Aux armes ! [PV : Tout les ninjas du village]

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HRP : comme vous l'aurez compris, l'heure de la guerre a sonné, veuillez tous poster ici, la suite des évènements, vous la connaitrez ensuite, ordre de Saber Milena.

Cinq heures déjà… Je n’arrivais toujours pas à dormir. Ces années passées à vivre la nuit avait laissées des marques sur mon esprit. En fait, le fait de me tourné encore et toujours dans mon lit commençait à m’énerver. La fenêtre ouverte et mon rideau bercé par le vent me donnait presque envie de vomir. Pourquoi je n’y arrivais pas ? Je n’en savais rien, mais je devais tout de même vivre avec. Le temps passait, l’aiguille tournait et moi avec. Bref, je devrais probablement aller faire un tour. Je me levais et passait directement par ma fenêtre pour sortir. Après tout je faisais ce que je voulais j’étais chez moi et ma position me donnait un minimum de crédit. Bref, juste de quoi m’amuser un peu. Marchant, les mains dans les poches, les yeux fixés sur mes pompes. L’air frais me faisait le plus grand bien. Lorsqu’à un croisement, un courant d’air venait emporter ma casquette, laissant apparaître les oreilles pointues que j’avais toujours pris peine à cacher, bien que mon bandana rouge venait en recouvrir une grande partie. J’utilisais alors toute ma vitesse pour attraper mon couvre-chef au vol et seul ceux d’un niveau relativement haut aurait pu voir ce qu’il venait de se passer. Une fois ma précieuse visée sur mon crâne j’apercevais une activité anormale du côté de la salle d’entrainement. Ce dojo habituellement vide à cette heure se voyait étrangement empli et plein d’une foule curieuse.

Bien entendu, je prenais moi aussi la peine de me rendre sur les lieux, seulement, l’odeur de sang qui y régnait empestait sur un rayon conséquent. Je reconnaîtrais cette odeur entre mille. Ce genre d’odeur qui me ferait entrée dans ma folie meurtrière que je devrais apprendre à contenir. Seulement cette fois-ci je voulais en savoir plus. Ma carrure fine me permettait de me faufilé au milieu de cette foule. Même ceux qui refusait de me laisser passer revenait sur leur décision en voyant mon regard et en reconnaissant probablement ces cicatrices qui faisait une de mes caractéristiques physique. Une fois positionné correctement je pouvais apercevoir un pauvre type se faire martyriser par un autre type qui semblait plutôt fort. Son katana laissant le sang de son adversaire s’égoutter à terre. En fait, en l’observant on pouvait reconnaitre Eaque-sama. Enfin, sur ce qu’on m’a dit sur lui il semblait que c’était lui. Certes je ne le connaissais pas personnellement, mais sa réputation était parvenue à mes oreilles. Et surtout, il était le bras droit de Saber-sama, que je ne connaissais pas non plus cela dit… Bref, Eaque était réputé comme quelqu’un de cruel, impitoyable et extrêmement fort. Bref, l’issue des combats qui pourrait se dérouler ici était connue d’avance et je n’avais aucun intérêt à les regarder. Ce ne serait qu’une perte de temps puisque je ne verrais pas le niveau maximum de ce type.

Je repartais donc de la salle dont la chaleur se faisait pesante. De plus, l’odeur du sang semble avoir fait son effet. Je commençais à entrer dans une certaine transe et je devais me maitriser tant que je le pouvais encore. J’allais donc dans un lieu calme, loin de tout, où l’air y était bon à respirer. C’est sur un banc proche d’un lac que je trouvais mon bonheur. C’est la tête penché en arrière que je trouvais enfin le sommeil. Mon inconscient encore excité par cette odeur si singulière. Je revoyais en boucle les images des meurtres que j’avais commis par le passé. Puis on vint finalement me réveillé. On m’ordonnait de me préparer et de me rendre le plus vite possible devant la tour du Mizukage. Ordre de Eaque-sama. Ce nom, Eaque me rappelais cette odeur de sang, me laissant entrer dans un état second. Et comment un être aussi faible voulait me donner un ordre. Mon corps commençait à trembler, laissant mon âme pénétrée par la folie. Un large sourire venait se dessiner sur mes lèvres. J’attrapais rapidement ce petit shinobi par le bras avant de le faire tourner d’un coup sec. C’est le craquement des vertèbres qui venait me réveiller en quelques sortes. C’est sur une simple excuse que je partais en direction de la tour, mon yoyo dans la poche, je n’avais plus qu’à attendre, les instructions. Mais en voyant le monde qui était déjà présent, je me disais que cette fois-ci, c’était un gros coup qui se préparait.

Spoiler:

Il faisait agréablement doux pour une aube qui peinait pourtant à tendre le bout de son éclat céleste… Comme depuis déjà plus d’un an, je dormais au sommet d’un arbre… Niché au creux d’une branche, je profitais de ces rares moments où j’étais au calme avec la nature… Rien à dire là-dessus, c’était ici que je me sentais parfaitement à l’aise et en sécurité… Les yeux fermés, l’une de mes jambes se balança comme le lourd balancier du temps… Temps qui file sans pour autant s’arrêter, qui ne nous laisse pas le moindre répit, qui sans cesse court pour qu’au grand jamais nous puissions le rattraper… Cependant, il en faut plus pour me déstabiliser… Maitriser le temps parviendrait à contrôler le monde… Un jour… Oui, un jour je trouverais le moyen de jouer de cette chimère que tous croient incontrôlable… Impossible n’est rien… Rien de plus qu’un mot usé d’un vocabulaire tout aussi vieux que nos villages cachés… Je souriais sous cette remarque qui venait de naitre, rire un peu de temps à autre ne faisait pas si mal que çà… Soudainement, un battement d’aile me ramenait peu à peu à la réalité… Il s’agissait d’un moineau commun qui revenait avec un pigeon… L’association des deux oiseaux pouvait paraitre ridicule et pourtant non… J’avais réussis mon affaire, les deux compères revenaient de leur mission de la veille… Celle de me trouver le village de Kiri… Dire que cela faisait quelques mois que je tournais en rond pour le trouver ce maudit village… Aussitôt dit, aussitôt fait… Sautant du haut de mon lit de fortune, je me mis à court rapidement tout en suivant mes deux guides personnels… Je n’avais encore rien mangé mais qu’importe, le village caché du pays de l’eau ne devait plus être trop loin… Courant à travers la forêt qui bordait le village, je ne pus m’empêcher de récupérer quelques pommes qui ne demandaient rien d’autre si ce n’est finir dans mon estomac… Malheureusement, je ne pourrais en manger une que lorsque ma course sera terminée…

Ainsi, au détour d’un buisson, je manquais de tomber à l’eau… Mes guides volant venaient de me conduire aux limites terrestres… La suite se ferrait à la nage sauf… Sauf ci l’un de mes volatiles alliés du jour ne m’avait interpellé pour que je regarde en sa direction, direction qui indiquait une petite embarcation… M’approchant, je tombais nez à nez sur un ninja qui revenait de mission… Celui-ci remarqua ma lourde épée et pointa son arme en ma position… Levant les mains aux cieux comme l’aurait fait toutes personnes jugée, à tort coupable, j’attendais la sanction… Elle ne se fit attendre, je fus ligoté et conduis au village dans cette barque sans aucune sommation, ni résistance de ma part… A vrai dire, cela m’arrangeait de me faire conduire à Kiri sans vraiment me fatigué… Le voyage fut vraiment court, je distinguais enfin le petit cercle dorée, signe d’une belle journée mais aussi qu’il n’était qu’à peine 6h… La barque touchait enfin le ponton en bois, annonçant l’arrivé… Mon chasseur si je puis l’appelé comme cela me conduisit au bureau de la prison… Au bout d’un quart d’heure, voyant que je n’étais plus une menace, car non répertorié aux bingos book de tous services confondus, je fus libéré… Mais à peine je récupérais mon arme, un type en masque venait me trouver… Il avait été sois disant avertis par Eaque-Sama qu’il fallait que tous les ninjas devaient se rendre à la tour du Mizukage… J’étais couvert de boue, j’avais faim… Mes pommes pouvaient servir mais je voulais un vrai déjeuner, un bon bain et un lit pour me reposer un peu… Enfin, il fallait prendre son mal en patience…

Aux armes ! [PV : Tout les ninjas du village] 14556687

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Je ne connaissais rien de me mon niveau… Je n’étais même pas encore officialisé dans ce village et me voila déjà embarqué dans une histoire propre à ce dernier… Accrochant ma lourde épée pour ensuite la fixé derrière moi, je décidais de prendre un peu d’altitude pour voir où se situait cette dite tour du Mizukage… Ainsi, au bord d’un toit d’une hauteur convenable, je découvrais le village caché de Kiri… Rien à dire, un village de taille conséquente… Cela changeait des petits bleds paumés que je traversais pour venir jusqu’ici… Enfin, pour le moment, il fallait que je suive l’afflux constant de ninjas dans la même direction… Celle du bureau que tous convoitaient…. Allez hop, entrons dans la dance, lui plus moi, plus elle, plus eux, plus vous pourquoi pas… Un truc étonnant, ils avaient tous un bandeau… Et moi NON… Injustice, peut être ou surement le faite d’un état d’alerte… Bof, m’en fout un peu du bandeau, le principal était de savoir ce qui ce tramait dans ce bâtiment… Me mêlant aux autres ninjas, comme ci j’étais un serpent, je me faufilais à travers les gradés de Kiri… Ma vie de vagabond et ce contact particulier avec la nature m’avait permis d’être un traqueur assez doué… Juste assez pour que je découvre un homme derrière son bureau, dissimulé par la paperasse… Sans doute lui ce fameux EAQUE… Qui sait… Maintenant, il ne me restait plus qu’a attendre…

Cinq heures du matin... Je ne parvenais pas à dormir et j'ai passé toute la nuit à me rouler dans ma couette. J'en avais marre de faire ça. Levant les yeux vers ma fenêtre, j'observe la lune qui était merveilleuse ce soir. Je manifeste un sourire tandis que je mets ma couette sous mon cou. Je ne sais pas pourquoi mais je commençais à avoir froid. C'était l'une des rares nuits où la lune était visible. Pas de nuages, pas de brouillard mais le calme était frais. Je ferme les yeux et je tente de dormir un peu... Mais comme depuis le début de la nuit. Soupirante, je me lève doucement afin de ne pas réveiller mes deux tuteurs qui j'aime beaucoup et qui m'élève comme si j'étais leur propre fille. Je trouve ça super gentil de leur part. Pourtant, il m'arrive souvent d'être de trop. Mais bon, j'accepte ma différence avec amusement. En parlant de ça et si j'allais voler un peu ? Hum... Cette idée n'est pas bête. Prenant des vêtements dans l'armoire, je m'habille en vitesse et je file dehors Oui, j'aime les risques mais pas inconsidéré... Je suis téméraire mais pas suicidaire. Il faut savoir la différence entre les deux. Discrètement, je marche en direction de l'extérieur de la maison. Je fais délicatement glisser des portes pour les refermer derrière moi. Je ne voulais pas qu'ils s'inquiètent pour moi... Je passe la porte de l'extérieur et une fois fait, je ferme les yeux. Je me concentre et je fais appel à mon paon. Des ailes de chakra violette se manifeste sur mon dos et je pus d'un saut m'envoler et faire comme les oiseaux... Montrant un sourire, je vole au dessus du village. C'est agréable et je suis la seule à être capable mais je savais pourquoi... Mais ce que je savais me rendrait aussi folle de rage. Car même si je dispose d'un chakra assurément fort pour mon niveau, cela la tuait de l'intérieur. En effet, la pierre qui ferait battre son cœur détruit son corps et il ne lui reste plus énormément de temps avant de mourir. Je le savais et au fond de mon cœur, je voulais en profiter un maximum. La vie ne fut pas si simple pour moi mais actuellement, j'étais stable et je voulais le rester. En plus, cela ne me fatigue pas alors je pouvais faire ce que je voulais dans les airs. A Kiri, ils savent que je peux voler alors ils ne s'inquiètent plus lors qu'ils voient un chakra violet dans les cieux. Et puis, je pus me rapprocher de la lune éclatante.

Cela faisait un moment que j'étais dans les airs et je ne savais pas quelle heure il était. Je m'étais poser quelque part en hauteur et je commençais à fatiguer. Chouette, j'allais pouvoir me reposer. Pratique ! Je reprends mon envol pour rentrer au village chez mes parents. Mais en passant au dessus des portes, je vis un drapeau blanc en bas et qui semblait être diriger vers moi. Tient, pourquoi ? Je fronce un sourcil avant de me diriger vers le lieu. Un ninja de rang supérieur au mien cesse de le battre lorsque j'arrive à proximité; Je m'arrête près de lui tout en restant dans les airs mais à quelques centimètres du sol. Il retire les nœuds du morceau de bois qu'il avait utilisé pour faire le drapeau. Généralement, je savais ce que cela voulait dire. J'attends qu'il ai fini avant d'entamer une discussion.

« - Bonjour ! »
« - Bonjour Megami. Tu vas bien ? »
« - Je vais très bien et vous ? »
« - Je vais bien, je te remercie ! Bon, le bras droit du Mizukage demande une réunion d'urgence. »
« - A cette heure-ci ? Il est quelle heure ? »
« - Oui, maintenant et il est six heures et demi ! »
« - Déjà ? Mince, j'aurais voler autant de temps... J'ai pas vu le temps passer. »
« - Voler ? »
« - Je n'arrivais pas à dormir alors j'ai voler une heure dans les cieux de Kiri... »
« - Je vois. Tu sais où te rendre ? »
« - Oui mais dis-moi qui est le bras droit du mizukage ? »
« - Il se nomme Eaque et il est toujours en armure ... »
« - Hum... Ahhh, c'est lui. Tu m'apprends quelque chose. Faut dire que j'ai du le voir une fois... »
« - C'est vrai qu'on ne le voit que lorsque le Mizukage est absent... »
« - J'approuve. Bon, allez, j'y vais. Merci de m'avoir prévenu ! »

Je reprends mon envol mais je fais du rase motte car je devais traverser le village pour me rendre chez le Mizukage. Pas que je suis ravie mais le travail n'attend pas. C'est moi qui dit ça alors je ne suis même pas capable de rester calme et patiente... Je secoue ma tête et je me concentre. Mes cheveux sont poussés vers l'arrière à cause du vol et du vent qui se lève. Il fallait bien que le brume se lève sinon comment on peut se défendre ? Bonne question. De toute façon, le brouillard était presque toujours là. A croire que les ninjas de la brume devaient surveiller que le village soit sous la brume de manière constante... J'arrive le plus rapidement possible et j'atterris sur le toit; Pratique de voler non ? Moi, j'adore. Même si je n'avais pas dormi de la nuit, quand le village appelait à l'aide, je me devais d'être présente. C'était le cas. Annulant mon paon, je marche en direction de la salle de réunion où je vis des gens et ce fameux bras droit. Il était occupé avec des papiers à la noix... Je n'aimerais pas être assis derrière un bureau à lire et signer des papiers à longueur de journée. Au départ, je pensais que l'ambiance allait cesser mais plus je restais dans la salle et plus je me sentais étouffer. Ce n'était qu'une impression... Je regarde Eaque-sama sans rien dire. Mais j'avais les yeux d'une couleur particulière du à mon statut de ninja maitrisant les techniques de l'étoile. Parfois, il arrivait que mes yeux prennent la couleur de mon chakra. Pourquoi ? Je ne sais pas mais cela arrivait. Je me mets dans un coin après avoir salué le bras droit. Il est quand m^me mon supérieur hiérarchique, je lui dois le respect. Quand à mes camarades présents, je les salue d'un signe de tête. Je pense que les autres font arriver... Je me tus durant tout ce temps là. Je n'attendais que le moment où il parle mais je restais dans mon coin. Vient alors le moment où il nous annonce que l'on parte en guerre. Je suis restée sur ma faim car il n'y avait pas de détails. Mais il nous les donnera probablement ça après. Je ne devais pas être pressé. Malheureusement, je suis très impatiente... Je lève alors les yeux vers le bras droit du chef... Comme les autres, j'attendais les détails. Je croise les bras en soupirant.

Edit de 18h30: Je ne peux pas partir en guerre de suite. On vient seulement de me dire par MP que ma fiche technique n'était pas valable alors qu'elle est verrouillée depuis plus d'un mois et demi.

Assis derrière la fastidieuse pile de papiers qui tels de vulgaires moucherons amorphes faisaient bourdonner mes oreilles d’une horrible sensation de travail inintéressant à accomplir sous peu en rentrant de cette bataille sanglante durant laquelle les buccins de la terreur allaient retentir comme le tambour de guerre d’un démon avide de destruction, brandissant comme un fou la lance de la guerre et de la cupidité, prêt à écraser tout ce qui oserait se tenir devant sa quête de massacres et de victoires.
Alors que je regardais quelques papiers concernant des missions, des comptes rendus détaillés de nos espions, dont l’écriture finement penchée et minuscule semblait avoir été faite par les pattes d’une mouche elle même… Peu m’importait réellement ces documents, mais le temps était tellement long alors qu’au dehors, sous le masque de nacre dont se paraît le village en une brume épaisse et mystérieuse, tel un labyrinthe tout droit sortit de la bouche des dieux, s’amassait un bataillon entier de ninjas qui composaient mon armée personnelle, les troupes d’élites du village que l’on appelait les Spectres de la brume. Les plus fort d’entre eux se tenaient en tête de ligne, brandissant avec fierté de larges hampes à la lame incurvée et finement aiguisée, des armes de guerre prête à mordre avec une avidité sournoise et sauvage la chaire de notre futur cible. Derrière eux se tenaient le reste de la troupe, composée de ninjas d’un niveau redoutable, un niveau tel qu’a eux seuls, ils seraient capables de conquérir un village. Puis arrivèrent ceux que j’entraînais tantôt, tenant maladroitement entre leurs mais les armes qu’ils venaient tout juste de recevoir en tant que symbole de leur entrée dans cette troupe de combat. Tous étaient couverts par des protections plus ou moins importantes, certains étaient vêtus de protections de cuir noir, et les plus gradés eux portaient de véritables armures de combat d’un noir d’ébène. Alignés en colonne autour de l’entrée de la tour, ils attendaient patiemment les ordres tandis que les premiers ninjas convoqués arrivaient.
Un bruit sourd résonna à la porte qui s’ouvrit à la colée tandis que pénétrait un véritable colosse dont la tête était entièrement recouverte par une cagoule noir, de petits trous au niveau des yeux et du nez lui permettant de respirer. Torse nue, ce monstre laissait apparaître ses muscles saillants pour faire encore plus prévaloir sa véritable fonction, celle de bourreau.

-Très bien te voilà Borkoff…
-Monsieur….
-Vas préparer tout le matériel, fais toi plaisir, emportes tout ce qui nous sera le plus utile, et plus particulièrement la roue…
-Avec plaisir monsieur…

Le géant repartit au moment où les ninjas du village eux mêmes pénétraient dans le bureau… Sans plus attendre je me dressais en écartant d’un geste rapide la montagne de paperasse, faisant au passage tomber une pile de feuille sur le sol de bois sur lequel les faibles rayons du soleil matinal venaient se refléter. Tout en me levant, je passais une main dans mes cheveux afin de les dégager du col de mon kimono noir, pour enfin ramasser le katana que j’avais récemment acquis afin de l’attacher à ma taille. Le fourreau de lame était d’un gris argenté pale, comme si il semblait avoir été fait à l’aide du nacre qui tapissait l’ultime rempart de ces créatures visqueuses qui vivaient au fond des mers. La garde d’un bleu sombre était construite dans le bois du vieux chêne que j’avais pour habitude de choisir comme repose dos lors des longues soirées que je passais à m’entraîner ou me reposer hors du village.
Après m’être complètement redressé, je tendis la main vers les nouveaux arrivants en déclarant :

- Aux armes messieurs dames, nous partons en guerre !

Ignorant complètement les réactions parfois choquées qu’affichaient les ninjas présents, je me mis à faire les 100 pas autour de la pièce.

- Je viens de recevoir un message de notre hum…. Chère Mizukage nous ordonnant de nous préparer à la guerre. Nous partons aujourd’hui même. Bien qu’elle ne soit pas au village, j’ai la certification qu’elle nous rejoindra. Je vous veux à 8 heures au port, les retardataires seront exécutés.

Et sans en attendre plus, j’ouvris la fenêtre qui laissait transpirer l’âpre lumière masquée du soleil pour me jeter dans le vide au milieu de mes hommes.

HRP / bon, y en a marre d'attendre tout le monde, comme me l'a dit Saber, tant pis pour les retardataires, on va pas tortiller du cul et attendre 2 siècles.
Post court, mais en deux parties, seconde partie au port au tout le monde devra poster aussi pour le départ. Les retardataires ont donc encore une chance de se rattraper en postant là bas.
Pour Asano, tu viens non mais, ta fiche sera surement revalider à temps ^^

SUITE ----> Port

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