In the Hayano Moonlight Forest ( Pv Hansol + Hayano )

☆ In the Moonlight Forest ☆

◈ Ce Rp se passe dans le pays de la lune habiter autrefois par les Hayano un ans avant la guerre ou plutôt la trahison des humains, le monde n'ai pas comme sur la terre c'est très différent et plus paisible ◈

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Dans la clarté obscure de la nuit forestière séculaire, le sentiment d'être entouré de proches perdu depuis des années, le regard levé vers le plan astral qui luit dans le domaine des Hayano lunaire, le prince de la patrie en compagnie d'une ravissante demoiselle elfique au cheveux lilas, son odeur dégageait un parfum délicieux enivrant et envoûtant, son regard bienveillant et ces pupilles couleur rubis d'une clarté ensorcelante, ses charmantes oreilles longues et pointues représentant l'elfe au sang pur, portant une magnifique tunique pourpre aux larges manches croisées et maintenue par une vaste ceinture jaune attaché en nœud de papillon dans son dos ainsi qu'un éventail blanc doux comme la soie. Cette jeune fille s'appelait Hansol, elle était la nièce de la reine des êtres fantastiques qui fut aussi la mère de Sesshômaru, étant par conséquent du même sang royal, ils avaient tout deux un rôle important dans la société principalement le jeune souverain du clan qui allait sans aucun doute prendre le relais lorsque le moment sera venu, possédant puissance intelligence, il avait le charisme d'un véritable seigneur, sa beauté légendaire suscitant une admiration chez certaines de ces congénères, Le fils du seigneur du clan avait tout pour plaire malgré une indéniable jalousie envers lui de la part de son frère héritier des elfes solaires, Katsuyuki.

Spoiler:

★ Une soirée spéciale s'annonce par ici...★

Pensait le possesseur de l'épée féerique Tenseiga. Entourés d'arbres éclairé par la lumière brillante qu'offraient les lucioles volant d'une façon assez lente comme le temps qui régnait dans ce resplendissant et prospère pays regroupant les êtres vivants les plus aimables en paix avec les animaux, les humains étaient eux aussi en bon terme avec les propriétaires des terres bénites venant d'être accepté par le tout puissant Ryutaïchô, dominateur du clan et elfe originaire des étoiles, lui qui leur avait ouvert le portail magique de la dimension parallèle ou vivaient les Hayano. Sesshômaru de dos observant sa jeune cousine du coin de l'œil, ils semblèrent avoir marché pendant un long moment avant d'arriver dans ces bois illuminer par les insectes fluorescent. Et à chaque instance la simple lumière que dégageait le ciel en pleine exacerbation. Ce tournant face à la fille aux yeux étincelant, offrant son adorable et séducteur visage d'ange, fixant droit dans les yeux de part ces fascinantes pupilles d'une couleur ambrés, ses cheveux en surbrillance due à l'éclaircissement de la lune dans les cieux entouré de milliers d'étoiles filantes, son élégante tenue similaire à celui d'Hansol, le sceau incrusté au centre de son front représentant la lune emblème des elfes lunaires ainsi que ses oreilles fines et marques violacés en dessous des tempes, le tout d'apparence quelques peu canines comme la majorité des membres du clan.

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Nous y sommes Hansol, prend ce dont tu as besoin pour soigner la maladie de ta sœur et retournons au royaume In the Hayano Moonlight Forest ( Pv Hansol + Hayano ) Star3

Prononçait l'hôte du dieu de la foudre à sa petite cousine d'une voix sereine, sa chevelure virevoltant au grès d'un doux vent parfumé, une odeur délicate caressant les narines des deux elfes, le vent soufflait paisiblement, on pouvait entendre les chants des êtres lunaires féminins alentour, des voix berçantes et apaisantes que même l'héritier de cette race ne pouvait s'empêcher d'apprécier, encore une des célèbres festivités de la part de sa propre race qui semblait être en forme ce soir, pas étonnant, cette nuit n'était pas comme les autres il s'agissait du jour de la naissance d'un nouveau né chez les siens, il allait être présenté à la superbe reine "Isilreth" d'où son nom signifiant "Reine lunaire" la femme qui avait mis au monde le prince Sesshômaru, de plus, ce soir la n'avait pas le même aspect que tous les autres, peu à peu les astres disparaissaient en pluies d'étoiles filantes, cela était un jour magique pour tout le peuple du pays, excepté pour la sœur de la jeune fille elfique qui semblait souffrir d'une maladie encore inconnue pour l'épéiste qui ne tardait pas à poser la question à sa cousine en train de ramasser les herbes bénéfiques...

De quels genres de maladie Nerine souffre t-elle ? Pourquoi ne pas utiliser la magie céleste pour la soignée ou l'apaisée ? Sa aurait été plus judicieux à mon humble avis sauf si cela ne peux être contenue grâce aux pouvoirs magiques de notre patrie je suppose

Caressant sa douce laine agréable au toucher, la tête encore une fois levé vers le ciel magistral, c'était tout bonnement un spectacle des plus mémorables, humains, animaux et elfes, tous étaient en admiration devant les cieux. Et si la nuit refusait-elle de tomber ? Si seulement cela pouvait durer éternellement comme la précieuse et mythique durée vitale d'un Hayano.

Hansol avançait, son visage pâle, ses yeux entourés de cernes, ses sandales claquaient sur la terre, bisant des petites branches. Sa sœur, Nerine, était extrêmement malade, elle ne savait plus quoi faire face aux vomissements, à ses pleurs de sang. Les deux Hayano étaient dans une forêt, dans leur forêt ! Là où régnaient les Hayano lunaires, là où des plantes poussaient nulle part ailleurs, là où des événements historiques se sont produits. La jeune fille s'arrêta pendant un petit moment et regarda vivement le ciel, une étoile filante passa sous ses yeux et disparut aussitôt. Un présage ? Elle se mordit la lèvre, l'image de sa petite sœur agonisant ne pouvait plus la quitter. Il fallait faire vite. Hansol avait fait appel à toutes sortes de personnes pour l'aider, des médecins ninjas de son clans, avait sollicité l'aide de ses amis d'autres pays, et même un humain. Hansol continua à avancer, péniblement et s'empêchait de contempler ce magnifique paysage.

Son cousin était à côté de lui, il était magnifique, c'était le prince des Hayano, la jeune fille l'adorait bien évidemment, il est toujours là pour elle et propose toujours son aide? Hansol se tourna vers lui et lui fit un grand sourire, crispé. Sesshômaru serait un très bon seigneur. Elle le soutiendrait lors de son ascension au trône, elle lui avait promis. Une larme coulait sur sa joue, elle fit un petit bruit et se retourna aussitôt pour continuer sa route. Elle ne voulait pas inquiéter son cousin, il avait fait tellement de choses pour elle. Un hiboux hulula au loin et des lucioles apparurent, illuminant ces arbres centenaires. Voilà, tout était là, ces plantes pour guérir sa sœur, c'était le seul moyen. Son cousin prononça quelques mots. La jeune fille ne lui répondit pas. Hansol se mit aux milieux des lucioles et scruta avec une concentration maximale, cherchant de ses yeux du gingembre et de la menthe poivrée que l'on appelle dans cette forêt : « Les Fleurs douces ». Cela lui calmera ces vomissements. La jeune femme les trouva rapidement et les coupa délicatement à la racine et les mit dans son sac, à l'abri. Ce n'était pas tout. Elle devait trouver une autre plante plus rare, Nerine était sujet de délires et de mystérieuses plaies qui commençaient à prendre forme sur son corps. Hansol avait demandé à un médecin ninja où se trouvait ses plantes. Il avait affirmé qu'elles se trouvaient dans leur forêt mais que celles-ci étaient très rares et qu'il fallait beaucoup de chance pour les trouver, et ouvraient leurs pétales la nuit et qu'il fallait recueillir le liquide jaunâtre qui permettrait de cesser pendant quelques moments ses délires et plongeraient la victime dans un coma temporaire. Le ninjas lui avait dit qu'elle pouvait se trouver n'importe oû mais avait des préférences pour les arbres à plusieurs troncs.

Hansol préférait ça que de voir souffrir sa sœur. Elle allait partir lorsque son cousin royal lui posa une question. La jeune femme tourna sa tête vers lui:

Elle est sujet d'hallucinations, de vomissements, de nausées et de larmes de sang.... Oui, Sesshômaru, c'est horrible, je ne sais plus quoi faire. J'ai tout essayé, évidemment ce que tu as dit. J'ai fait appel à plusieurs médecins qui eux aussi ont utilisé des plantes médicinales mais elles ne provenaient pas de notre forêt. Je pense que ces plantes provenant de notre royaume pourront faire effet, mais je suis toujours dans le doute.

Celle-ci arrêta de parler et continua à chercher, ce fut long, Hansol manqua de pleurer une nouvelle fois et d'abandonner mais elle ne pouvait pas, sa sœur était en danger. Il fallait qu'elle la sauve, Hansol ne pouvait imaginer une vie sans sa sœur, ce serait impensable ! Elle ne voyait presque plus rien. Comme toujours, la jeune femme prit un bocal et rapidement, efficacement, enferma quelques lucioles qui lui servaient de lumière. C'était déjà bien mieux. Bien sur, elle les lâcherait quelques minutes après. Hansol mit la main sur la plante qui bloquerait les pleurs de sang et apaiseraient le cerveau de la malade mais celle avec le liquide jaunâtre n'était pas là. La jeune femme respira profondément, et repartit à sa recherche. Dix minutes, vingt minutes, elle se retourna, Sesshômaru avait disparu de son champ de vision. Elle était trop loin. Tant pis, Hansol chercha un arbre avec plusieurs troncs. Un sifflement strident déchira le silence de la nuit. C'était Sess ? Que se passait-il ? La jeune femme fronça des sourcils, contourna l'arbre, rien ne s'y trouvait. Avec des sauts de biche, elle parcourut les quelques métres qui séparaient les deux Hayano.

« rêver sa vie, vivre ses rêves… »

La brise se leva tout autour de moi tandis que je m’enfonçais dans les méandres obscurs de la forêt que ces vils humains avaient nommé « forêt de la mort ». Pour ceux qui connaissaient plus ou moins leur géographie, cette forêt se situe dans le pays du feu et la raison pour laquelle j’étais ici était que j’allais me rendre dans le pays divin qu’était celui de la lune… C’était un lieu sacré, un lieu de culte où je souhaitais me rendre le plus souvent possible mais les rares occasions qui m’étais accordées se comptaient sur les doigts d’une main… Baissant mon regard vers celle-ci, je me dis alors avec un petit sourire que mon âge en revanche, il faudrait vingt personnes pour que l’on puisse le compter sur leur doigts. En effet, j’avais environ deux-cent ans et pourtant, j’étais la plus jeune de la fratrie que nous constituions, moi mes deux frères et ma sœur. Pour les elfes de pur sang, l’âge ne se comptait pas en année mais en tranche de cent ans, voire de cinq cent ans pour les plus vieux d’entres nous, mais je ne cachais pas que peu d’elfes avaient dépassé le millier. Au fond, Hayano ou humain, nous finissions tous par mourir un jour. Crispant ma mâchoire à l’idée d’avoir un point commun avec l’un de cette sous race, mon pas s’accéléra et une branche vola en éclat tandis que je la repoussais avec une rage contenue. Me concentrant alors, je fermai les yeux une longue seconde, inspirant longuement. Aujourd’hui je devais pourtant être heureuse, j’allais retrouver deux membres de ma famille, si ce n’est plus, dont parmi eux se trouvait mon ainé, Sesshomaru. Mes lèvres vermeilles s’étirant malgré elle en un sourire sibyllin, un rayon de soleil vint frapper la surface de mon œil mordoré, éclairant ma pupille étirant et se reflétant sur mes longs cheveux blancs nacré. Caressant le tronc parchemin d’un arbre centenaire, mes ongles longs et argentés tracèrent de profonds sillons dans celui-ci et je disparu derrière, tel un prédateur en chasse…

La clarté de la nuit se déversait sur mes épaules et coulait le long de mon corps avec une telle douceur que je m’étonnais d’en ressentir le touché alors que sa nature voulait qu’elle soit impalpable. Ma peau luisant légèrement d’une lueur gris perle sous cette lumière céleste, le tatouage tribal qui s’étirait en bas de mon dos semblait alors prendre vie tandis que je mouvais avec la grâce propre à notre clan. Je me retrouvais à Tsuki no Sato et je devais retrouver mon frère qui, d’après ce que j’avais compris, avait accompagné l’une de nos cousines à la recherche d’un remède pour sauver sa sœur. Le clan passant avant tout le reste, je comprenais que mon frère s’y soit personnellement inquiété et ayant moi-même fait plusieurs recherches sur les maladies rares, je ne voyais pas de moyen à ma portée pour le moment. C’était un fait important et grave pour nous tous, la perte de l’un des notres aurait tant de répercussion que notre rage serait capable de causer de gros dommages pour les autres ; en l’occurrence l’espèce humaine. J’avouais que s’ils disparaissaient cela ne me ferait rien, mais un génocide était tout de même plus impressionnant qu’une disparition pure et simple. Néanmoins, nous aussi nous avions souffert et je n’éprouvais désormais aucun remord à mes actes, quels qu’ils soient.

Je l’apercevais enfin. Il était de dos et la présence de ma cousine n’était pas à ses cotés mais un peu plus loin devant lui. Grand, immobile et ses longs cheveux blancs semblables aux miens flottant de chaque coté de sa tête, il semblait fixait l’horizon bien que ses yeux, eux aussi identique aux miens, regardaient quelque chose que nous ne pouvions sans doute pas voir et qui se trouvait certainement à la limite de son monde intérieur. Je me trouvais à cent mètres de lui et pourtant, j’étais déjà sur qu’il m’avait repéré depuis bien longtemps. M’arrêtant un moment, je ramenai une mèche de mes cheveux couleurs de neige derrière une oreille longue et pointue et plissai mes yeux effilés pour observer les alentours. Cette sérénité était si prenante que je me sentis laisser échapper un léger soupir d’aise. Reprenant ma marche, j’avançais plus lentement et en dépit de la brise glaciale qui courrait le long de ma peau nue, je n’en ressentais aucune gêne. Plus calme que je ne l’avais jamais été je relevai mon visage fin vers la voute céleste et adressai un sourire étincelant aux étoiles dans le ciel. Me coulant silencieusement parmi les arbres, de fines volutes de brume se déchirèrent sur mon passage et j’eu alors l’impression que des présences ancestrales m’entouraient. Je me trouvais dans un lieu mythique après tout, il n’était pas impossible que des consciences très anciennes soient présentes. Enfin, je baissai les yeux lorsque je fus à coté de mon frère et plusieurs minutes passèrent sans que nous ne disions rien. Lorsque je sentis qu’il était enfin prêt à m’accorder son attention, je posai une main fine légère sur son épaule durant une seconde avant de la retirer pour le regarder droit dans les yeux. Dans les rares différences que nous ayons entre nous, la plus marquante était celle de la lune qui était gravée sur son front, emblème caractéristique de notre clan. Enfin, je me mis à lui parler d’une voix claire et posée.

Les temps sont durs, Nee-san… Si j’ai bien compris, Hansol ne trouve toujours pas de remède au mal de notre cousine et la magie céleste semble insufisante… Quelle tristesse…

Redressant la tête après ces quelques paroles je contemplai une nouvelle fois la lune avant de baisser mon regard sur la fine silhouette qui se dirigeait vers nous à pas bondissant (?) d’un air anxieux. Hansol arrivait bientôt à notre hauteur et je lui adressai un sourire amical pour la saluer. Fille de notre tante, après katsuyuki et Ashura elle était l’une de nos plus proches parentes et de ce fait, c’était l’une des personnes à qui je tenais le plus. Nous nous trouvions désormais tous les trois sous l’astre lunaire et j’attendais de voir ce qui allait se passer par la suite…

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Intense nuit d'opaline où la lune irradie les esprits elfiques, vide sont ses yeux aux larmes cristallisé coulant le long de son visage blanchâtre, elle pleure le destin de sa sœur, son destin était-il déjà tracé ? Nerine sait peut-être que le lendemain personne ne lui tiendra la main, au fond de son être elle souffre, la peur de joie qu'elle possède s'engouffre. Seule face au destin de sa sœur, la jeune femme a peur, face à l'inconnue elle pleure. Les étoiles se reflétaient comme dans un miroir dans la prunelle de ses yeux violacé lorsque Hansol répondit au prince des Hayano.

"Elle est sujet d'hallucinations, de vomissements, de nausées et de larmes de sangs.... Oui, Sesshômaru-sama, c'est horrible, je ne sais plus quoi faire. J'ai tout essayé, évidemment ce que tu as dit. J'ai fait appel à plusieurs médecins qui eux aussi ont utilisé des plantes médicinales mais elles ne provenaient pas de notre forêt. Je pense que ces plantes provenant de notre royaume pourront faire effet, mais je suis toujours dans le doute."

Disait-elle indécise, sans réponse de la part du prince, qui lui, l'observait s'éloigner en s'enfonçant de plus en plus vers l'obscurité forestière du domaine lunaire. Le jeune elfe de la lune était maintenant seul avec l'astre du ciel, pensant un court moment, avant de ressentir un parfum exhalant une odeur agréable et très familière.

★ Cette odeur, Heiwa... ★

Pensait-il, il avait senti l'émanation volatile de sa sœur depuis plusieurs minutes, peut être voulait-elle en savoir plus sur Nerine, la sœur d'Hansol qui était entre la vie et, la mort. Des petites lucioles dégageant de multiples lumières jaunâtres volant autour de Sesshômaru qui attendait patiemment le retour de sa cousine sous l'emprise de la tristesse, mais avant cela, une voix fit son entré dans le silence de la nuit où se propageait l'air frais nostalgique. Dans la mélopée ancestrales du paysage intensément obscur, illuminé par le ciel, L'apparition de sa cadette sous la myriade d'étoiles, habillé de façon légère comme à son habitude, de la soierie s'associant avec son physique, ces courbes parfaites, une élégance très coquette tout en restant modeste, celle-ci posa sa douce main sur l'épaule de son grand-frère en l'enlevant quelques secondes après.

S'échangeant tout deux un regard fraternelle, la ressemblance était flagrante, tout d'abord cette guerrière elfique aux traits parfait fut la seule des enfants du seigneur à avoir autant de similarités avec l'aîné, sa chevelure blanche candide hérité des Hayano no Hôshi, on pouvait comparé cela à une vallée d'argent, ces yeux grisâtre saupoudré d'une couleur dorée avaient le charme d'un regard remplaçant une lune éclipsé.

-Les temps sont durs, Nee-san… Si j’ai bien compris, Hansol ne trouve
toujours pas de remède au mal de notre cousine et la magie céleste
semble insuffisante… Quelle tristesse...-

Annonçait-elle sereinement en levant sa tête pour admirer la pleine lune, tandis que le prince lui, baissant la tête, fermant les yeux, répliquant du même ton.

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Imõto...Vise toujours la lune, même si tu la manque, tu atterrira parmi les milliers d'étoiles. Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir In the Hayano Moonlight Forest ( Pv Hansol + Hayano ) Star3

Après ces dires, il ouvrit légèrement ses paupières sentant le retour d'Hansol qui revenait vers son cousin en s'ébattant, le coeur d'Hansol était encore pur comme la neige, cela se voyait à son caractère, lunatique comme la majorité des membres du clan elle semblait y avoir trouvé qu'une seule plante médicinale et, pour avoir la deuxième, il fallait s'enfoncer dans la forêt ainsi que demander aux femmes elfiques l'emplacement exact de la seconde fleur.

Nous allons trouvé la dernière plante, allons-y In the Hayano Moonlight Forest ( Pv Hansol + Hayano ) Star3

Annonça Sesshômaru en entamant sa marche droit devant lui, suivis des deux femmes appartenant à sa famille, guider par les chants mélodieux de ces congénères féminines environnant, plus ils avançaient, plus les sons étaient intenses, plusieurs bêtes faisaient leurs apparitions dans cette forêt, on pouvait entendre des hululements d'oiseaux de nuit comme le hibou ou la chouette.

Les pieds dans la mousse et la rosée, les Hayano appréciaient la nature et tous ses secrets, toute cette faune et flore que les arbres cachaient, au-dessus du bosquet en fleur, des abeilles de nuit d'une couleur bleue brillante butinaient avec un certain bonheur, leurs ailes chargées de pollen risquaient de les faire tomber, les elfes lunaires qui vivaient dans les forêts étaient appelés " Elfe des bois " ces habitants au corps fluets tout aussi mystique que les elfe de la lune, n'ayant aucun traits différents, soudain, le prince lunaire aperçut au loin trois jeunes femme armés Hayano appartenant à la race de la lune, il s'avança en face d'elles, Sesshômaru savait bien que ces trois ravissantes demoiselles avaient repéré son odeur depuis un bon moment, à la vue de leur prince, elles commencèrent à afficher un petit sourire, leur peau claire, teinté de bleu leur permettait de se rendre invisible à l'œil nu dans l'obscurité, la première avait les cheveux bleus ciel voir cyan, la seconde les avaient vert comme les feuilles d'un arbre et, la dernière, violet en queue de cheval, habillée toutes les trois de la même façon, sachant que les êtres de la nuit préféraient s'habiller de façon simple et traditionnelle, portant des couleurs champêtres de manière à ce qu'elles se fondent dans les feuillages, les tatouages corporelle représentant des motifs ésotériques que seul les Hayano no Tsuki pouvaient comprendre, les trois magnifiques créatures possédaient un collier où était inséré un croissant de lune similaire à la marque frontale du prince qui fut interpellé mentalement par l'une d'entre elles, les deux autres en faisaient de mêmes avec Hansol et Heiwa.

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Bonsoir Sesshômaru-sama,Je me présente, Nessa pour vous servir.

Bonsoir princesse Heiwa, mon nom est Laurelin pour vous servir.

Bonsoir jeune fille, mon nom est Lyndis, es tu perdu ?

Il semblerait que ce soit de puissantes guerrières à la solde de la reine " Isilreth " mère des deux elfes au cheveux argenté, étant capable de parler dans l'esprit des autres aussi aisément n'était pas donner à tout le monde, il fallait atteindre un niveau psychique très élevé pour pouvoir communiquer comme bon lui semble dans l'esprit d'une autre personne, cependant, le prince lunaire était capable de répliquer de la même manière possédant l'emblème original de la race lunaire marqué sur le front pour l'éternité, il en valait de soi qu'il puisse répondre en faisant la même chose.

★ Je cherche une plante médicinale pour ma cousine, sa sœur souffre d'une maladie inconnue que même la magie céleste ne peut guérir, des larmes de sangs coulent le long de son visage, saurais-tu de quoi il s'agit ? ★

Des larmes de sang dîtes vous ? Pardonnez-moi je n'en ai jamais entendu parlé, vous devriez voir Luinil, elle est souvent assise sur une branche au-dessus d'un point d'eau, droit devant. Si vous le désirez, nous vous accompagnerons avec joie mon prince.

★ Sa ne sera pas nécessaire ★

Les paroles psychiques fut terminé cela s'est passé en quelques secondes, se fixant droit dans les yeux à parler dans l'esprit de l'autre, Sesshômaru continua sa route en passant au milieu des trois divines créatures humbles et serviables qui s'écartaient afin de le laisser passer, baissant la tête en signe de respect. Suivis de sa cousine et de sa sœur cadette, ils se dirigeaient vers le lieu que lui avait indiqué la guerrière lunaire Nessa à vitesse modéré, aucun mot ne sortaient de la bouche du prince elfique, après tout, le possesseur de Tenseiga était comme sa de nature, les trois Hayano continuaient leur chemin dans l'obscurité forestière même si cette ombre ne gênaient point les deux enfants du seigneur qui possédaient une vision nocturne contrairement à Hansol qui était encore trop faible pour posséder cette aptitude visuelle.

Immobile près de mon frère, je me réchauffais le cœur de sa présence, heureuse d’être une nouvelle fois à ses cotés. Silencieux comme d’habitude, nous contemplâmes les étoiles puis après que je l’eus salué, il baissa alors la tête, une lueur triste traversant son visage parfait pour se perdre dans son regard mordoré qui apparut furtivement avant de disparaitre lorsqu’il ferma ses paupières. Lâchant quelques paroles, que nous, hayano au sang pur, avions longtemps entendues dans notre clan, je fermai mes yeux à mon tour pour me ressourcer de ce moment de quiétude.

Imôto… vise toujours la lune, même si tu la manques, tu atterriras parmi les milliers d’étoiles. Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir.

Esquissant un sourire sibyllin, je rouvris les yeux sur la voute céleste avant de baisser mon regard sur Hansol qui revenait, n’ayant trouvé qu’une seule plante. Vu la tristesse qui parcourait son beau visage juvénile, je sentis mon cœur se serrer en me disant que la tristesse qu’elle devait ressentir était bien trop grande pour une jeune fille aussi pure… Fermant une nouvelle fois les yeux en signe de compréhension, je me tournai vers elle et les rouvrit alors en lui adressant un sourire rassurant.
Plus jeune que nous, elle était aussi, malgré sa résistance du à son sang elfique, la plus fragile et nous avions pour devoir de la protéger, elle plus que beaucoup d’autres. C’était cela, l’honneur de la famille. Protection, amour, fidélité et puissance. Puissance… en effet.

Nous allons trouver la dernière plante, allons-y.

La voix posé de mon ainé me ramena à la réalité et je reportai mon attention sur eux. Commençant à marcher, je lui emboitai immédiatement le pas au coté de ma jeune cousine. La démarche, bien que fluide et rapide, était emplie de souplesse et de grâce qui, bien que j’avançais de cette manière, je la trouvais encore plus belle chez mon ainé et Hansol. Plus confiante qu’au départ, je fis un sourire discret avant de m’enfoncer dans les profondeurs de la forêt pour y découvrir toutes les merveilles que je n’avais pas encore vu, et surtout pour retrouver cette dernière plante qui représentait encore un espoir pour la survie de Nérine…
Mes pieds nus s’enfonçant agréablement dans les brindilles fraiches qui tapissaient le sol, nous marchions silencieusement et les rayons de lune filtraient de moins en moins au fur et à mesure que nous avancions. Au bout d’un moment, des présences se firent sentir autour de nous mais je ne m’en inquiétais pas, nous étions chez nous et ces auras n’étaient pas agressives du tout, même si elle dégageait un charme envoutant… et tout aussi mortelle.
Elles apparurent enfin, telles des femmes des ténèbres sortant de l’ombre. Trois, grande et légèrement vêtues, c’était des gardiennes, ou du moins, ce fut comme cela que je les nommai lorsque je les vis. Elles étaient issues du clan de la lune, leur peau bleuâtre et leurs tatouages le prouvant.
Elles avaient toutes les cheveux de couleurs différentes, violet, vert et bleu. S’avançant vers nous d’une démarche silencieuse, elles nous saluèrent respectueusement et celle qui avait les cheveux émeraude m’interpella mentalement.

« Bonsoir princesse Heiwa, mon nom est Laurelin pour vous servir. »

Etonnée qu’elle puisse me parler psychiquement de façon aussi aisé, je lui adressai un sourire aimable, clignant mes yeux à la couleur étrange pour que ma vision nocturne s’adapte parfaitement. Ces guerrières d’exception devait faire partie des hayano au service de notre mère, à sesshomaru et moi, et de ce fait je me sentais encore plus à l’aise en les voyant. Une partie de moi venait de me retrouver alors qu’elle s’était envolée depuis que je vivais à Suna. En effet, il n’y avait qu’avec ma famille que je me sentais entière… Après ce moment de solitude intérieur, je me décidai à répondre à l’hayano qui m’avait abordé, de la même manière qu’elle m’avait salué :

**Hansol notre cousine a un problème avec sa sœur, elle souffre d’une maladie rare que nous ne connaissons pas et dont les symptômes sont des pleures de sang.**

Je vis son visage s’emplir d’une profonde concentration mais apparemment je venais de lui poser un problème car elle secoua légère son visage parfait en signe de négation. Elle mit un peu de temps avant de projeter sa réponse directement dans ma tête mais étant de nature patiente, je ne relevai pas cette attente bien qu’elle me fut assez insupportable dans la mesure où nous cherchions vraiment un remède efficace…

« je suis désolée, ma princesse, mais je n’en ai aucune idée. Je vous conseil de voir Luinil, elle est assise dans les branchages au dessus d’une marre ou d’une vasque d’eau. »

Sesshômaru avait fait la même déduction car je le vis se diriger vers la direction que Laurelin venait d’indiquer et je le suivis aussitôt, précédée dans le même mouvement par Hansol sur qui je gardais un œil attentif car elle ne possédait pas la vision nocturne que nous avions mon frère et moi. L’idée que les trois femmes n’aient eu aucune idée de la malade de notre cousine m’inquiétait et je me sentais perdre peu à peu espoir au fur et à mesure que nous avancions. Si cette Luinil n’en savait rien, j’espérais fortement que Sesshômaru aurait l’idée d’aller en parler à notre mère car bien qu’elle soit reine, la santé de sa nièce devait quand même la faire passer en priorité…
Me glissant avec fluidité aux cotés de mon frère pour me placer à sa hauteur, je lui glissai un regard plein d’appréhension avant de glisser quelques mots dans sa tête. Je ne voulais pas inquiéter Hansol, je ne voulais pas, pour la première fois, lui partager mes craintes de ne pas trouver un remède pour Nerine.

**Sesshômaru, cela devient de plus en plus aggravant… Si… Si jamais Luinil n’a pas de remède, je pense qu’il serait bon de demander conseil à mère, sa sagesse nous a toujours aidé par le passé.**

Continuant d’avancer d’une démarche souple et silencieuse, mon visage redevenu impassible, rien ne montrait que je venais de parler à Sesshômaru. Les arbres s’espaçant de plus en plus, la clarté lunaire vint nous illuminer petit à petit, ses rayons se perdant dans la chevelure nacrée de mon ainé et moi-même pour exploser en une myriade de couleur. Courant le long de la peau douce d’Hansol, nos ombres s’allongeaient sur le sol de terre fraiche et c’est en levant mon visage fin pour fixait l’astre sacré que je me dis que finalement, tout espoir n’était pas perdu.

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