Je suis entré en la possession d’un document très important à mes yeux, ce document est en fait un livre, un livre très ancien recouvert de reliure d’orée et à la couverture en cuir usé, sur celle-ci une sorte de labyrinthe tortueux formant comme un nuage ou quelque chose de beaucoup plus complexe à expliquer, ce livre est bien plus qu’un simple livre à vrai dire, ce livre contient les mémoires de mon défunt père, Orphée Aurion, musicien de la cour et grand favoris de l’archange.
À chaque fois que j’ouvre se journal je suis pris d’étranges sentiments, des vertiges et des évanouissements, je ne comprends pas comment un simple livre peut me faire de tels effets mais en tout cas il y arrive celui-ci, je ne suis jamais arrivé à lire plus loin que la première page qui est blanche et comporte seulement un mot de mon père qui m’est adressé :
« Shiro, mon cher fils, je savais que tu entrerais en possession de se journal un jour ou l’autre, si tu lis ces mots c’est que je suis mort, je ne sais ni dans quel condition ni à quel moment, tu ne sais même peut plus qui je suis, mais tout ceci importe peut, ce document contient mon héritage, rappelle toi toujours mon fils que la musique guide les hommes depuis la nuit des temps, et que c’est l’ange de la musique qui leur offre la lumière, cette lumière est en toi Shiro, mon fils. »
Ma curiosité fut piquée une fois de plus à la lecture de se mot qui ressemblait à une ultime confession de se qui fut mon géniteur, le père d’on j’ai temps rêvé lors des nuits froides dans les rues de kiri avec les enfants de la rue, j’avais enfin l’occasion de connaitre l’homme qu’il était et un simple vertige m’empêchait d’aller plus loin, que faire, j’enrageais à chaque échec et ma colère se transformait de plus en plus en tristesse.
Je passais mes journées à observer se livre en cuire, je ne mangeais plus, je ne buvais presque pas et je ne me lavais plus du tout depuis bientôt quatre semaine, l’odeur que je dégageais ne me dérangeais presque plus lorsque je décida de laisser tomber et de prendre une douche, je partis à la salle de bain et fit couler l’eau, l’eau s’écrasa sur le sol dans un grand fracas, je me dirigea vers le salon le temps que l’eau se réchauffe et posa un dernier regard au livre, je tendis le bras pour caresser sa couverture en cuivre mais le déséquilibra et le fit tomber par terre, il s’ouvrit à l’envers et une écriture en lettre d’or se dessina petit à petit comme si une main invisible écrivait.
Je saisis le livre de mes deux mains tremblante et commença à lire :
« Bien joué mon fils, tu as compris que se livre n’avait pas qu’un seul sens de lecture, dans se livre tu découvriras au file de ta lecture ma vie et le plus important surement : ma musique, mon nom est Orphée Aurion musicien de la cour et grand favoris de l’archange Kratos, on me surnomme l’ange de la musique, pour des raisons flagrante, étant un ange du par mon sang et ma famille et jouant de la musique assez puissante pour me défendre mes aussi pour attaquer les gens qui ont de mauvaises intentions.
Aujourd’hui je suis père, le ciel m’a fait don d’un magnifique bébé, il a les yeux de sa mère, dans son berceau j’ai déposé Hanabi, la flute sacrée, j’espère qu’il en ferra bon usage lorsque le temps de s’en servir bientôt viendra, bien trop tôt malheureusement, je me suis longtemps demander si le monde que je laisse à mon fils n’aurait pas pu être meilleur, et je commence à me demander si je n’ai pas fait les mauvais choix, et je me demande si il est trop tard. »
Je découvris entre cette page et la prochaine cinq partitions pour flute traversière, surement l’héritage d’on mon père m’avait parlé, elles avaient toute un nom et un effet noter en dessous du titre, je pris ma flute sur le rebord de la table et alla éteindre l’eau de la douche, je me laverais plus tard, il y avait beaucoup plus urgent.
Je pris entre mon pouce et mon index la première partition, sur celle-ci était noter en lettre manuscrite « Repos éternel » et en dessous était noter une remarque et une description de l’attaque « description : envois des ondes sonores directement dans l’encéphale en passant par les oreilles et le nez pour stimuler la zone de l’hypothalamus et du Pont se qui a pour effet d’endormir l’ennemis.
Remarque : j’ai utilisé cette technique pour endormir cerberus le gardien des enfers grec. »
Je porta ma flute prêt de mes lèvres et utilisa la technique sur un passant qui s’écroula après seulement quelque seconde, j’attendis quelque minute pour voir combien de temps le sommeille durait, il se réveilla tout troublé après trente minutes, je nota alors sur le coin de la feuille un petit trente suivis des lettres min.
Je passa ensuite à la deuxième partition, celle-ci était beaucoup plus courte, il n’y avait aucune note et aucun description, de toute façon tout était dans le titre de la chanson « Bouclier sonore », je garda cette dernière pour un peu plus tard et passa directement à la suivante.
La suivante était la plus longue mais aussi la plus facile à jouer, elle se nommait l’hymne de transport, une remarque était noter en dessous du titre mais pas de description cette fois, la remarque me dissuada de l’essayer tout de suite : « remarque : la technique est très imprécise, elle a été surtout créée pour s’enfuir d’une situation périlleuse ou délicate. »
La quatrième partition tenait sur une seul feuille et les notes ne se suivait pas, elle était presque toute présente avec leurs quintes les suivants, il n’y avait pas de titre mais une description était présente « description : ces notes sont des attaques simples à peine plus puissante qu’un lancer de shurikens ou de kounaïs mais elle ne prend pas beaucoup de chakra », je nota au dessus de la feuille avec un silo plein d’encre noir « Note mortel ».
J’arriva enfin à la cinquième, celle-ci était différente des autres, la main de celui qui l’avait écrite tremblait tout le long de la partition, il y avait un titre cette fois dans une autre langue que je ne comprenais pas et une remarque mais aucune description, le titre était « Storinga Shie » et la remarque comportait de nombreuse tache, des taches produite par des larmes, « remarque : cette technique est ma technique ultime, ne l’utilise que si tu n’as pas le chois mon fils, car pour utiliser cette technique tu dois en payé le pris, tu dois perdre la personne que tu aimes le plus, c’est ainsi que je t’apprends cette nouvelle mon fils, c’est ainsi que je t’apprend que ta mère est morte. »
Je lâcha les partitions sur le sol, et m’écroula dans mon lit, des larmes perlèrent le long de mes joues, cette fois la colère et la rage avait disparu et seul la tristesse dominait, j’avais lu que les Aurions avait une technique qui leurs enlevait tout sentiment, de toute évidence je ne maitrisais pas cette technique du tout, je suis un humain pour se genre de choses, je me laisse dominer par mes sentiments.
Je m’entraina tout les jours suivant la découverte des partitions, je m’entraina à maitriser cette incroyable pouvoir, je les appris toute par cœur même l’attaque ultime, mais j’ai arrêter de lire les mémoires de mon père car je redoute trop le moment où il utilisera son attaque ultime, redoutant que ce ne soit pas pour une bonne raison qu’il a sacrifier ma mère, redoutant que c’est son la forme de l’ange ultime qu’il ai choisis d’utiliser cette attaque, redoutant que sa m’arrive aussi, redoutant que je tue en toute conscience de cause, redoutant que je perdes moi aussi tout sentiment humain, ces sentiment qui me rendent si vivant…
Je dois aussi avoir peur d’être le fils d’un homme sans sentiment, celons mon livre sur les clans l’ange de la musique n’éprouvait aucun sentiment apparts lorsqu’il jouait de la musique, comment aurait-il pu écrire se livre sans sentiment, comment aurait-il pu composer des musiques si tristes sans sentiment, je ne comprends plus rien, je suis troublé, je vais dormir, le sommeil porte conseil à ce qu’il parait et j’ai bien besoin de conseil…