un coin a l'écart pour le mizukage

Son coin a elle.

[Rp consistant a ouvrir la grotte secrette du Mizukage]

Une autre journée commençait a kiri, lentement le soleil sortait de son sommeil pour illuminer le pays des shinobis. Milena quand à elle dormait à point fermés dans sa chambre, cela faisait tellement longtemps qu’elle faisait nuit blanche sur nuit blanche à lire des documents, donner son accord ou encore à gérer les petits conflits du village. Mais hier un ninja lui avait fait une remarque si flagrante…

Flash Back

Milena était dans un restaurant, et réglait une histoire d’empoisonnement. Plusieurs clients seraient morts sur le coup juste après leurs repas. En demandant ce qu’ils avaient commandés, Milena su tout de suite de quoi il s’agissait. Le fugu, le poison le plus cher du monde dans un restaurant était aussi le plus mortel jamais vu sur terre. Mal préparer cette petite bête devenait le pire des poisons. L’histoire fut réglée en deux temps trois mouvements, à première vu ce n’était pas intentionnel, le chef cuisiniers qui faisait habituellement la cuisine était malade et avait laissé son disciple le remplacer pour la journée ; et semble t-il qu’il aurait sauté le chapitre sur la préparation du Fugu. Au finish ce n’était pas si terrible, mais le plus surprenant survint plus tard lorsqu’un client hurla :

- MADAME LA MIZUKAGE AUSSI A ETE EMPOISONNEE !!!!

Ouvrant grand les yeux elle tourna se retourna pour voir qui profanait des ignominies pareilles en sachant qu’elle n’avait rien avalée de la journée, le pire c’est que plusieurs personnes approuvèrent par la suite. La jeune demoiselle leurs assura qu’elle allait très bien mais qu’elle était juste un peu fatiguer et qu’elle avait besoin d’une sieste ; tandis qu’elle sortait du dit restaurant elle senti tout les regards braquer sur elle et se dépêcha de sortir. Même scénario, Milena aurait bien activer son byakugan pour voir à quoi elle ressemblait mais, ces derniers temps ses yeux lui faisaient affreusement souffrir. Elle devait repartir au bureau, mais décida que s’en était assé, elle devait bien être à sa neuvième nuit blanche, il fallait qu’elle se repose, au moins une heure…
Elle arriva enfin chez elle et se dirigea immédiatement dans la douche, alla droit au lavabo pour se laver le visage et jeta un coup d’oeuil au miroir avant de pousser un crie sur aigue. Effectivement, la Milena qui se trouvait sur la glace ressemblait à une victime d’un poison des plus fulgurant. Ses cheveux lui retombaient sur le visage ; ils ne ressemblaient plus à des cheveux, mais plutôt aux restes d’une serpière jaune terne ; tendant carrément sur le blanc. Le teint de sa peau aussi avait littéralement blanchit, lui donnant des airs de mort vivant. Elle avait terriblement maigrit t sa robe lui tombait sur les épaule, mais ses yeux dépassaient l’entendement. Ils étaient si gonflés que l’on aurait dit que quelqu’un les avait remplacé par des pommes, des pommes bien rouges. Car ils étaient si rouges qu’elle se demandait si elle avait le sharringan ou le byakugan ?
San plus attendre elle balança sa robe quelque part dans la douche et sauta dans son lit.

Fin du Flash Back

Une semaine, une semaine, ça faisait sept jours que Milena dormait comme une marmotte. La jeune fille avait bien faillit se suicider a force de se tuer comme ça a la tache. Dieu seul sait combien de fois une tierce personne était venue tambouriné à sa porte, sans réponses…
Le cinquième jour une unité d’anbus avait infiltré la maison, pensant que le kage était mort ou au pire des cas avait été kidnappé. Mais tous ressortir avec le sourire au lèvres, donnant pour répponse a ceux qui le leurs demandait :

- Le Mizukage se repose…

En entrant ils avait vus une fille par terre à au moins deux mètre de son lit sous une table de chevet en plein sommeil. Elle dormait si mal qu’elle était littéralement tomber de son lit et s’était tourner dans tous les sens jusqu’à s’arrêter sous une table, bloquée par les pieds de celle-ci. Etrangement son drap l’avait suivie, mais la encore lorsqu’ils étaient entrés dans la chambre de la demoiselle, ils purent entendre :

- revient ici mon usagi…

Spoiler:

Les Anbus étouffèrent un fou rire en la voyant se débattre dans ses draps, le visage exprimant une expression passablement irritée les yeux fermés comme si elle courrait derrière un lapin un sucre.
C’est deux jours plus tard qu’elle sortie de son hibernation, étonnée de voir qu’elle était par terre, elle se leva et s’étira longuement avant de partir se faire couler un bain d’eau chaude. Entre temps elle s’assit dans les fauteuils et se mit à réfléchir, en parlant d’elle-même il est vrai qu’elle n’avait quasiment aucune vie privée ; il lui faudrait un coin, un endroit à elle toute seule qu’elle serait la seule à connaître, ou elle pourrait se réfugier pour s’y entraîner et se relaxer…
Alertée par le bruit de l’eau qui débordait de la baignoire, elle se rua dans la douche et arrêta l’eau, avant de se vautrer dans son bain. Combien ? Ça faisait combien de temps qu’elle ne s’était pas sentie aussi bien ? Tous les muscles de son corps semblaient se relâcher, comme si elle venait de courir un marathon. Une sensation de soulagement lié a un sentiment de bien être interne comme externe, la mena jusqu’au septième ciel tellement elle se sentait bien. Une heure plus tard elle finit par sortir de l’eau avec une idée en tête. La Mizukage partie fouiller dans sa garde de robe et tira une nouvelle robe bleue, prit un petit déjeuner très copieux avant de sortir de sa maison par derrière. Essayant de fuir les gardes qui devait très certainement camper devant la porte de sa maison.
Milena se dirigea vers la forêt, exeptionellement elle avait laisser ses pauvres cheveux respirer aujourd’hui (elle n’a pas fait de chignon). Circulant dans la verdure abondante de la forêt du village de la brume, la kage du village de la brume faisait exactement le même parcours que celui qu’elle avait effectuer il y avait quelque mois de cela ; le jour ou elle sortait de l’hôpital après avoir fait échouer les plan d’une organisation menée par un certain kurosaki ichigo. Finalement, après avoir fait exactement le même parcours, elle tomba sur la mer si belle avec les reflets du soleil qui tapait dure en ce moment. C’était un endroit magique, carrément féerique et un spectacle qu’elle n’oublierait jamais et qu’elle voudrait voir tout les jours, mais pour ce il lui faudrait un lieu où elle pourrait s’y reposer. Tournant la tête sur le coté gauche elle tomba directement sur la paroi d’une montagne. Fronçant légèrement les yeux des nerfs firent leurs apparitions sur chacune de ses tempes désignant l’activation de son byakugan.
A sa grande surprise, elle put voir une cavité dans le corps de la montagne, elle semblait plutôt grande, voire plus grande que sa maison toute entière. Mais il y avait quelque chose de plus dans cette grotte, quelque chose qui miroitait la lumière dans laquelle elle revit plusieurs fois le même reflet. Ça semblait être une pierre précieuse, des tonnes de pierres précieuses, même à profusion. Milena cligna plusieurs fois des yeux et sortit son Excalibure. La couche de roche qui entrava sa progression vers la grotte ; elle tendit son épée au dessus la tête, y concentra une masse de chakra avant de subitement l’abattre devant elle. Un rayon doré fonça sur le mur de roche. Ce dernier explosa en Mille morceaux, morceaux qui n’atteignirent pas Milena qui s’était placée à une distance convenable pour éviter toutes pierres rebelles qui s’en prendraient à elle. Elle attendit une minute que la poussière retombe puis fit un pas dans la grotte. C’était une gigantesque cavité dans laquelle il y avait de gros morceaux de saphirs et de diamants. Dans la grotte il y avait une cascade, qui quittait d’un peu plus haut dans les entrailles de la montagne pour retomber dans une sorte de piscine souterraine. Si elle n’avait pas de grosses responsabilités elle s’installerait ici tout de suite, mais malheureusement ce n’était pas le cas. Quoi qu’il en soit, elle avait trouvé un coin magnifique pour se reposer et s’entraîner, aussi et surtout pour se détendre ; il ne manquait plus que des lumières, quelques torches par-ci par là devraient suffire, elle ne voulait pas que la lumière artificielle vienne ternir la magnificence de ce lieu.