De temps en temps, lorsque je m'ennuie je me pose d'étrange réflexion, celle du moment est sur le temps qu'il fait à Kiri no kuni, mon chère village adoptif.
En effet, le soleil, source de chaleur et de lumière, n'apparait presque jamais à kiri, il est soit cacher par les nuages, soit par la brume, un preuve de cette malediction est que hier le ciel était déguagé, il n'y avait pas de brume pendant quelque minute j'ai bien cru que se jour allais être le plus beau de ma vie, mais c'était sans compté cette fichu malédiction, il y eut un évènement incroyable celon les astronomes, une éclypse solaire, pendant quatre heures, et lorsque la lune eut bien voulus nous laisser notre soleil la brume monta et le cacha!
De toute façon aujourd'hui c'est mon jour de congé et rien ne pourra le gacher, ni le temps qu'il fait, ni une guerre de shinobi, rien ne pourra me faire changer d'avis, cette journée est ma journée de congé payé...
Que ces mots sonnes justes à mes oreilles, congé payé, si je tennais le génie qui a inventé cette chose je pensse que je l'embrasserais, je suis payé pour profité de ma journée, un dimanche sans soucis.
Une fois bien motivé et bien sur habiller je me dirrigea vers la porte de mon appartement, suppliant jésus, bouda et même bob l'éponge qu'il ferait beau aujourd'hui, lorsque j'ouvris la porte un vent glacé vint me faire frissoner,
j'ouvris alors la porte interloqué, que ne fut pas ma réaction quand cette petite tache blanche toute froide toucha le bout de mon nez, il neigait.
La temprature glaciale me força à rentrer prendre un menteau bien chaud, je pris mon courrage à deux mains et sauta pied join sur les escaliers pleins de verrs glas, j'ai bon esseyé de me rappeller je ne pensse pas avoir déssendus les deux étage de mon immeuble aussi vite.
Une fois en bas je décida, tout d'abord de me relever, enssuite de me dirriger vers le port qui devait être fermé par le temps qu'il faisait.
Je fus surpris de voire que les braves marins de kiri avait sallé l'eau du port permettant de continuer à travaillé.
*quel courrage*¨me dis-je.
je m'assis sur la berge gellé et resta là un bon moment à observer les bateaux arriver et partir, après un petit temps celà commença à devenir lassant je déssida alors je de partir, au moment ou je réussis enfant àdécoler mon menteau de la glace j'entandis un cri.
"un homme à la mer"cria un marrin
"le pauvre, l'eau doit être glacée"dit une vieille dame
Ma journée de congé vennait de tomber à l'eau, l'itterallement, je n'avais plus qu'a sauté secourir se pauvre marrin surgellé, n'aimant pas trop les produit surgellé je dessida de marché sur l'eau et de le récupèrer avec ma flute une fois audessus de lui.
L'operation se passa sans accros, euh si il y'en a quand même eu un, j'ai attrappé un mauvais rhume.