~Départ d'une aventure dangeureuse ?!~

Commencement de l'Event de la pierre du pharaon ici :

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Arrivant dans une trentaine de kilomètres à l'endroit choisi, un homme mystèrieux retirait délicatement le capuchon de sa longue cape blanche en laissant apparaitre aux passants, des cheveux rouges coiffés en bataille et des yeux de mêmes couleur. Il poussa les bords de la cape par-dessus ses épaules et commença à avancer, cet homme était presque à l'emplacement d'une frontière délimitée par du sable et quelques hameaux ou petites villes. Son nom était Aouëriss et il cherchait à rejoindre cette frontière pour une raison très précise, son but était de trouver, accompagné de certaines personnes, une pierre qui, selon la légende, aurait une immense valeur : La pierre tombale du Pharaon ...

Début du Flash-Back :

Marchant à travers les arbres qui se ressemblaient tous, le jeune Aurion se déplaçait très discrètement, sans qu'aucune personne qui passerais par hasard par ici ne puisse le remarquer. Au bout d'un petit moment, il arriva à ce que l'on nomme le campement des déserteurs, c'était enfaite, plutôt un regroupement de vagabonds et de ninjas déserteurs, un petit rattachement de personnes qui se débrouillaient pour dormir et étaient protégés par une sorte de collectivité ambulante. Des dizaines d'hommes bougaient partout et mangeaient dans leur coin, il était environ midi et ils s'affairaient pour manger, un homme chauve et tout petit se mettait tout seul dans un coin et tentait de cacher quelque chose aux autres déseteurs, il tenait dans ses mains, un petit bout de papier rectangulaire assé sale en tremblant, il était caché par un arbre et se chuchotait tout seul :

~ ça y est, je l'ai, je l'ai ! ~

C'est vrai que c'est surement interessant...

Au-dessus de lui, assis sur la branche d'un grand chêne, le déserteur de rang D tenait ce papier du bout des doigts en hauteur et l'examinait attentivement, dessus, était inscrit un plan mal fait d'un désert et de quelques différents lieux avec des descriptions.

- Voleur, rend moi la carte de...

Il s'arréta d'un cou, mit ses deux mains sur sa bouche, effrayé, comme si il en avait trop dit, Aouëriss enlva le sourire de sa bouche, descendit à toute vitesse l'arbre d'un saut, atterit devant le chétif petit homme, et lui enfonça violemment son poing dans le ventre. Le chauve fut projeté par l'attaque, se cogna contre un arbre et tomba sur les fesses, le jinchuuriki de Houkou dégaina d'un coup son épée et la pointa devant la tête du petit mais vieil homme.

Allé, dit moi ce qu'est ce bout de papier...

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Pour l'encourager d'une certaine manière à parler, Aouëriss changea la position de son arme, la pointa sur l'épaule de son interlocuteur et l'enfonça de manière à faire souffrir l'adversaire sans même qu'il n'y ai de grosse plaie.

- Je... Arrète ! Silteplait... Je vais tout dire !

C'était ce que le déserteur de rang D voulait entendre, il retira la lame son épaule, quelques gouttes de sang perlèrent et descendirent dans son habit, l'homme se tenait l'épaule puis continua :

- Tu dois surement avoir entendu parler de la pierre tombale du pharaon ? Non ? Tant pis, cette pierre tombale cachée derrière les épreuves plus dures les une que les autres est celle d'un pharaon nommé Ryoseth, qui à vécu il y a à peu près 3 ooo ans, cet pierre est très rare et constitue un patrimoine historique sacré provenant d'une époque dont il ne reste presque rien, cette pierre vaut au bas mot un millon de ryos, une somme énorme ! La carte que tu m'a volé indique les lieux par lequels il faut aller pour atteindre cette pierre, et ça commence à la frontière du désert aride du Pays du Soleil...

**Un million de ryos ?! Impossible, Il faut que j'en informe Sesshômaru, il faut que nous la trouvions..!**

Il répondit d'un silence au drole d'homme et repartit plus loin, la carte en main...

Fin du Flash-Back

Aouëriss remit la cape par dessus ses épaules, ferma la sorte de fermeture au milieux tout en continuant d'avancer dans cet éternel sable...

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Aouëriss dormit une nuit dans une l'auberge d'un petit village puis repartit des l'aube, c'était mieux de dormir sous un toit car les nuits ici était froides, et ce n'était rien comparé au terrible désert. Il avança en direction du point de rendez-vous qui était encore loin. Il passa par un regroupement d'habitants, un minuscule village où il acheta le nécéssaire pour le voyage à un petit marchand. Puis il s'arréta manger à une fontaine, se passa la figure sous l'eau, un grand bien dans ce pays brulant, et continua de marcher, presque arrivé à la frontière, en réfléchissant à la mission importante.

**Nous ne serons probablement pas les seuls à rechercher cette pierre, et ça sera une bataille sans merci, de plus, l'homme à dit qu'il y aurait de grandes difficultés... ça ne sera pas de tous repos mais le prix final en vaut le coup...**

Un homme du nom de Shikeishu Gekyou leur avait proposé son aide pour cette quète et Sesshômaru avait accépté, c'était le nouvel Hokage de Konoha et une puissance pareille avec eux n'était pas à refuser, L'ancien hokage, Aiku Inuzuka, qu'Aouëriss connaissait, avait mal remplit sont travail et préférait flaner et marcher partout plutôt que de faire son travail de Kage. À cause de cette attitude irresponsable, il avait été rétrograder pour Shikeishuu, qui désirait plus que tout la place d'Hokage pour racheter son passé remplie de fautes, il voulait accomplir la mission de la pierre tombale du pharaon surement pour faire accroitre la réputation du village de Konoha, mais surement aussi pour la valeur de tout ça. Un million de ryos ce n'était pas rien. Le jeune déserteur arriva en premier à l'endroit prévue, à l'exacte frontière avant le désert, il s'arréta, posa ses armes contre un mur et s'appuya dessus, les bras croisés et l'air sèrieux.

**Je suis en avance par rapport à l'heure prévue... Ils ne devraient pas tarder à arriver, après ça, nous traverseront le désert...**

Une demi-heure passa, Aouëriss avait fait le plein de nourriture pour la longue traversée du désert, dans son sac, il y avait des affaires diverse, et une tente bleue. Il y avait des Onigiri (boulettes de riz fourrées au saumon et envellopées d'une algue) , quelques fruits et légume envellopés dans un papier et un sac de riz. Il avait surtout pris beaucoup de gourdes remplis d'eau, car c'était ce qui manquait cruellement dans cet interminable désert, mais c'était une des épreuves qu'il faudrait passer pour atteindre la pierre, et elle était incontournable... Au bout d'un moment, Un homme arriva, la longue chevelure blanche flottant au gré du vent, l'armure lourde sur son corps, ces oreilles fines et pointus, et ses yeux de fauve, c'était sans hésitation Sesshômaru Hayano, le puissant maître d'Aouëriss, qui arrivait vers lui, il était seul et faisait face au puissant vent qui dominait ces régions. L'autre homme ne tarderait probablement pas à arriver. L'hôte de Gobi s'adressa à celui de Rokubi :

J'espère que vous avez fait un bon voyage Sesshômaru-sama, je pense que nous pouvons nous mettre en route...

Et ils partirent dans se sable à perte de vue...

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Aouëriss :
Etat : Bonne Santé
PV : 540/540 PV
PC : 560/560 PC

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Event Sesshômaru Hayano and Aouëriss Aurion : ~Départ d'une aventure dangeureuse ?!~ Star3

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★ La pierre tombale du pharaon : Commencement ★

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Traversant les plaines de certains pays à la recherche d'une chose appelée " puissance " le vénérable guerrier après s'être arrêté dans un endroit calme et reposant, remplit de petites fleurs aux pétales jaunes reflétant la lumière du soleil matinal, la fraicheur du vent qui soulevèrent la magnifique chevelure longue et lisse d'une blancheur candide d'elfe doux et soyeux au toucher, caressant sa douce peau marquée de tâches violacé, murmurant une délicieuse mélodie divine au son multicolore, chaque notes voyais une de ces magnifiques fleurs éclore. Revêtis de son kimono habituel fait de soie blanche idéale pour sa peau.
Le vent, quel bel élément appartenant à la nature, nature qui punit les humains de l'avoir faites souffrir et d'avoir profité d'elle, tout comme le légendaire clan Hayano, ils avaient un terrible point communs, le vent anime la vie et peut la détruire également , il soufflait au creux des narines du Daiyoukaï un parfum d'une délicatesse envoutante.

★ C'est l'heure d'y aller ★

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Pensait-il les yeux mi-ouvert, il était emporté par cette ambiance lui rappelant son ancienne patrie et le pays qui la vue naître il y a de nombreuses années de cela, malgré son air placide et décontracté, l'elfe lunaire cachait quand même un sentiment d'animosité envers les hommes, ces créatures qu'il considère comme des moins que rien, il n'était pas le seul d'ailleurs, toute sa famille haïssaient ces êtres répugnant possédant une odeur fétide, le seul à leur avoir donné une chance et la confiance n'est autre que le père et seigneur du clan, Ryutaïchô, à cause de cette grave erreur les êtres elfiques furent condamné à s'exiler pour d'autres terres étrangères au leurs. Les membres du clan vivaient en paix pendant des générations même si quelques querelles entre races lunaire et solaire il y avait eu, cela ne les empêchèrent point de se respecter l'un et l'autre car, tout êtres elfiques était au fond de lui gracieux envers les siens, n'ayant pratiquement aucune relation avec les humains, même si quelques-uns réussirent à vivre une vie paisible parmi les Hayano qui ne leur voulurent aucun mal jusqu'à l'incident produit par les hommes de cette race ignoble.

Il commença à faire quelques pas tout en appréciant ce paysage féerique qu'il n'avait pas vue depuis des lustres, il était comme bercé par la mélodie que lui chantait la nature terrestre, il se sentais agréablement bien à cet endroit voulant y rester pendant encore des jours, ce sont ces créatures infâmes que sont les humains qui ont amené la perte de la civilisation elfique, leur trahison ne devait pas être pardonné et il le savait, mais maintenant il est trop tard, sa famille ayant été trop cordial avec eux, ce sont fait avoir par cette sous-race voulant l'extinction de l'être le plus pur, le plus respectueux envers la nature et les animaux, les sentiments comme le racisme ou la discrimination n'existait pas au cœur de cette patrie, mais l'ironie du sort n'était autre que cela, le prince des êtres elfiques, prenant pour élève un homme, on ne savait pour qu'elles raisons il avait accepté ceci, sans doute parce qu'Aouëriss était spécial, il n'avait peut être pas un esprit ou une âme ayant une odeur aussi repoussante que ces semblables.

Il arrivait devant un court d'eau qui s'allongeait jusqu'à perte de vue, il s'accroupissait légèrement tenant sa gourde qu'il plongea dans l'eau douce, cette bouteille faîte à partir d'un arbre magique dans son ancien pays, non seulement elle était protégé contre les flammes, mais elle pouvait malgré sa taille et son poids anodin contenir plusieurs litres d'eau revitalisant le corps de son possesseur, il prit alors de l'eau coulant le long de ce point d'eau pendant plusieurs minutes, à croire que cet objet n'avait pas de fond, ensuite il reboucha sa gourde pour approcher des arbres produisant des fruits des bois, il en cueillit une grande quantité qu'il mit à l'intérieur d'un sac doux et soyeux afin préserver leurs saveurs et rondeurs, il y avait pris des mûres, des framboises, des fraises notamment ainsi que des cerises, pommes et poires, toutes sortes de nourritures bénéfiques, il était debout sous les verts feuillages des arbres, puis il ce mit à continuer sa route petit à petit en direction du point de rendez-vous que lui avait donner son jeune apprenti.

Marchant à une vitesse assez lente, ne prenant que son temps, il contemplait les paysages qu'il traversait seul en paix, pour le moment, il n'y avait que des animaux, aucun être humains en vue, en même temps, il était dans un coin reculé et assez éloigné de l'Aurion pour cause de missions en solitaire.
Sa prochaine destination, le point de rendez-vous aux frontières d'un pays appeler " Pays du soleil ", très joli nom, il semblerait qu'un trésor d'une valeur inestimable serait caché là-bas, peut être une épée d'une puissance d'attaque similaire ou au-dessus de Tenseiga ce qui est plutôt rare, mais plus il se rapprochait de l'endroit et plus il avait un mauvais pressentiment qui le ravissait tout autant, car ce qu'il recherchait allait sans doute arriver dans cette quête en compagnie de son élève, en parlant de celui-ci, l'elfe sentant son odeur dans l'air à une dizaine de kilomètres, en même temps cela était la distance maximum à lequel son odorat pouvait aller.

Arriver tout près du point de rendez-vous, un vieil homme tenant une charrette ce fit agressé par d'autres adultes plus jeunes que lui, on entendait les bruits de fouets lui éclatant la peau et la chair avec l'odeur du sang ce fit caressant les narines du jeune prince elfique, une fois devant la scène qui se passait sous ses yeux de couleur or aux prunelles noirs qui reflétaient les trois gardes des frontières entrains de tuer à petit feu le géronte qui les suppliait d'arrêter leur massacre, passant à deux mètres d'eux à peine, il ignora totalement cette boucherie en murmurant de façon à ce qu'ils entendent le son de sa voix.

Ces humains, tous des lâches même avec les leurs... ~Départ d'une aventure dangeureuse ?!~ Star3

Un d'eux avait donc entendu comme prévus, il s'approcha et fulmina le Nuke-nin en alertant ses collègues.

-Eh toi, pour qui tu parle ?! Tu cherche les ennuies ? C'est sa joue les héros, alors tu en aura, les gars, capturez le !-

Ils arrêtèrent de faire subir des atrocités au vieil homme pour faire souffrir de la même façon leur nouvelle cible, malheureusement pour eux, c'était la dernière.

Pathétique ~Départ d'une aventure dangeureuse ?!~ Star3

S'écria Sesshômaru en montrant ces griffes acérés prête à trancher les chairs, les deux soldats en question foncèrent droit vers lui en l'assignant un coup de fouet chacun, l'Hayano fit en sorte que les deux fils soient enroulés a ces poignets, puis d'un geste puissant les attira vers lui en tirant sur les cordes cuivré.

~ Pour qui il se prend celui la ?! On va lui montrer ce que l'on sais faire !! ~

Criaient-il en lâchant leurs fouets et en sortant leurs sabres aiguisé, courant vers la créature mystérieuse, qui elle avait emprunté leurs fils pour à son tour les fouetter, il donna un coup à chacun au niveau des mains afin qu'il relâche leurs lames les deux en même temps le furent, puis enroula les fils autour de leurs cous en resserrant les deux fouets afin que les deux gardes s'asphyxie, tout en les étouffant il s'approchait d'eux en mettant en valeur ces griffes qui tenaient les cordes, le troisième lui sortit son sabre voulant sauver ces coéquipier ,mais en vain car le jinchuriki du dieu de la foudre renversa les deux clown contre lui en pivotant à droite, ce geste fut heurté les trois gardes en même temps et il se cognèrent contre un rocher plutôt solide, il ne se relevèrent point au bout de quelques instants.

Misérable humains, comment osez vous croire,
que vous lèverez la mains sur moi ? ~Départ d'une aventure dangeureuse ?!~ Star3

Après ces mots il partit vers l'autre jinchuriki compagnons, mais il fut interpeller par une voix lymphatique, il devina tout de suite qui sa pouvait être, il stoppa sa marche en disant d'une manière assez direct et froide...

Que veux tu vieil homme ? ~Départ d'une aventure dangeureuse ?!~ Star3

Celui-ci lui répondit en essayant de ce relever en vain mais il pouvait n'empêche lui donner des informations concernant la légende du trésor...

Je sais qui vous êtes, c'est le ciel qui vous envois ( tousse ) je vais donc vous dévoiler ce que je sais à propos de ce pays qui est bien évidemment ( tousse ) le plus dangereux que je connaisse...

L'Hayano tourna sa tête apparemment l'observant du coin de l'œil en lui rétorquant plus calmement car il sentais que sa fin était proche malgré son intervention trop tardive.

Je t'écoute, dis moi ce que tu sais a propos de ces terres ~Départ d'une aventure dangeureuse ?!~ Star3

Tout d'abord ( tousse ) , je dois te dire une chose, si tu tiens à ta vie, fais demi-tour, car de nombreuses choses totalement inimaginable repose au fin fond de ce pays ( tousse ), vous aurez besoin de beaucoup d'eau et surtout ne faîtes confiance à personne d'autre que vous dans les souks, prenez ma carte ( tousse ), elle vous sera utile dans votre quête, des voyageurs comme vous, j'en vois tout les jours, mais ils ne sont jamais revenue en vie, prenez soin de vous vo..u..s ( tousse).

Après ces derniers mots, il mourut, un léger vent ce fit soulevant son chapeau de paille ainsi que la couverture de sa charrette qui semblait cacher de nombreux objets divers et varié, il y avait des bocaux remplis de terres, on se demandait pourquoi, des petits couteaux similaire à des kunais, des bouteilles bleus et rouges, encore plus bizarre, un parchemin shinobi qu'il enroula et mit sous magnifique Sashinuki Hakama son ensemble traditionnelle ( Kimono ), il prit également la carte du pays comme lui avait demander le vieux monsieur décédé, la cause du décès était sous ses yeux, ce vieillard était trafiquant d'objet rare sûrement et il les vendait aux voyageurs sans avoir de contrats sûrement.

Après ces quelques querelles pour le moins insignifiante aux yeux de l'elfe, il continuait sur sa lancé en suivant toujours la trace ou plutôt l'odeur de son apprenti qui était non loin de celui-ci d'ailleurs, le déserteur pouvait apercevoir de loin l'ombre d'Aouëriss posé contre un mur à travers ce paysage montagneux qu'avait les frontières de ce pays mystérieux et, d'après certaines rumeurs, possédant des zones reculées extrêmement dangereuse, enfin bon, ce n'est pas ces quelques détails qui vont intimider le prince du clan Hayano qui, voyant un homme possédant une cape blanche au capuchon de la même couleur, sa resplendissante chevelure rougeâtre coiffé ou plutôt mal coiffé comme à son habitude, ses yeux couleur rubis scintillant de milles feux, regard froid et impassible tout comme son maître, sa nouvelle tenue blanche aux motifs doré était tout simplement magnifique et semblait s'accorder avec la majestueuse tenue de Sesshômaru, c'était la tenue vestimentaire parfaite contre la chaleur, l'elfe lunaire qui une fois face au talentueux jinchuriki du bijuu Gobi fut très bien accueillit par celui-ci qui lui disait d'une façon assez aimable...

J'espère que vous avez fait un bon voyage Sesshômaru-sama, je pense que nous pouvons nous mettre en route...

Le fils du seigneur Ryutaïchô fit quelques pas en avant observant les montagnes de roche qu'il fallait traverser afin d'aller jusqu'au désert qu'il vit au loin grâce à son excellente vision qui allait jusqu'à deux fois plus loin que celui d'un humain ordinaire, côte à côtes au pied d'une falaise, leur aventure périlleuse allait enfin débuter, c'était n'empêche un bon moyen pour l'être elfique de tester le potentiel de son apprenti Aurion et de lui montrer la véritable puissance cachée qu'avait le Nuke-nin rang S.

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Aouëriss, allons-y ~Départ d'une aventure dangeureuse ?!~ Star3

Dit le prince des elfes démoniaques d'une façon calme et sereine, ils commencèrent alors leur longue traversé jusqu'au désert, ce qui allait prendre plusieurs jours, du moins à l'allure où Sesshômaru entamait la marche, c'est-à-dire lente et sans précipitation.
Passer les frontières, ils arrivèrent dans une sorte de canyon, remplit de sables et de cailloux en tout genre, les brigands ne manquaient pas dedans et ceci, tout le monde le disaient, de toute façon, s'ils avaient la mauvaise idée d'attaquer ces deux jeunes hommes au caractère glacial, ils risqueraient de le regretté amèrement.

Invité

Spoiler:

Le soleil se levait lentement à l'horizon, tel l'oeil de Dieu qui s'ouvrait vers les hommes qui étaient tous... de plus en plus incrompréhensible dans se monde qui semblait mourrir à chaque jour plus en plus. Comme une maladie qui contaminait la terre, rien ne voullait les arrêter... ou personne ne remarquait le danger. Le vent soufflait tel un coup qui frappa violament les cheveux blonds d'un jeune garçon d'environ seize ans. Se dernier semblait avoir les yeux perdus au loin, tel un homme qui revassait en regardant l'horizon. Les cheveux qui n'avait pas été coiffer ni attacher en se matin frais là, il avait un air un peu trop perdu dans ses lieux semi-désertiques. Le jeune homme portait une cape rouge qui lui donnait un air d'un petit ange ou d'un moine mystérieux. Il portait un chandail noir ajuster en-dessus de sa cape entre ouverte. Il y avait des petits gants d'un blanc soyeux à chacune de ses mains. Comme si il serait un manique de la propreté et il ne voullait absolument pas se salir les mains, même si cela n'était pas vraiment le cas. Il mit un pied en avant et commença à marcher lentement en laissant derrière lui, une petite cabane qu'il s'était fabriquer pour s'habriter pour la nuit. elle n'avait rien d'impressionnant, c'était un plancher fait par des grandes feuilles d'arbres un peu partout réparti assez uniformémant, puis il y avait quelques branches d'arbres qui allaient tomber des arbres qu,il avait ramasser pour former un petit toit pour se protéger, puis il avait entourer son petit campement de branches d'épinettes se qui permettaient de camoufler son odeur aux animaux sauvages qui auraient pu l'attaquer durant la nuit. Mais maintenant en sortant de la forêt, il devait faire face à un désert immense qui commencait sous ses premiers pas, tel une plage immense ... sans eau bien sûr.

Flash Back

Edward marchait tranquillement dans le village d'Oto pour s'arrêter dans un petit bistro bar pour se repauser de sa longue journée de travail. Il avait du faire quelques missions qui l'avait occuper par-là ou par-là. Il avait du soigner plusieurs personnes, sans se soucier du nombres d'heures qu'il avait prit le temps pour cette mission bien délicate, il n'avait jamais regarder l'heure. Mais maintenant qu'il l'avait vue, il remarqua qu'il commençait à avoir sacrément faim surtout qu'il avait presque tout utiliser ses réserves de chakra malgré tout, il avait prit tout son temps pour trouver un joli petit restaurant qui semblaient tranquille. Il s'assit au bar, commandant un breuvage non alcoolisé, bien qu'il n'avait pas l'âge pour boire et qu'il n'aimait pas vraiment le goût de l'alcool fort ou les liqueurs, il commenda un bon ver d'eau froid. Rien n'était meilleur pour se mettre en forme après un bonne journée de travail, puis il ajouta avec cela une commande d'une bonne salade qu'on avait garni de petits pimants verts, jaunes et rouges pour augmenter la saveur, de plus sa sauce à saumon qu'on avait déverser dessus n'était que tout à fait divine avec le gout qui stimulait ses papilles gustatives jusqu'à un extase incroyable. Cela devait faire au moins deux ou trois jours qu'il ne mangeait simplement des nouilles n'ayant pas le temps ou l'envie d'aller à un restaurant pour manger sainnement, et ses talents de cuisiniers se limitaient à faire réchauffer de l'eau et à la déverser dans un contenant de nouilles.

En mangeant calmement, il laissa son orreil se balader dans les discutions des gens autour de lui, ne voulant espionner aucune discution il voullait simplement essayer d'apprendre des nouvelles. Mais c'est alors que deux ninjas parlaient d'un certain trésor perdu dans un pays maudit. Le premier ninja voullait y aller pour ramasser le butin et avoir la gloire pour qu'Orochimaru sama le remercit comme il le fallait en le mettant comme son assistant ou un autre rang important, mais le deuxième homme détruisait ses rêves en lui rapppelant que personne revenait du pays du soleil et que la pierre du pharaon n'était qu'une légende. Personne ne l'avait réellement vue de ses yeux, de plus bien des ninjas ou conquérant étaient parti la trouver. S'il y aurait été possible de la posséder, l'homme qui avait réussi un tel exploit n'avait rien dit à personne ou cela était impossible. Le désert était le plus grand piège du monde avec l'océan, l'homme ne pouvait affronter une nature qui avait puni tout les hommes qui habitaient là il y a déjà des dizaines d'années. Tout un pays détruit par la sécheresse était un pays modit que personne ne pouvait revenir, on disait même que les morts gardaient l'endroit pour empêcher tout homme d'y pénétrer. Il n'y avait pas d'hommes assez noble pour posséder une telle expérience ou d'une telle puissance pour passer au travers du pays. C'est alors que le premier homme s'énervait et parti brusquement en criant des insultes à l'autre. C'est à se moment qu'Edward se leva et se derrigea lentement vers la table ou l'homme resta secouait la tête face à la stupidité et l'entêtement de son compagnon. Le blondinet s'assit discrêtment à la table et demanda d'une voie intrigué:

-Ce n'est pas que je voulais vous espionner, mais qu'est-ce pays modit et que renferme-t-il?

-À non, ne me dit pas que vous voullez tenter l'impossible comme cette imbécile!

-Non, non. Cependant cela m'intrigue.

-Bon okey... Il y a longtemps un pays existait et avait la richesse de tout les temps. La force de milles hommes réunnit dans un nom qu'équivaut à un Kage le derrigeait cependant, il utilisait sa puissant pour augmenter sa richesse et détruisait tranquillement tout autour de lui en utilisant les hommes comme des esclaves.. On dit qu'il a créer la pierre parfaite, c'elle qui pourrait briller dans le noir le plus total, c'elle qui ne pouvait être briser, en tuka... elle doit valloir un certain montant d'argent qui ... d'après moi, ne vaut pas le coût de sacrifier sa vie. La nature a condamner tout le pays de al sécheresse et ou il y avait toutes les richesses du monde se transforma en désert ou nul vie peut vivre. Cela se passa en une nuit selon les légendes, mais personne ne le savait vraiment... Le pays était trop isoler pour qu'on puisse le savoir. On perdu même le nom du pays depuis des siècles avant que des légendes sur la pierre se répendirent au plaisir des pilleurs de trésors, mais aucun ne revenuent de se périple. Vous comprenez se que je vous dis? Tous meurt à cette endroit! Les phantômes des hommes de se pays hantent le désert, de plus les bêtes féroces et la chaleure. Peut être que vous réussirez à toucher la pierre, mais... vous ne sortirez jamais du désert si vous osez y aller...

-Mouaie... mais c'est juste des légendes... non?

-Croyez se que vous voullez, mais moi je m'approcherait pour rien au monde de cette endroit. Je tiends à ma famille.

-Le véritable trésor et l'amour, mon cher.

Edward se leva et partit... après avoir entendu cette légende tout se bousculèrent dans sa tête jusqu'à se demander si cette pierre si précieuse... ne serait-elle pas la pierre philosofale? c'elle qui avait réussit à trouver et lui avait enlever son frère... Si c'était le cas, il devait l'obtenir pour pouvoir ré-ouvrir la porte et rejoindre son monde, nul ne pourrait l'empêcher dans cette quête.

Retour à la réalité

Le jeune aventurier marchait depuis plusieurs heures vers sa destination, il devait se situer quelques parts proches des frontières du pays du pays du soleil. Mais malgré tout, il se demandait s'il n'aurait pas oublier quelques choses. Certes il avait apporter plusieurs fruits secs dans sa cape, pour qu'il soit à l'abrit du soleil. Il avait aussi apporter deux bonnes gourdes d'eau qui gardaient proche de son corps pour qu'elle reste de chaleur normal. Marchant un pas, il distingua tranquillement une petite caravanne mais qui ne bougeait plus du tout et surtout qu'il ne semblait point avoir de personnes autour. Il partit en courant d'elle une gazelle, il fit cependant attention pour vérifier qu'il n'y est pas de pièges ou autre choses pour attraper les voyageurs dans cette endroit plus qu'étrange. En arrivant sur les lieux, il vit trois corps d'hommes morts, l'un qu'on aurait dit être le marchant ayant plusieurs coups de fouets sur son corps meurtri. Ed se pencha sur lui et passant sa main gauche dessus les blessures... il se dit que s'il aurait arriver plus tôt, il aurait pu le sauver au moins au lieu qu'il ne meurt dans cette endroit perdu loin de sa famille. Le pauvre homme semblait avoir complêtement perdu le désir de vivre, cependant un souris et même une petite lueure dans ses yeux brillaient encore... un homme avait du le sauver entre temps et lui avait apporter beaucoup de bien. Il se releva pour voir les deux autres corps qui semblaient être des ninjas errants qui s'étaient attaquer au marchant... un homme leur avait fait la vie dure, car il semblait être mort d'un coup de surprise en annalysant les muscles bien tendu... il devait être drollement rapide et puissant. Les armes qui avait servient pour martiriser le viel homme trennait à terre se qui prouvait qu'ils avait attaquer une personne, cependant ils n'était pas du niveau... Ed releva la tête et se dit qu'il allait devoir se dépécher s'il voullait avoir cette pierre surtout face à de telle personne qui avançait vers son objectif. Regardant les trâches qui semblaient rester pallement sur le sol avec une longue trâce d'un tissu ou autres choses après les pas... il prit cette dirrection et parti en courant pour rejoindre cette personne qui allait du moins lui ouvrir le chemin des dangers potentiellements dangereux seul, ou le tuer s'il remarquait sa présence cependant... Edward ne voullait pas se battre avec lui, il voulait absolument trouver la pierre, même s,il devait faire confiance au diable lui même.

Le blondinet courraient depuis déjà plusieurs heures dans la même dirrection. Le soleil commencait déjà à descendre tranquillement à l'horizon même si le décors semblait pas changer depuis tout se temps, il espérait toujours avancer tout droit et non tourner en rond. Avec une vigeur et une vitesse hors-norme, mais plutot une détermination qui le poussait à ses plus grands retranchement. Il vit enfin deux petits ombres au loin, qui semblaient du moins être des humains. Il partit rapidement en sautant par-dessus une dune de sable, il n'esseya pas de cacher sa présence. Il allait rapidement vers leur dirrection, mais en ralentissant à chaque pas pour qu'ils ne pensent pas que c'est une attaque. Quand il ne resta qu'environ une dizaine de mètres à franchir et qu'il se sentait regarder, il se laissa glisser sur le sol en essyant de s'agenouiller, mais il trébucha et se ramassa face premier dans le sable de façon humiliante... Il se releva un peu géner, puis demanda d'une voie intriguer et un peu supliante et soumise:

-Pourrais-je vous accompagner? Je dois franchier se désert... et je ne sais point ou je suis présentement, je serais comme un phantôme vous allez pas me remarquer.

Il se releva tranquillement, prêt à se défendre s'il le fallait même s'il allait certainement se faire massacrer par deux hommes si menacant, c'est alors qu'il remarqua les trait TRÈS étirer de l'homme qui avait les cheveux blancs, puis les yeux rouges de l'autre jeune homme..

[dah sorry... mais je sais pas trop quoi ajouter, je ne veus pas non plus trop te limiter dans tes actions Sessh, donc essait de pas me tuer ~Départ d'une aventure dangeureuse ?!~ Icon_cool

]

La jeune kazekage était assise immobile dans son bureau attendant silencieusement que la prédiction qu’elle avait faite se réalise. Elle avait vu quelques instants plutôt, un messager pénétré dans son bureau pour lui transmettre une missive de son grand frère Sesshômaru mais, elle n’avait pas vu ce que le message disait. Elle était derrière son bureau assise dans son fauteuil les mains jointe sur lesquelles son visage était appuyé. La tête tournée vers la porte attendant que celle-ci s’ouvre. Si elle aurait été comme tout le monde, donc qu’elle ait la possibilité de voir ce qui l’entourait, on aurait pu dire qu’elle fixait la porte. Mais là, son regard était fixé sur le vide pour ne pas changer et son visage était aussi inexpressif. Elle n’était pas vraiment perdue dans ses pensées, mais elle n’était pas vraiment là, si on peut dire ça comme ça. Elle attendait avec impatience l’arrivée du messager pour savoir ce que son frère lui voulait au point de lui envoyer un message, lui qui d’habitude ne donnait pas vraiment signe de vie autrement que par la violence envers des shinobi des autres villages... Soudainement, elle poussa un soupir d’exaspération, il était lent, normalement ces visions se déroulaient peu de temps avant que la chose ne se passe, et là, ça faisait déjà plusieurs minutes qu’elle attendait immobile. Elle commença alors a en avoir marre de rester là a rien faire. Elle laissa son esprit vagabondé et imaginée à quoi pouvait ressembler son bureau. D’après les descriptions qu’elle en avait déjà eues, les murs étaient peints d’un blanc immaculé et les meubles qu’elle utilisait étaient de couleur naturel, donc brun vu qu’il s’agissait de bois. Elle imagina alors ce lieu ou elle passait le plus clair de son temps d’une autre manière. Elle visualisa alors la pièce comme elle est mais mentalement, elle commença à changer des petites choses puis en rajouté d’autre. Elle écrivait sur un bout de papier qu’elle avait sous la main les idées qui lui passaient par la tête. Elle projetait sur un pan de mur un éventail, autre part des statuettes en bronze représentant les trois dieux aux quels sont peuple croyaient. Elle voyait déjà près des fenêtres, des plantes telles que les bonzaïs ou des pousses de bambou. Elle sentit alors la présence de quelqu’un qui s’aventurait dans la tour ou elle se tenait, elle posa alors son crayon et arrêta de griffonnée ses idées. Elle reprit alors la position qu’elle avait une dizaine de minutes plutôt. On frappa alors à la porte de son bureau et elle dit alors un simple entré d’une voix calme et posée. Elle attendit alors que le shinobi pose le bout de papier sur son bureau avant de le saisir et de le remercier. Elle tenait la feuille dans sa main droite et attendit que l’homme soit sortit pour déplier le papier. Elle déchiffra le papier qui était écrit en braie. Sesshômaru lui demandait simplement de le rejoindre le plus vite possible dans le pays de Taiyou No Sato. Elle se demandait ce qu’il lui voulait et surtout, ou se trouvait se pays, elle n’en avait jamais vraiment entendu parler. Elle releva la tête et chiffonna le papier avant de le jeter dans la corbeille. Elle sortit de son bureau après avoir prit la bout de feuille ou elle avait griffonnée les idées de décoration et elle s’approcha de sa secrétaire.

« je veux que ce qui est écrit sur cette feuille soit fait pour mon retour. Vous avez du temps, je ne sais pas quand je reviendrais... »

*Je ne sais même pas où je vais...*

La jeune secrétaire ce contenta alors de hocher la tête et de murmuré un petit oui. Ashura retourna alors rapidement dans son bureau et elle enfila alors une cape noire retombant jusque ses pieds et dissimulant tout les détails de son corps. Elle rabattit alors sur sa tête la capuche noire qui descendait jusque la moitié du visage de la kazekage. Elle quitta alors son bureau pour de bon et elle marcha pendant une vingtaine de minutes dans les rues du village cachée du vent. Avant de se trouver devant les portes de la bibliothèque. Elle y pénétra rapidement toujours dissimulé sous sa cape et sa capuche, elle n’était pas vraiment reconnaissable. Elle déambula un long moment entre les couloirs avant de finalement, aller à l’accueil. Il y avait un homme de corpulence et de taille moyenne. Il avait des cheveux noir retombant dans le bas de son dos attaché en une queue basse. Il portait sur son nez de toute fine lunette comme tout autre bibliothécaire. Cela lui donnait un air de quelqu’un d’intelligent. Mais tout cela, Ashura ne pouvait pas vraiment le voir même si elle pouvait un peu sans douté, ce n’était pas n’importe qui, qui pouvait travaillée dans cette bibliothèque. La kazekage qui se tenait devant son bureau depuis moins d’une minute. Elle avait posée ses mains sur le bord de la table et elle attendait que l’homme daigne lever la tête pour la regarder. Une fois cette chose faite, elle prit la parole d’une voix douce et interrogative.

« Hm... Excusé moi, mais vous pourriez m’aider à trouver des renseignements sur le village de Taiyou ?? »

-Je suis désolée de vous annoncez cela, mais ces informations ne sont pas disponible à tout le monde étant donné que ce village est dangereux. Alors je ne peux donnée ces informations qu’à des shinobi puissant, et il me semble que vous n’en êtes pas une.

Il avait surement devinée à sa voix qu’il s’agissait d’une femme mais il ne l’avait pas reconnu, faut bien admettre aussi que c’était assez rare que Ashura se présente dans ses lieux. Elle retira alors sa capuche, elle avait un sourire moqueur dessinée sur le visage.

« Merci mais je ne pense pas être une personne faible... »

-Oh kazekage-sama, je ne vous avais pas reconnu, je suis vraiment désolée.

« Ce n’est pas grave mais pour la peine, vous allez me trouver ses documents et me les lire, enfin, si vous trouvez quoi que ce soit sur le sujet de Taiyou. »

Le jeune homme se leva et se dirigea dans les rayons suivit de la kazekage. Il l’emmena dans un rayon les plus éloignée de la porte, peu de gens s’aventuraient aussi loin dans la bibliothèque donc les donnée qui se trouvait ici étaient plus ou moins inconnue de tous. L’aveugle s’asseya dans un coin en silence pour attendre que le bibliothécaire trouve les dossiers ou le livre donnant les informations dont avait besoin la jeune femme. Une demi-heure s’écoula avant que l’homme ne tombe sur un parchemin décrivait sommairement le pays du soleil. Ashura écouta avec attention les informations que l’homme lui donnait sur le lieu en question. Il lui dériva la légende et un peu à quoi ressemblait le lieu ou se tenait le trésor du pharaon, il était protégé par un immense désert, surement plus grand que Suna. Ashura remercia l’homme avant de se lever et de partir assez rapidement en se dirigeant cette fois-ci vers les portes du village.

Ashura se retrouva dans le Désert de Suna, une fine couche de chakra perpétuellement en mouvement pour protégée sa peau des rayons du soleil et de la chaleur de celui-ci. Elle s’aventura dans celui-ci sans vraiment avoir peur de se perdre vu qu’elle avait déjà arpenté cette immensité désertique à plusieurs reprises et qu’import le chemin prit, il fallait vraiment être une véritable arriéré pour se perdre et tournée en rond dedans. Si même Ashura qui elle, était aveugle arrivait à ne pas se perdre, c’était que cette zone aride n’était pas si dangereuse que ça ou plutôt, n’était pas aussi dangereuse que l’on voulait le faire croire. Mais il faillait quand même admettre que peu de gens arrivait à traversé ce lieu infertile sans trop d’encombre. Ce dont il fallait le plus se méfier c’était de la chaleur. Elle marcha longuement, au sable, succédait encore et toujours le sable, mais le jeune Hayano n’en avait rien à faire, elle aimait bien cette mobilité qu’elle sentait en dessous de ses pieds. Mais avant de partir, elle avait au moins pensée à prendre des vives, il s’agissait en particulier de chose sec, tel que des biscuits. Elle avait de quoi tenir plusieurs jours sans encombre. Ashura marchait en silence se demandant pourquoi son frère voulait qu’elle le rejoigne là bas. Y avait-il un lien avec le trésor du pharaon ?? La jeune Hayano se posait diverse questions silencieuse auxquels elle était sure qu’elle aurait des réponses une fois arrivée sur le lieu même. Mais là, elle se contentait simplement de marcher d’un pas rapide et silencieux. Ashura savait que si il lui arrivait quelque chose maintenant, personne ne la retrouverait et puis quoi, il pouvait lui arriver quoi ?? Elle était seule dans ce lieu à marché et si quelqu’un voulait l’attaquer, elle sentirait sa présence bien avant que cette tierce personne l’ai sentit elle. Tout ce que la jeune kunoichi ressentait ici, c’étaient les quelques animaux assez fou pour tenter de survivre dans cette zone dévastée par le sable.

Ashura n’avait pas vraiment fait de pause depuis qu’elle avait quittée Suna, elle s’était seulement arrêtée pour les nuits. Malgré la froideur des nuit dans le désert, elle n’avait pas prit la peine de construire un quelconque abri pour se protégée du froid nocturne. Elle fini néanmoins par quitté le désert de Suna. Mais elle ne s’arrêta pas de marcher pour autant. Elle continuait son chemin en silence ne s’arrêtant que pour demandé quelques renseignements sur sa position ou pour être simplement héberger pour une nuitée. Même si la plus part du temps, les gens se méfiait d’elle, c’est vrai que voir une personne vêtue d’une cape noir avec une capuche dissimulant le visage, ce n’est pas ce qu’il y a de plus rassurant. Mais la jeune femme tenait à rester plus au moins inconnue aux yeux de tous. Mais elle arrivait quand même à trouver un endroit ou dormir chaque soir. Chaque matin, elle reprenait la route pour arrivée le plus rapidement au village du soleil. Néanmoins, après plusieurs jours de marche, elle arriva à la frontière de ce village là. Elle poussa un soupir de contentement. Elle avait déjà fait la plus grande partie de la route qui l’a rapprochait de son frère aîné. Elle sentit alors à nouveau du sable sous ses pieds, immédiatement, elle refit sa fine couche de chakra, elle ne voulait pas avoir un air pitoyable quand elle reverrait enfin son frère. Elle marchait quand elle sentit enfin l’odeur de Sesshômaru, il devait être passé par ici, donc, elle était sur le bon chemin. Elle accéléra alors le pas pour arrivée plus rapidement au côté de son frère. Elle fut néanmoins étonnée de sentir une autre odeur aux coté de son frère. De qui s’agissait-il ?? Ashura continua d’avancé en ce demandant qui était assez digne pour que son frère l’estime et le garde à ses côtés. Elle perçu alors une autre odeur, plus fraiche, cette personne était donc passé peu de temps au par avant. Elle continua son chemin en se posant de nouvelles questions et elle fini par entendre des voix, elle était enfin arrivée. Elle entendit alors un homme parlé, en s’approchant, elle réalisa qu’il était à genoux devant son frère. Ashura se tenait juste derrière l’homme qui ne semblait pas vouloir sentir la présence de la jeune femme. Elle le poussa un peu et pris Sesshômaru dans ses bras. Elle sentit alors le regard ébahi des deux autres hommes sur elle, qui était-elle pour agir ainsi de la sorte, était surement la question que l’un d’eux devait se posé.

« Sesshômaru-san, je suis si contente de te revoir... Ca fait tellement longtemps.»

Ashura resta encore un moment dans ses bras avant de se dégager et de reculé un peu. Elle ne se présenta même pas aux deux autres hommes, elle n’en voyait pas la peine. L’un était un soumis et l’autre... Elle le saurait bien assez tôt. Seul Sesshômaru pouvait savoir à quoi elle ressemblait vu que, elle portait toujours sa capuche et sa cape noire était fermé.

Spoiler:

On aurait pû dire que le désert s'étendait sur une zone gigantesque à perte de vue, mais s'auraît été faux pour deux raisons ; premièrement car nous n'étions pas tout à fait arrivés au désert, nous en étions encore à la 'frontière' , une étendue de sable suivie de diverses villes, assé long à traverser mais qui nous permettrais d'accéder au désert à traverser, et nottament au pays du désert, 'Taiyou no Sato', et ensuite de pouvoir continuer notre 'mission' en quète de la légendaire 'pierre du pharaon Ryoseth', valant près d'un million de ryos, rien que ça... La seconde raison pour laquelle je me trompais était simple, nous n'étions pas devant du sable à perte de vue, mais actuellement plutôt à une simple zone sableuse, qui se continuait dans un terrible canion, de nombreuses et magnifiques montagnes vertigineuses, raides mais pas spécialement hautes, qui formaient au loin devant nous, un sombre brouillard couleur de pierre. 'Nous', c'était actuellement Sesshômaru et moi-même, c'était assé peu pour partir dans une telle expédition, mais nous n'avions plus le temps à la réflexion. Finalement le plus faible du groupe, c'était encore moi, mais ça ne m'empècherais pas de me rendre utile au besoin...

Aouëriss, allons-y

Mais nous n'aurions pas le temps de partir, et apparament nous n'allions pas rester longtemps à deux, ou peut être allons-nous devoir commencer les hostilités avant le départ de la quète, ça dépendait de la nature des deux inconnus qui s'avançaient à nous, deux étrange personnes dont l'arrivée imminante de quelques minutes avait été anoncée de par les yeux du déserteurs, ayant précédamment viré du Rouge foncé au bleu clair. La plus proche des deux aura n'était pas d'un pouvoir conséquent, mais plutôt relatif à ses manières, un homme bizarre courait en long et en large, comme un dératé, en la direction des deux déserteurs. La seconde personne, beaucoup plus calme était sans nul doute une personne possédant d'étroits liens avec Sesshômaru, les liens du sang même, c'était certain, comment, nul ne le sait, mais cette personne possédait un avantage ou un défault étrange, une capacité spéciale qui se sentait dans son aura. Cette seconde personne avançait calmement derrière la première. Pour revenir à la première personne, elle ne tarda pas à arriver, sans intentions mauvaises, avec une expression amicale et assé naïve, c'était un homme petit et blond qui tomba aux pieds de Sesshômaru et d'Aouëriss et qui se mît à parler rapidement :

- Pourrais-je vous accompagner ? Je dois franchir se désert... et je ne sais point ou je suis présentement, je serais comme un fantôme vous allez pas me remarquer.

る मूर्ख る
[stupide...]

Nous avions en ce moment affaire à un Aouëriss qui ne se ressemblait pas, très étrange, il parlait différamment, et personne n'aurait pû le comprendre, rien que l'entendre parraissait difficile. À vrai dire, Aouëriss n'était plus lui-même, ce n'était ni Gobi ni l'ange qui avait refait surface en lui, et comme à son habitude, il était, au demeurant, impassible, alors pourquoi toute son aura, ses pensées, ses paroles, les expressions de son visage devenaient comme si il était invincible, comme si une rage immense dirigée par une puissance imcommensurable revenait en lui. On avait affaire à rien de normal actuellement. Il se passait réellement quelque chose et le déserteur ne semblait pas écouter les deux autres hommes, une chose improbable apparût, de ses deux yeux bleus naquirent le blanc, puis le vide, un brouillard, il n'avait plus de pupilles. Toujours dans ce phénomène spécial, une nouvelle forme apparût, quelque chose d'extraordinaire, un effet spécial apparût, une lumière et une aura spéciale etoura Aouëriss, des ailes presques invisibles en formes de papillons naquirent, c'était des ailes royales, sans aucun doute. L'un des yeux d'Aouëriss était rouge, l'autre était bleu, tout doucement, Aouëriss sifflota :

る परम सिंबियोसिस る
[symbiose]

Tout ceci était imperceptible à l'oeil d'un humain ordinaire mais Sesshômaru aurait remarqué quelque chose probablement, un Aurion aurait vu, lui, tout les changements apparus sur le corps du déserteur. Celui-ci ne parlait pas, il ne disait rien, il se sentait puissant, peut être à tord, mais il se sentait bien. La seconde personne, masquée, arriva, son aura était toujours la même que celle de Sesshômaru, ou quasiment. Tout comme l'autre, cette personne avait des manières assé étranges, pour ainsi dire, en arrivant, sans même préter attention à l'homme par terre ou même à Aouëriss, elle sauta au cou de Sesshômaru, comme n'importe qui, c'est à ce moment que l'hôte de Gobi se rendît compte qu'elle était aveugle, chose étrange, cette personne possédait, non seulement de son appartenance à une famille spéciale, possédait le don du 'troisième oeil' si l'on puis dire chez les aveugle, le don de pressentir, ou l'intuition, ainsi, elle ne tarderait pas à savoir qu'Aouëriss était un peu différent de la normale, mais apparament elle s'en moquait éperdumment, dans les bras de Sesshômaru, elle se sentit heureuse, puis recula pour dire :

« Sesshômaru-san, je suis si contente de te revoir...
Ca fait tellement longtemps.»

Puis Aouëriss se demanda comment traverser le désert, au loin, il vît un cabanon étrange, au pied du canion, de sa vue assé spéciale, il vît au loin des créatures étranges, des sortes de 'poulets géants', il n'y avait pas d'autres définitions à ces choses, elles semblaient être sur deux pattes, interessant, un peu lassé de ces petites retrouvailles et d'un homme un peu perdu, Aouëriss se retourna et regarda les nuages, l'expression, la sensation qu'il éprouvait en ce moment était unique, comme si tout le savoir du monde revenait, accumulé dans sa petite tête, enfin, Aouëriss partit, marchand tout seul, toujours avec la capuche couvrant sa tête de sa cape blanche [il ne faut pas l'oublier], puis, à quelques mètres de marche, il se retourna vers Sesshômaru et ensuite l'homme à terre pour parler simultanément dans leur pensées :

ღ Sesshômaru, je te laisse avec cette personne, on se retrouve à l'entrée de la 'masse' au bout ღ

ღ Toi,l'homme par terre, suis-moi silteplait... ღ

Alors Aouëriss marcha, des dizaines de mètres, il ne tardat pas à arriver à l'endroit désiré, qui n'était pas très loin, c'était enfaîte une maison avec un grand terrain derrière où couraient dans tous les sens des 'poulets géants'. Jaune-Rouge-Gris, il y en avait de quasiment toutes les couleurs, principalement des jaunes, c'était étranges, parfois, ils broutaient ou mangeaient des graines qu'un fermier étrange leur donnait. Le grand terrain dans lequels ils étaient était un champs, puis il y avait des écuries, et enfin à droite, une salle avec des sortes de sièges pour les atteler. Le fermier s'avança et regarda les inviés qui luirendaient visite, il dit à Aouëriss assé calmement, comme si il avait l'habitude que ses drôles de bêtes effraient les gens :

▬ Des chocobos.

る ..? る

▬ Ce sont des Chocobos.

る Ces bêtes traversent le désert je suppose ? る

▬ Elles sont dressées pour.,
Ce sont à la fois les plus rapides et les plus obeïssantes des créatures du désert.
Je les loues pour [x] ryos en moyenne. Vous en avez besoin ?

Spoiler:

る Je pense en effet.
Louez-moi la plus rapide de ces créatures. る

▬ C'est le noir là-bas, il est fier et obstiné, attention.
Je vous l'attelle ?

る S'il vous plaît. る

Ainsi, l'homme partit, relevant faiblement son châpeau de paille, il semblait assé bien se débrouiller avec son petit commerce, ce désert devait vraiment êtes rude pour qu'autant de gens lui louent ces créatures, et croiser un fermier à la frontière du désert, dans un terrain très chaud, qui protégeait sa petite pelouse avec attention était plus que rare, heureusement qu'il avait l'eau qu'il voulait, car au milieu des chocobos il y avait un puit. Après s'être éloigné de la barrière, Aouëriss regarda l'homme à côté de lui, assé étrange que quelqu'un sans rien se ramenait en voulant traverser le désert et accomplir l'une des plus perilleuses quète que générait ce bas monde, avec presque aucune affaire. Ainsi, le déserteur de rang C, intrigué, lui dit :

る Apparament on vas devoir voyager ensemble.
Quel est ton nom ? る

Toujours de son expression avide de puissance, mais plus calme qu'avant, Aouëriss lui avait demandé ça comme ça, la bête ne tarderait pas à être prête, et pour voyager, Sesshômaru invoquerais probablement Raikou comme avant, dans le désert de Suna, avec ces deux créatures, traverser le désert sera déjà beaucoup plus rapide et plus pratique. L'Aurion se posait toujours des questions sur la filles qui était à quelques mètres de là, qui était cette aveugle ? En tout cas elle était probablement puissante vu la grandeur de son aura. Toujours dans son dos, imperceptible aux humain, l'archange faisait mouvoir deux belles ailes brillantes plusieurs de différentes couleurs, c'était tout simplement magnifique, enfaîte à bien voir, tout le corps d'Aouëriss réagissait en fonction de ses ailes, et ses yeux étranges, bleus et rouges, brillaient.

[ceux qui ont la flemme de lire la période « quelques jours avant », peuvent commencer à partir de « le jour enfin arrivé» lol)

Quelques jours avant

Mes pieds nus glissaient le long de l’herbe grasse et verte. Silencieuse, fluide et tout en souplesse, je m’éloignais peu à peu d’un village à l’apparence misérable où je m’étais arrêtée durant une nuit pour reprendre mes forces perdues durant les trois derniers jours que j’avais passé sans dormir. La main posée sur la garde d’un long katana, je remis en la longue bande de tissus blanc qui m’enserrait la poitrine et continuai d’avancer, mes longs cheveux argentés battant dans mon dos en un rythme régulier. En unique ornement dans ma chevelure gris perle, j’avais fait une fine tresse , laissant mes mèches rebelles caresser mon visage fin. A la lumière du soleil, ils faisaient plus blancs que métallique, mais c’était lors de la nuit, sous la lune que l’on voyait vraiment mon apparence telle qu’elle était vraiment… Effleurant le velours de ma joue pâle, je jetai un coup d’œil derrière moi, m’apercevant que je me trouvais désormais en pleine nature, entourée d’une multitude de fleurs des champs. La vision d’une jeune femme au milieu d’un tel paysage était peut-être idyllique pour certain, mais pour moi ce n’était qu’un lieu comme un autre, seul l’astre lunaire pouvait me frissonner de plaisir, hors en fin de mâtiné, j’avais le temps.
Plongeant un pied nu dans l’eau d’un ruisseau je sentis la morsure de l’eau glacé m’enserrait la cheville comme un étau mais je ne retirai pas ma jambe pour autant. Me dévêtant lentement, je posai mes habits sur la rive et dénouai mes longs cheveux pour me laver, me retenant de bondir en dehors tellement la température était basse. Une fois que je fus satisfaite, je me laissai tomber sur les galets et avisai mes vêtements défraichis. Ils étaient désormais immettables et je me résignai à attraper mon sac pour en sortir d’autres. Un kimono, des sandales, tout cela remontait à longtemps, moi qui avais porté des vêtures plutôt simples…

Souvenir… Finissant de coiffer mes cheveux, je me relevai et m’étirai longuement avant de reprendre ma marche, droit vers le sud. La raison de cette escapade ? Et bien on avait tout simplement aperçu un groupe de personne à l’apparence étrange auquel, à ce qu’il parait, appartenait des individus à l’apparence elfique dont l’un d’eux avait les cheveux d’un argenté éclatant, et l’une d’elle était aveugle. Des elfes il n’y en avait pas cinquante, c’était les hayano, quand aux descriptions il ne pouvait s’agir que de ma sœur ashura et de mon ainé Sesshomaru.
Souriant rien qu’en pensant à eux, je n’avais pas fait dix mètres qu’une odeur aigre et rance atteint mes narines à l’odorat développé. Plissant les yeux pour tenter de voir à travers les rayons qui tombaient sur la plaine fleuries, je les vis enfin : un groupe de brigands à l’air pataud qui se dirigeait dans ma direction. Vu la distance, ils ne m’avaient pas encore repéré et si je le souhaitais je pouvais les contourner sans qu’ils ne me voient. D’ailleurs, c’était ce que j’allais faire lorsque je vis que l’un d’eux trainer une jeune fille par les cheveux, à moitié dévêtue et le visage transi de peur. Sentant ma haine tenace envers les hommes s’enflammer en moi, je me dirigeai alors à grands pas vers eux, le visage impassible bien que ma main s’était crispée sur la garde de mon katana. Lorsqu’ils me virent enfin, des sifflements et des quolibets grossiers précédèrent mon arrivée et je m’arrêtai à trois, quatre mètre de celui qui tenait la jeune fille en pleur et qui semblait être le chef de tout ce petit groupe. Me lorgnant du regard, ses yeux s’arrêtant sur les parties de mon corps qui n’étaient pas couverte, un silence s’installa dans mon esprit, me coupant de leur raillerie futile. Enfin, lorsque l’homme de tête s’avança vers moi en tendant la main, ma lame trancha le vent tendis que je la tendais droit dans les airs, la pointe vers le ciel. Un filet de sang coulant le long de la lame aussi glacée que l’était mon regard, le chef s’effondra au sol, sa tête roulant à mes pieds. Ce meurtre me remit aussitôt à l’état présent et j’entendis le hurlement terrifié de la jeune fille captive, et des rugissements de rage des subalternes de celui que je venais de tuer. Tout le reste se passa dans un ballet sanglant. Virevoltant dans le vent, je tranchais sans m’arrêter, sans dire un mot, le visage dénué d’expression. Pivotant sur moi-même, je fléchis les genoux et embrocha le dernier survivant jusqu’à ce que ma lame ressorte de l’autre coté, teinté d’un liquide vermeille. Enfin, je dégageai mon arme et me tournai vers la fille prostrée par terre. Effectuant un sourire factice, je lui adressai quelques mots :

Vous les humains, même si vous êtes faibles, il n’y a aucune raison à ce que vous vous laissiez faire par vos propres congénères. Prend une arme et bats-toi… Adieu.

Loin après cette péripétie, les paysages commençaient à changer pour faire place à un espace plus sec. C’était la fin de journée et cela commençait à se voir, le soleil baissait progressivement à l’horizon, dévoilant ses rayons à la lueur rouge sang. D’après la direction que j’avais prise, je n’étais pas loin de la frontière et de ce fait, je savais que je croiserai alors peu de personne. Néanmoins, je comptais retrouver mon frère et ma sœur en pleine forme et trouver un endroit où dormir s’imposait. Lorsque j’avisai une bourgade (donjon :cheers :)je m’y rendis aussitôt et pris une chambre dans une auberge miteuse.
Assise sur le rebord de la fenêtre, je regardais la lune monter dans le ciel, les yeux mi-clos et ma tête rejetée en arrière. Un sentiment de bien être m’envahissait petit à petit jusqu’à ce que je vois enfin qu’un petit garçon me regardait en bas du bâtiment. Le visage éberlué, les yeux écarquillés, il me fixait sans rien dire, la bouche entrouverte. Je me résignai alors à aller voir ce qu’il me voulait, agacée d’être dérangée à un moment pareille. Sautant de mon rebord, je me reçu silencieusement devant lui et il trébucha sous la surprise pour tomber en arrière. Je ne disais rien et j’attendais qu’il s’explique. Il semblait savoir quelque chose et de ce fait, je devais voir un peu de quoi il s’agissait…

Dé-désolée de v-vous déranger, je… je voulais p-pas… ! balbutia t-il gêné.

Je ne répondis pas et me contentai d’hausser un sourcil d’un air interrogateur. Enfin, il se mit à parler et ce qu’il m’apprit me suffit à éveiller ma curiosité.

Des gens… comme vous, dit-il rapidement, sont passés par là… un homme, il vous ressemblait drôlement beaucoup ! Une femme, elle aussi elle avait un air de famille mais ils avaient les oreilles pointues comme les vôtres ! Ca doit pas être pratique à cacher parce que la preuve, je viens de voir ce truc et… Bref, reprit-il lorsque l’intensité de mon regard se fit plus insistant, ils ont tué un homme, y’a encore le corps vers les plaines et…heu je…

Sa voix s’éteint alors dans un murmure et je lui demandai de m’attendre là. Retournant dans ma chambre, j’ôtai mes vêtements trop voyants dans une nuit comme celle-ci et me revêtis de noir. Mes cheveux attiraient tout le monde comme un phare dans l’obscurité mais j’étais une elfe des ténèbres, me dissimuler serait un jeu d’enfant. Rejoignant l’enfant cinq minutes plus tard, je lui demandai de me conduire là où il avait vu le corps. C’était à deux kilomètres de là, en marchant vite j’avais le temps de faire un aller-retour avant qu’il ne fasse jour, et je pourrai peut-être même me reposer, ce qui ne serait pas de trop.
Levant la tête pendant que je marchais d’un pas rapide, j’entendais le trottinement de mon guide improvisé devant moi. Callant mon pas sur le siens, je me contentai une nouvelle fois d’admirer la lune et la beauté des étoiles. Dissimulée en partie par les branchages des arbres qui nous entouraient, elle n’était que plus belle et je laissai échapper un soupir de sérénité qui fit retourner le jeune enfant. Agé d’une huitaine d’année, il était pauvrement vêtu et je devinai qu’il était soit orphelin, soit très pauvre. Ou bien les deux. Néanmoins, je remarquai une nouvelle fois la bêtise humaine, chez nous les hayano, nous n’aurions pas abandonné l’un des nôtres comme cela.

Voila, c’est ici !

La voix fluette et tremblante de l’enfant me ramena à la réalité et je lui fis signe de partir avant de m’avancer dans l’ombre. Si je l’avais fait rentrer chez lui, était que je sentais que je n’étais pas seule. Une vieille femme était appuyée contre un arbre et me fixait d’un air soupçonneux. M’avançant vers celle-ci, je la saluai poliment et m’approchai du corps qui était à ses cotés. C’était un homme et étrangement, un sourire serein flottait encore sur son visage. Je savais que mon frère ne l’avait pas tué, même si il n’était pas proche de l’Homme, il ne prenait pas les vies aussi facilement, surtout lorsqu’il lui était possible d’éviter de le faire. Bien, ils étaient passés par ici, c’était certains. D’autres cadavres entouraient le corps et je reconnaissais là le carnage de mon ainé, j’étais sur la bonne voie. Me redressant, je fis un signe d’adieu à la vieille femme qui pleurait sans bruit. Cette personne devait être quelqu’un de chère pour elle. Me détournant avant de tourner à un angle, je plongeai mon regard dans le siens et lui dis sans faire transparaitre une émotion :

Gardez espoir, c’est l’une des seules choses bien qu’il vous reste.

Portant deux doigts à mes lèvres pour lui faire un dernier salut, je disparu de son regard pour rejoindre ma chambre.

Le jour enfin arrivé

Dissimulée sous une cape noire, le visage caché sous une capuche de la même couleur, je foulais le sol du canyon asséché d’un pas vif, le cœur battant de plus en plus fort au fur et à mesure que les traces se faisaient de plus en plus fraiches. Ils étaient proches, je le savais, je le sentais…
S’élargissant de plus en plus, le cour d’eau asséché s’étirait en parois de chaque coté de moi et je fus brutalement arrêtée par un couteau qui se planta avec un bruit sec à mes pieds. M’arrêtant, je maudis intérieurement mon manque de concentration et fis face à l’unique homme qui me souriait d’un air goguenard à trois mètres de moi. Aucun doute, c’était un ninja et non un vulgaire brigand qui me faisait face. Sortant mon arme, je remarquai la fluidité de ses mouvements. Expert en taijutsu donc…
Nous fonçâmes l’un sur l’autre au même moment et la lame de l’une de ses courtes épées effleura ma gorge, traçant un fin sillon écarlate. Je venais tout juste de manquer de mourir et cela me faisait rire. Vrillant du buste pour éviter un nouvel estoc, je fouettai l’air de ma lame comme à chaque fois et je sentis la chaire de mon ennemi se fendre contre celle-ci. Un grognement de douleur amplement satisfaisant résonna dans mon oreille et je me remis droite pour regarder mon œuvre. Son flanc avait été ouvert et je compris que même si il n’était pas mauvais au corps à corps, il ne restait qu’un homme. Mon katon le cueilli au creux de la poitrine et il s’envola prestement pour s’écraser contre la falaise. Décidemment, non seulement il était mauvais, mais en plus il n’avait pas de techniques…

**depechons…**

Après une heure de marche je les vis enfin. Un sourire illuminant mon visage fatigué, sans prendre attention au sang qui coulait de ma plaie le long de ma gorge, j’aperçu tout d’abord mon frère, ses cheveux semblables aux miens ondulant dans le vent et son style très reconnaissable. Vint ma sœur, aveugle et pourtant qui voyait plus de chose que tout le monde, belle douce et admirable. Les deux derniers je ne savais pas qui c’était, mais si celui qui était sur une monture semblait acceptable, celui qui se prosternait à moitié devant mon ainé me dégoutait. Un humain, cela allait de soit… Me dirigeant vers eux, à moitié en courant, je laissai échapper un éclat de rire.

Ashura, Sesshomaru !

Avant que ma sœur ne se retourne, je fonçai sur elle pour l’étreindre délicatement, enfouissant mon visage dans sa chevelure brune. Respirant son odeur parfumé, je m’écartai ensuite d’elle pour aller serrer mon frère de la même façon, peut-être moins longtemps car il était moins émotif que ma sœur. Ou du moins, il les montrait moins. Avisant le garçon qui était soumis à mon ainé, l’autre garçon lui demanda son nom et d’un kunai, je lui tranchai la gorge tandis que je laissai tomber ma cape en arrière.

Il n’a pas de nom, il n’en mérite pas.

♣Taiyou Canyon♣

~Départ d'une aventure dangeureuse ?!~ Viewpic-1-x500-y300-un-canyon

♪ Le canyon des frontières, vaste gorge encaissée et étroite aux parois vertical taillés en relief karstique...♪

/!\ Attention, Rp Merdique /!\

L'aventure commençait à peine pour le maître et son élève que plusieurs présences se fît sentir autour des deux hôtes de démons à queues au frontière d'un pays efflanqué et hostile. La première, étant celle d'un humain se dirigeant vers eux à grande allure, le prince elfique n'y prêta pas de grande attention jusqu'à l'instant ou celui-ci trébucha sous ces pieds en sollicitant le duo d'aventuriers. Un court moment de silence se fît, l'Hayano qui baissant sa tête pour observer le visage de ce jeune individu aux cheveux blonds et attachés, remarqua que se n'était qu'un gamin sans grande importance et qu'il allait sans doute quelques choses à leur informer pour venir se mettre en travers leur chemin.Se prosternant d'un air gêné, il demanda en adjurant d'un air asservis :

- Pourrais-je vous accompagner ? Je dois franchir se désert... et je ne sais point ou je suis présentement, je serais comme un fantôme vous allez pas me remarquer.

Son visage similaire à celui d'un chien battu, s'étant mit à genou, suppliant l'héritier du peuple mythique de la lune, lui qui dédaigna sa proposition en l'ignorant, autre chose semblait alors intriguer notre prince démoniaque aux marques violacés et à l'insigne en forme de croissant de lune sur le front lui faisant rappeler à chaque instants, qu'il est différent...

★ Ces odeurs ne me sont as inconnues, l'une d'entre elles est très proche et l'autre ne va pas tarder à faire son apparition... ★

Malgré les présences familières ressenties sous peu, le patriarche du clan dimensionnel se mit à jeter un regard du coin de l'œil en direction d'Aouëriss, qui avait totalement changé au niveau de l'odeur et de ces traits, il avait pris un air plus dur, impassible et disait des mots d'un langage inhabituel, l'aura qui l'entourait brillait de milles feux, que lui arrivait-il ? Était-il impatient de commencer les hostilités ou voulait-il seulement montrer cette seconde forme à son supérieur, tout pleins de questions sans réponse car, son professeur qui s'était retourné afin de mieux observé cette transformation, se contenta de fixer calmement son corps en surbrillance. Soudainement, de magnifiques ailes invisibles à l'œil nue d'un être humain se formèrent... aux racines multicolores similaire à celles d'un papillon de printemps, une beauté magique enrobait le petit Aurion qui ajouta une seconde fois un mot aux sources inconnues en émettant un son délicat...

る परम सिंबियोसिस る

★ Aouëriss... ★

~Départ d'une aventure dangeureuse ?!~ 100123011100720803

Disait-il dans ces pensées, son apprenti s'était pendant un court moment métamorphosé en une chose mystérieuse, Aouëriss était-il plus fort que Sesshômaru lui-même sous cette apparence ? Cela restait à voir. N'empêche que maintenant, le possesseur de Tenseiga devinait bien la véritable identité de son élève, sans pour autant lui dire directement, cependant, le Nuke-nin de rang C lui, n'avait jamais vu quelque chose d'anormal chez son initiateur, c'était comme si il l'avait toujours connu, l'elfe démoniaque avait peut être une apparence inhumaine au niveau de certaines caractéristiques et un chakra de la même définition, mais ces techniques en restaient néanmoins encore inconnus au yeux de celui-ci et de tous.

La seconde odeur se trouvait maintenant à quelques mètres, on pouvait apercevoir sa silhouette s'approchant du groupe d'hommes discutant au pieds d'une paroi, cette mystérieuse personne était habillée de façon assez couvert, une cape noir lui arrivant jusqu'aux pieds, camouflant tout ces traits corporelles, une capuche de la même couleur, dissimulant son visage au regard des deux humains anodins au côté de son frère, la femme adorable et assez petite de taille bouscula brutalement le blondinet insipide agenouiller en face du prince puis, serra celui-ci dans ces fluet bras de petite fille...

« Sesshômaru-san, je suis si contente de te revoir... Ça fait tellement longtemps.»

Disait-elle collé à lui, cette voix ne faisait que confirmer ce que pensait le mercenaire, en effet, il savait bien que l'odeur qui approchait devait être celle de sa sœur Ashura, cela faisait des lustres qu'ils ne s'étaient pas vu, depuis l'incident qui avait emmené le clan mythique à l'exile à cause des êtres humains qui trahirent le peuple fantaisiste. S'éloignant du corps de son frère la princesse solaire ne prêta même pas attention à Aouëriss, ne s'intéressant qu'a son frère aîné qui la regardait de bas tellement sa taille était de faible dimension, l'Hayano n'avait donc pas décidé de montrer sa véritable forme d'antan...

Ashura, que fais-tu ici ? M'aurais-tu suivis ? ~Départ d'une aventure dangeureuse ?!~ Star3

Spoiler:

Répondit le noble être elfique, mais au même moment, la troisième odeur senti il y a peu refît surface au loin, il s'agissait d'Heiwa, la plus jeune de la famille royal principal, courant vers ces deux congénères le sourire aux lèvres, sa longue chevelure blanchâtre virevoltant au gré du vent, la jeune elfe cria au loin en rigolant puis en s'approchant de ces deux frères et sœurs d'une façon un peu gênante pour :

Ashura, Sesshomaru !

★ Heiwa aussi... ★

Pensa Sesshômaru. En un instant, alors que le Déserteur de rang C revenait avec une créature plumés et loufoque, demandant le nom du jeune humain au cheveux blond, celui-ci n'eut même pas le temps de répliquer à l'élève du prince lunaire qu'il se fît tranché la gorge avec un kunai.

Il n’a pas de nom, il n’en mérite pas.

Cette phrase sortant de la bouche de la cadette de son maître attira un long silence, la haine envers l'être humain que ressentaient celle-ci semblait aussi forte ou si ce n'ai plus forte que celle que ressent son aîné qui pourtant possède déjà une rage profonde contre cette sous-race qui ne méritait pas de vivre.

Aouëriss, nous allons nous séparer pendant un moment,
tu emmèneras Heiwa avec toi... ~Départ d'une aventure dangeureuse ?!~ Star3

~Départ d'une aventure dangeureuse ?!~ 100123011445482344

Annonçait-il, en débutant sa marche quelques minutes après, puis la stoppant, il tourna sa tête en direction de sa sœur recouvert de tissu noir favorisant l'entré de la chaleur il ajouta paisiblement :

Ashura tu ferais mieux de reprendre ta véritable forme si tu ne veux pas étouffée, tu n'a rien à me cachée. Sur ce, allons-y. ~Départ d'une aventure dangeureuse ?!~ Star3

La quête pour l'obtention de la pierre tombale continuait, le désert était encore à quelques kilomètres mais la marche pied ne ferait pas de mal aux deux Hayano, sa leur permettrait d'évoquer certains souvenirs infantile...

[ voilà j'ai baclé, donc Heiwa et Aou vous allez changer de topic et l'on se retrouvera au souk ou à l'oasis si l'on peut y pénétré ensemble ]

[post réservée] * désolée je fais comme ça maintenant pas envie de seconde surprise...*

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