…. Je ne supportais qu’un faible dans ce genre là puisse survivre à un tel carnage sans blessure apparente alors que les nobles guerriers comme moi étaient souillés de sang, de déchirures et de marques laissées par les morsures ravageuses des Justus des ninjas mêlant corps et âmes dans une bataille titanesque où la rage de l’homme s’élève comme un voile en recouvrant tout dans une obscurité malsaine.
Je me relevais péniblement sentant tout les muscles de mon corps hurler de douleur sous l’effort et m’approcha de lui. Sous le tintement sonore du métal couleur ébène composant ma terrible armure, le jeune ninja sursauta et retourna en tremblant sa tête vers moi, son sourire s’évanouissant dans un rictus de colère.
Je souriais à mon tour alors que je soulevais l’épée que j’avais volé le temps de cette bataille et que je me mettais à l’enfoncer petit à petit dans son œil droit.
Une douce cacophonie discordante irritait les oreilles et brisait le silence tortueux… celui d’un corps brisé par la souffrance innommable d’un dard d’un noir d’ébène plongé au plus profond de l’esprit torturé au cœur des flammes noires de l’enfer.
Le corps de ce jeune ninja hurlait milles supplices par tout les pores de la peau tandis que la malédiction de la pointe d’une épée souillée de sang transcendait son esprit de milles aiguilles empoisonnées. Face à la déchéance et la chute fatal de l’esprit anéantit de ce ninja face à une douleur innommable, je restais de marbre, observant avec attention chaque plis de son visage défiguré par la torpeur qu’infligeait l’arme sur son esprit et sa chair, comme si les volutes argentées de son être étaient marqués au fer rouge un nombre de fois incalculable. Ce n’était qu’un prélude à l’atrocité mémorable à laquelle ce sort terrible pouvait mener l’esprit humain.
Après avoir retiré la lame de l’épée de son œil, je regardais attentivement ou frapper ensuite, afin de faire prolonger la souffrance de ce misérable ver de terre le plus de temps possible avant de quitter le champ de bataille la lame de l’épée fichée dans son ventre pour trouver un coin de repos bien mérité.




Des heures passés je me relevais encore souillé par le sang en quête d’un endroit om récupérer de l’éprouvante bataille avant de me relever et de regrouper mes hommes, épuisés et choqués par cette tuerie à laquelle ils avaient pris part.
Certains tremblaient complètement alors que je reformais les rangs et comptait avec silence le nombre de mes pertes, la moitié de mon unité venait de périr au combat. La mort dans ce genre de combat ne représente nullement un honneur, car l’on meurt souillés par l’esprit de la défaite et de l’anonymat, nous mourrons en tant qu’anonyme, ninja inconnu des autorités décédé au nom de la patrie comme le disait certains…


-Nous partons ….

C’est avec un dernier regard au monticule de cadavre que nous avions entassés avant d’y mettre le feu que je repartis pour Kiri, le corps couvert du sang de mes ennemis, répandant autour de moi l’odeur de la guerre et de la bestialité.
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