Une croisière improvisée

Milena après avoir demandée à Shiro de lui raconter sa vie, se rendit compte qu’elle avait fait une erreur. Effectivement tout hyuuga avait ce dont, celui de percevoir les sentiment des gens uniquement par leurs regards, et elle voyait bien que Shiro était partagé entre la gène et le refus de parler. Elle tacha de se rattraper, mais c’était trop tard. Il avait déjà commencé le récit de son existence, il était né a Ozamaru une cité dans… :

- Une cité dans les airs ?! Répéta la jeune Kage en ouvrant grands les yeux.

*c’est vrai ce mensonge ?*

Une telle chose était donc possible, une citée volante. Un lopin de terre des gravas du ciment des briques et tout autre première matière de construction d’une maison. C’était assé dur de croire que cette Ozamaru existait, mais il ne semblait pas mentir. En écoutant la suite de l’histoire, elle apprit qu’il avait un frère qui jouait pour des archanges.

- D…D… Des Anges …!? Répéta t-elle a nouveau avec un air de total incrédulité.

*Serait-t-il en train de me dire qu’il est lui-même une sorte d’ange ?* Se demanda Milena qui n’en croyait pas ses oreilles.

Toute fois la vois de Shiro était fluide et continue, elle ne tremblait pas, et il ne clignait pas souvent des yeux, fixant un objet quelconque sur le pont. Preuve de cette même gène qu’il avait éprouvé avant de commencer à parler, en gros il ne mentait pas. En tout cas si il le faisait, il était passé maître dans la matière, car son chakra était entièrement stable.
Quoiqu’il en était, il continua son histoire, comme quoi cette même citée a été détruite par un drôle de démon l’avait réduite en cendres. Selon lui, il y a eu peut de survivants ; il avait lui-même été envoyé sur terre, mais ses parents n’on pas eu la même chance. Il avait donc été élevé par des enfants de la rue et avait finit par s’inscrire a l’académie de kiri.
Lorsqu’il eu finit son récit, Milena soupira et leva la tête vers la mer. Le soleil se couchait et inondait l’océan d’une éblouissante lumière orangée, c’était magnifique et cadrait parfaitement avec l’histoire de Shiro.
Entre temps le bateau avait mit les voiles, ils avaient quitté le port depuis un petit moment et avançait maintenant sur une et calme et paisible. Milena se passa la main droite dans les cheveux, mettant une mèche rebelle derrière son oreille puis s’accouda aux rebords du bateau en observant l’infinité de la mer. Sentant un regard posé sur elle, elle tourna son visage angélique vers Shiro aurion qui l’observait perdu dans ses pensés.

- Tout va bien ? demanda t-elle avec le sourire.

- « Et toi Milena-San, quelle est ton histoire ? » demanda t-il soudain.

Ayant beaucoup souffert dans sa jeunesse, elle ne tenait pas tellement à en parler. La jeune fille reporta son attention sur la mer et son visage avait prit une expression sérieuse, elle lui avait bien demander de lui raconter sa vie et il l’avait fait, alors pourquoi ne le ferait t-elle pas ?
Tandis que le vent passait dans les cheveux de la jeune blonde, elle poussa un faible soupir, prit une inspiration et commença :

- La première chose que tu dois savoir sur moi est que je suis une nuke nin de konoha, j’ai déserté le village il y a au moins deux bonnes année de cela … dit t-elle en levant la tête vers le ciel orangé. j’ai quitté le village car en venant a kiri lors d’une mission que l’on m’avait donnée, j’ai fait le serment de le trahir. Pour qu’elle raison me demanderas-tu. Tout simplement parce que je devais me venger d’une personne en particulier, mon père. Mon père était un shinobi de kiri, il a rencontré ma mer, une anbu de konoha qui avait été elle aussi envoyée en mission à kiri. Elle était en mission d’espionnage et se devait d’envoyer des renseignements sur les forces militaires du village de la brume, toute fois, environ une semaine après qu’elle eu fait son campement en dehors du village, elle s’est faite surprendre par un groupe de ninjas qui l’espionnait depuis son arrivée. Les combattants ont réussis a l’avoir et l’on gardée en vie dans une cellule des mois durant, c’est dans cette période que j’ai été conçue. Elle souffla un coup puis reprit. Quelque mois après, ma mère a réussi à s’enfuir du village de la brume et a fuis jusqu'à konoha, le village qui n’a pas daigné lui venir n aide quand elle en avait le plus besoin. Après l’humiliation qu’elle avait subit elle décida de ne pas entrer dans le village, mais de se donner la ort. Mais elle comprit bien assé tôt qu’elle était enceinte de moi. Pour me sauver d’une mort certaine, elle me mit au monde et m’éduqua pendant dix ans, sans aucun doute les dix meilleures années de ma vie. Elle marqua une pause, et un petit sourire se dessina sur ses lèvres… Pendant ces dix années, elle m’apprit à me battre et c’est à mes 7 ans que je parvins à tuer un shinobi ennemi. Bien sur je l’ai eu par surprise. Ce denier voulait infiltrer le village de la feuille. Il n’a pas de chance… enfin bref, lorsque j’eu dix ans, elle resta terrée dans la forêt et m’envoya a konoha avec une lettre pour leur hokage. Je ne sais pas ce qu’elle lui avait écrit, quoiqu’il en soit je fut logée et nourrit. Le lendemain je retournai voir ma mère, mais elle s’était donnée la mort en m’expliquant le pourquoi elle s’était suicidée. Ne pouvant pas laissé son corps comme ça, je l’ai enterrée et ai vécue seule jusqu’à présent…
elle marqua une nouvelle pause, plus longue que les autre ; fouillant dans sa mémoire a la recherche du visage de la femme qui l’avait mise au monde.

Dans une lettre qu'elle m'avait laissée, je connu le nom et l’endroit où se trouvait la personne qui était à l’origine de tout ceci, un hyuuga de kiri. C’est aussi la raison pour laquelle je m’appel Saber et pas Hyuuga. Bref quoiqu’il en soit je suis allé à kiri en mission comme je te l’ai dit tout a l’heure et au lieu de faire ce pourquoi on m’avait envoyé je demandai un combat singulier a mon père qui était mizukage. Je parvint à le battre et m’empara de son titre… Voila l’histoire de ton kage. Dit t-elle en se retournant ver Shiro, toujours avec le sourire. mais l'on devait bien voir que celui là était un peu forcé, car elle ne voulait pas rendre qui que ce soit triste avec son histoire, donc elle voulait prouver par là qu'elle allait bien, ce qui n'était absolument pas le cas.

Un léger tintement se fit entendre, quelqu’un avait tapé dans un triangle indiquant qu’il était l’heure du soupé. Surprise Milena regarda autour d’elle et se rendit compte que la nuit était tombée.

- A force de parlée je ne me suis même pas rendu compte que le temps passait… dit t-elle avec un sourire gêné. Bien allons manger… Lançât t-elle en se dirigeant vers la salle a mangé du bateau, suivi de près par son escorte.

J’étais comme pétrifier lorsque Milena-san eut finis de me raconter son histoire, la douleur avait été en quelque sorte son quotidien, une vie dur comme la mienne, je commençais même à croire que le village de la brume rassemblait tout les cas sociaux des différentes nations et que le village formait une sorte d’arche qui protégeait et acceptait tout les gens qui avait que trop connus la souffrance des guerres et des autres fléaux abominable créer par l’humanité.

La dernière phrase de Milena-san résonnait encore dans ma tête lorsque son sourire crispé vint essayer de me rassurer sur son état, je ne comprenais pas comment elle avait pu souffrir autant dans sa si courte vie, bien sur son sourire crispé ne me rassurait en rien au contraire il m’incitait à croire que elle allait moins bien que je ne le pensais, je m’inquiétais beaucoup pour cette femme que je rencontrais pour la première fois, j’avais comme une sorte de lien avec elle comme si nos âmes étaient relié par un fil invisible et pourtant incassable, je suis sur que si j’avais eu une grande sœur elle ressemblerait à Milena, si seulement j’avais eu une grande sœur…

Un tintement aigu se fit entendre et me sortit de mes ténébreuses pensée du moment, le bruit était aigu et horriblement agaçant malgré la seul fois où nous l’avions entendu, il provenait d’un instrument de musique mal utilisé, je ne supportais pas ça, je ne supportais pas que l’on puisse se servir aussi mal d’un instrument en ayant le sourire un plus, pour moi les instruments ont une âme, et c’est cette âme qui permet au homme de produire des sons tristes comme des requiem et d’autre beaucoup plus entrainent qui vous donnes envie de danser toute la nuit ; un instrument mal utilisé était un instrument triste et un instrument triste est un instrument qui ne produira plus jamais un bon son, comme un piano qu’on laisse seul dans une cave froide et humide.

Milena souris d’un air gêné lorsqu’elle s’aperçut que nous avions passé beaucoup de temps sur le pont supérieur à discuté de nos histoire respective, j’en avais appris beaucoup en quelque heurs sur la Mizukage que je ne connaissais pas avant notre voyage ; son sourire avait quelque chose d’angélique, il était radieux et vrai, enfin un vrai sourire qui ne sent pas la crispation et l’envie de rassurer à tout pris, un sourire expressif est un sourire heureux, et un sourire heureux est comme un hymne joyeux : il vous donne l’envie de chanter et danser et vous réchauffe le cœur.

Milena partis alors devant je la suivais de près avec les gros gorilles de kiri derrière moi, je sentais leurs souffle chaud dans ma nuque, un sentiment vraiment oppressant s’empara de moi soudainement, eux aussi était des cas sociaux apparent, l’un était bête comme ses pieds et les autres se marchait sur leurs cerveau assez souvent que pour que leurs ampoules aient des ampoules.

Lorsque nous passâmes à côté du marin qui sonnait la soupe je lui saisis le triangle des mains et le glissa doucement dans ma poche, je m’arrêtai quelque seconde à l’observer et je lui dis enfin :

« Laisse tomber la musique, sa vaut mieux pour nous tous. »

Je laissa l’homme surpris reprendre ses esprits et je rejoignis Milena-san et les « cas sociaux » sur une table de bois composite collante à cause des nombreuses boissons qui sont passée sur sont bois irrégulier et de seconde main.

Je regarda Milena-san dans les yeux et souris et disant :

« On aurait pu plus mal tomber, au moins il y a des chaises »

Je souris en cherchant du regard un serveur qui serait assez sobre pour nous servir sans renverser la moitié des verres avant d’arriver à bon port.