Arrivée sur l'autre Continent (IN RP)

Cela faisait maintenant un sacré bout de temps que Milena et shiro avec quittés le village de la brume, que pouvait t-il bien se passer dans sa patrie ? Elle l’ignorait, pourtant brûlait d’envie de le savoir. Si l’on en crois ses propres calcules, elle devait être revenue de suna depuis belle lurette, mais pour des raisons qui l’échappaient, elle était encore sur les flots. Ce bateau était certainement le plus lent qu’elle n’est jamais connue ; il lui semblait pourtant avoir demander le bateau le plus rapide dont ils disposaient au port. Dans ce cas pourquoi lui donner une limace pareille ? Sans oublier qu’il avait de nombreuses avaries, combiner à un mauvais temps, l’on pouvait être sure à 100% que ce bateau allait bigrement s’éterniser en pleine mer. Finalement, l’on voyait enfin le planché des vache. Terre qu’elle se demandait quand allait t-elle la revoir, celle-ci était enfin devant elle. Elle avait finalement changée d’itinéraire, au lieu de partir à suna, elle allait très certainement faire une escale dans un village bien précis, pour accomplir un acte qui lui trottait dans la tête depuis sa nomination au poste de Mizukage. Debout sur le pont à l’avant du bateau les bras croisés avec un visage extrêmement sérieux, Milena observait la terre s’approchée lentement. Elle avait prit une décision brusque, terre à terre et d’une importance capitale ; pouvant même attenter à sa vie, toute fois ça décision était prise…

Flash Back

Par une nuit orageuse, alors que le bateau tanguait comme un cochon huilé sur un manège pour enfant ; Allongée dans la baignoire, prenant un bain mousson les yeux fermés, laissant les mouvement du va et vient du bateau la bercée ; elle avait la tête ailleurs. Depuis les quelques années de sa nomination, nomination forcée d’ailleurs ; elle voulait repartir a Konoha pour saluer son professeur. La personne qui l’a élevée après qu’elle perdue sa mère :

- Hasagi sensei … Murmura t-elle en ouvrant lentement ses grand yeux blancs perles alors que la mousse glissait sur sa peau.

Il s’agissait bien de ce même hyuuga, cette personne pleine de bonne volonté et d’entrain pour elle. Personne sans laquelle elle n’aurait jamais put maîtriser le hakke. Personne sans laquelle elle se serait probablement suicidée pour rejoindre sa mère dans l’au de la et tachée de la réconforté pour toute les peines qu’elle a subit. Et certainement se repentir d’être née dans de telle condition.
Depuis qu’elle avait lut la lettre que sa mère lui avait laissée, Milena se sentait être une fille à part, bien différente des autres et pourtant si semblable à la plus part des kunoichi. Elle quitta enfin la baignoire avec ce regard ferme et décidé, prit une serviette s’essuya et sortit vêtu d’un très élégant peignoir. La jeune fille arpenta les couloir de ce bateau miteux et reparti dans sa chambre, a peine fut t-elle arrivée qu’elle s’assit a la table de chevet pour écrire une lettre son bras droit Eaque.

Fin du Flash Back

Il allait certainement recevoir ce pli sous peu, pli qui suivait de près celui qui lui demandais de se préparer pour une guerre. Pli qui disais simplement qu’il y avait de fortes probabilités qu’elle ne revienne jamais à kiri car de nombreuses choses lui déplaisait au sujet de ce même village. Toute fois aucunes certitudes n’avaient été établies, pour l’instant l’on parlait encore en terme de possibilité.

Quelques heures après, le bateau arrivait enfin sur les terres de konoha. Du moins dans la grande forêt du village de la feuille, ça faisait très longtemps qu’elle rêvait d’un tel moment, son corps emplit d’un sentiment de nostalgie frissonna légèrement. Le vent soufflant dans ses cheveux qu’elle n’avait pas attachés pour une fois, elle commença a marcher au travers de cette forêt suivit de près par son escorte, et arrivée en plein Milieux de celle-ci elle se retourna et dit d'une voix ferme :

- Très bien, montez un campement ici, ne me suivez sous aucuns prétextes. Je dois aller faire quelque chose de personnel, vous me reverrez bientôt.

Elle enleva ensuite son manteau et s’enfonça plus profondément dans la forêt en direction des portes de konoha, tout en activant son byakugan de sorte a être prète face a toute éventualitées.

Spoiler:

Ma joie de quitté le bateau était sans pareille, je pense même que je n'avais jamais été aussi heureux de toute ma vie, en effet je ne penssais même pas arriver jusqu'à la terre avec ce rafiot, le voyage avait été long et trés inconfortable, je n'avais jamais pris la mer de toute ma vie, et cette experience ne me tenta pas de recommencé de si tôt.

Je décendis avec une grande hate du bateau et j'accompagna l'escorte de la Mizukage qui s'enfonçait peu à peu dans l'épèce forêt de Konoha no Kuni, tout le long du voyage j'ai pensé que nous allions à Suna qui est un désert chaud et désolé, je devais surement me tromper...

Milena-San semblait trés perturbée depuis quelque temps, son visage était devenus trés sérieux et elle ne parlait pas, la tention était presque palpable tout le long du chemin, mais cette fois je ne voulus pas sortir ma flute de ma poche pour ajouter de la guaitée à la pénible traverssée car je n'avais pas le coeur à jouer de la musique qui réchauffe le coeur car le mien était tourmenté par de nombreuses question sur ma famille, et il me fallait des réponses.

Aprés quelque minutes de marches dans la forêt luxuriante de Konoha Milena nous demanda d'instaler le camp et elle partis seul dans la forêt, je me retrouva alors avec les cas sociaux de Kiri, je m'assis sur une grosse pierre au milieu de la zone du campement et je réfléchis, laissant travailler les shinobi de Kiri qui me jettaient des regards noir.

Il me fallait des réponses sur ma famille et mes origines, et je ne pourrais pas les trouver à Kiri, je devais faire un choix, ce choix allait décider de ma vie, je devais quitté Kiri pour de bon, je devais rejoindre mon cousin Aouëriss, je devais découvrire la vériter sur ma famille et mes origines, je devais découvrire qui je suis vraiment.

Il n'y aurait jamais meilleurs moment pour le faire, et je le savais, j'éprouvais quant même quelque remmord à l'égard de ma chère Mizukage que j'allais abandonner avec les cas sociaux qui lui servait de garde personnel, mais je devais le faire, j'avais beaucoup trop besoin de réponse pour laisser filer une telle ocasion, si je ne saisissais pas ma chance je m'en voudrais toute ma vie.

Je porta ma flute à la bouche et je commença à jouer une magnifique mélodie, une mélodie qui figurait sur les partitions de mon père, une musique hypnotique qu'il avait nommé le repos éternel, les gardes tombèrent enssemble par terre dans un grand fracas, je rengea alors ma flute et je commença à courire vers le coeur de la forêt, j'étais libre, pour la première fois de ma vie je pouvais aller où je voulais, mais je ne savais pas où aller...

Soudain je me rappella d'un passage de mon livre sur le clan Aurion, il disait que les Aurion ont un lien qui les unis tous, comme une sorte de télépathies, ils peuvent tous parler dans les pensées des autres.

Je me concentra alors, je plassa mes doigts sur mes tempes massant mon crane pour un meilleur concentration, mais rien ne se passa, j'attrappa juste un terrible mal de crane comme la première fois que je l'avais rencontrer, au porte de konoha.

Une idée me parcouru l'esprit comme un éclaire, j'allais m'infiltrer dans le bureau du Hokage afin d'obtenir des informations sur mon cher cousin, je me mis alors en route vers le village en passant par la montagne pour ne pas croiser Milena qui était passée par la forêt.

Spoiler:

Après que Milena lui est posée cette question, Shiro resta un long moment silencieux. Il ne disait mot, toute fois le teint de sa peau virait peu à peu au rouge. Il l’évitait du regard et cherchait ses mots depuis bien trop longtemps. En plus de cet air gêné, il paraissait un peu perturbé. Il ne faisait aucun doute qu’il l’avait vu, pensa t-elle en fronçant les sourcils. Finalement il lui répondit avec un malaise assé palpable.

- Mizuk...Milena-san...j...je...je ne te cache pas que je n'avais pas prévus cette situation...trés gênante...Mais j'ai décider de vous dire la vérité...par ce que je vous aimes bien...et que je vous considère comme quelqu'un en qui je peux faire confiance...même si vous avouez ce que j'ai fait est comme m'acheter un aller simple pour le peloton d'exécution...En fait, je suis...je suis devenus un déserteur...mais c'est pour une bonne raison!

Devenu un déserteur… he bien elle qui avait un problème d’effectif militaire, ce départ tombait plutôt mal. Milena était sur le point de prendre la parole et se plaindre, toute fois, elle n’entama pas le moindre mouvement en voyant que Shiro reprenait la parole, après beaucoup d’efforts pour calmer sa respiration il continua :

- Voyez-vous, j'ai toujours voulus connaître mes origines, après de longues recherches pendant toutes ces années, j'ai enfin découvert que mon cousin...Aouëriss Aurion vivait à Konoha...Je l'ai rencontrer lors d'une mission mais cette rencontre qui était sensé répondre à mes questions ne me servis à rien appart à attiser encore plus ma soif de connaître mes origines, et l'occasion que vo...tu m'as donner ici, je devais la saisir, tu comprends ?

Toujours aussi silencieuse, écoutant avec une attention particulière ce que lui disais l’Ex Chunin. Comprenant parfaitement ce que lui disais shiro, elle comprit pourquoi ce dernier avait décider de quitter le village de la brume. Village qu’elle avait fait en sorte qu’il soit tel un refuge pour les nuke nin en mal de foyer, donc elle ne pouvait pas le blâmer, ni le retenir. Cependant avec ce qui allait bientôt se passer, elle avait besoin du plus d’effectif nécessaire. Alors qu’elle réfléchissait et que l’expression de son visage était finalement resté figée, Milena revint sur terre en entendant Shiro continuer son monologue.

- Lorsque tu es partis devant nous laissant monter le campement j'ai sortis ma flûte et endormis les cas soci....les gardes de Kiri, et je me suis enfuis, j'ai voulus trouvé Aouëriss dans Konoha mais il n'était pas là, alors j'ai pris son dossier qui m'a appris qu'il avait déserté konoha lui aussi...

- Tu as mis mes gardes dans le coma … répéta Milena un sourcil en l’air.

Une chose était sure, des salaires allaient baisser, et rudement baisser. Toute fois l’histoire assée émouvante de Shiro ne manqua pas sa cible et toucha Milena en plain cœur, mais ne voulant pas laisser la joie troubler ses sens en territoire ennemi ; elle ne fit rien et écouta ce qu’il avait de plus à le dire.

- J'ai envoyé aussi un Kage bushin pour voir ce qui se passait au porte de Konoha, apparemment le Hokage se bat contre un Shinobi de Oto si mon clone à bien vu...En tout cas ce Shinobi avait l'air étrange...il était très bizarre, enfin c'est mon avis, mais il se dégageait comme une étrange aura de cet homme…

- Le kage lui-même c’est déplacer pour se battre contre cet homme ? reprit t-elle d’un air interrogateur.

Pour que le kage se soit déplacé lui-même, cet adversaire devait être assé coriace en son genre. De plus quelle était cette histoire d’étrange aura le recouvrant ? se pourrait t-il que ce soit le manteau d’un démon ? Comme celui de Naruto lors de l’examen des chunin qui c’est passé plusieurs années plutôt. Si tel était le cas, elle pourrait avoir une puissance incroyable avec l’un de es démons. Toute fois ça restait des démons… Milena effectua un Kanji et Murmura.

- Kage Bunshin no jutsu

Trois panaches de fumés s’élevèrent de part et d’autre de Milena, tandis que celle-ci retombait, trois autres Mizukage venaient de faire leurs apparitions.

- Shiro retournons au camp veux tu j’aurai besoins que tu me rende un dernier service avant de partir.

Tout deux descendirent des montagnes des montagnes et se dirigèrent vers le campement de fortune que son escorte avait réussi a lui monter. A ce niveau là elle se retourna face a Shiro et prit un visage amical et dans le besoin.

- Shiro j’aimerais que tu attendent Eaque mon bras droit ici, il vient avec d’autres membres de kiri. Attend le et quand il arrivera dit lui que je suis partie pour la porte de konoha, je te laisse un clone de toute façon…. Fit t-elle en tournant la tête vers l’une des Milena qui sourit en passant sa main dans ses cheveux, c’est la seule chose que je te demande. Attend les et quand ils viendrons elle te remettra ceci ! fit t-elle en lui montrant une sacoche bruyante, puis elle la tendit au clone. Elle se leva et lui accorda un dernier sourire … peut être que nous ne nous reverrons pas de si tôt, j’espère toute fois que tu trouveras ton cousin. bonne chance... petit ange

Elle lui tourna le dos et courue avec ses deux clones à toute vitesse vers les portes de konoha.

Spoiler:

C'était peut être la dernière fois que je voyais Milena-San, j'en étais trés affecté, mon envie de retrouver mon cousin Aouëriss m'avait menner à l'abandon de tout ce qui comptait pour moi, et le pire de tout ça c'est que je n'étais même pas sur de le rencontrer un jour, il était devenus comme un fantôme pour moi, je ne savais plus ou chercher, ni ou aller.

Milena-San me demanda une dernière chose avant de partir, attendre l'arrivée du non moin connu Eaque, son bras droit, il était connu pour être trés froid et cruel mais avait la réputation d'être le meilleur maitre d'arme de tout Kiri, il portait presque en permanence une armure complète noir, qui lui ajoutait encore plus de trés sinistres.

Je m'assis sur une pierre pour rélféchire, la même pierre que la dernière fois, je n'y avait pas vraiment fait attention, il faut dire que c'était la seul pierre assé grosse de la zone pour que je puisse m'assoir dessus sans glisser, les cas sociaux me jettais comme pour changer un regard noir, ils devaient se douter que je les avais plonger dans le comas, et à mon avis il m'en voulait pour avoir entaché leurs réputations au pret de la Mizukage.

Je me demandais comment rejoindre mon cousin Aouëriss, je ne savais ni ou il était ni comment le savoir, j'étais vraiment mal partis, et puis je me demandais aussi se qui se trouvais dans le sac qu'avait laissé Milena-San à son clonne, moi qui était curieux de nature j'étais comme piqué à vif avec cette nouvelle énigme qui s'offrait à moi.

Les secondes se transformait peu à peu en minutes, et les minutes devenait peu à peu des heures, l'attente me paraissait interminable, je m'ennuyais bien plus que sur le bateau qui était pourtant ennuyeux à mourire, je me demandais quand les troupes de Kiri arriveraient et aussi dans quel condition.

Soudain des doutes apparurent, comment allais réagir Eaque me voyant partir avant le combat, je ne pouvais certainement pas lui dire que j'étais devenus un déserteur, à moi que, il ne savait surement pas qui je suis, je ne suis qu'un pauvre chunin et même si je l'avais croisé plusieur fois, il n'avait jamais fait attention à moi, il ne se souviendrait surement pas.

Un peu rassurer je ferma les yeux et commença à profiter du calme de la Fôret pour méditer, attendant avec impatience Eaque et les autres Shinobi de Kiri.

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HRP : Post cours, mais je vois pas que dire de plus UU

Après de nombreuses heures à attendre dans le campement de fortune que les gardes de Milena avait construit, je vis enfin arrivé Eaque dans toute sa brutalité, il avait un grand charisme et son armure noir brillait de mille feu, j'étais un peu impressionner, je dois bien l'avouer, son casque recouvrait presque tout son visage, malgré tout une de ses mèches de cheveux me permettait de voir l'un de ses yeux, son regard froid me glaça le sang.

Avec une voix terrifiante il me demanda où était passé mon bandeau de Kiri, je n’avais pas prévus qu’il me reconnaitrait aussi vite, je ne pouvais pas lui dire ce qu’il en était, je ne pouvais pas lui dire que j’avais déserté, il m’écartèlerait à coup sur, et vu le nombre de shinobi présent je ne pouvais pas non plus l’endormir en jouant de la flute, surtout que Milena-san attendait l’armée au plus vite.

Je ne savais pas quoi faire, je commençais à devenir un peu rouge, ce qui n’était vraiment pas idéal avec ce que je m’apprêtais à faire, j’allais mentir à Eaque, le bras droit de Milena-san, j’espérais qu’il goberait mon histoire comme un gros poisson, sinon je n’aurais plus aucune échappatoire.

Je racla ma gorge et dit le premier mensonge plausible qui me passa par l’esprit, je montra d’abord ma plaque frontale du village de Kiri qui se trouvait dans ma poche en souriant à Eaque et ensuite je lui dis :

« Mission secrète d’on ma charger Milena-san, je dois escorter son clone au bateau pour récupérer un document, à se propos elle vous attend, vous devriez vous dépêchez de la rejoindre »

Je m’écarta ensuite du chemin en faisant quelque pas sur le côté et je tendis mon bras vers les portes de Konoha.

« Elle est là-bas avec le Hokage »

Soudain je regarda le clone de Milena qui tenais la sacoche, j’allais bientôt pouvoir savoir ce qu’il se cache dans se fameux sac qui m’obsédait l’esprit depuis les quelques heures qui avait suivis sa découverte.

Je me demandais quelle réaction Eaque allais adopter, son caractère le forcerait peut être à se moquer de moi-même si il ne croyait nullement mon mensonge, j’attendais la réaction de la boite de conserve monstrueusement grande et noir en regardant les autres Shinobi de Kiri qui était derrière lui, je n’en connaissais aucun, mais il avait l’air tous très fort.

(hrp :pas d’inspiration)

Ce gamin me déplaisait vraiment, cet air infantile et si profondément débile me donnait l’envie de l’écarteler et de le massacrer… C’est ce genre de créature si faible d’apparence et de capacités qui rendaient les armées faibles et laxistes, c’est ce genre de minables qui rendaient des villages comme Konoha aussi faible et inintéressant, c’est ce genre de créature infecte qui polluaient les armées et les faisaient s’écrouler sur elle-même, comme si le souffle du vent renversait l’échafaudage qui aurait du n’être le plus résistant au monde. Je remarquais qui suite à mes questions concernant la disparition de son bandeau, le jeune homme commença à trembloter légèrement, comme si la main fougueuse et malfaisante de la honte et de la terreur venait de resserrer son étau autour de lui dans une complainte sinistre qui pouvait à tout moment signer sa fin, sa propre déchéance qui telle le râle d’un démon d’outre tombe, venait l’enterrer à jamais dans les abysses de la désolation, un gouffre infernale dont les flammes noires rongeraient pour l’éternité les méandres de son âme. Je souriais… Un sourire sadique qui s’étalait sur mon visage, une lueur de folie brillant au fond de mes yeux aux pupilles spiralées… Une folie telle qu’elle semblait vouloir sortir de ce corps et happer dans sa haine incontrôlable ce petit abrutit dans une chute sans fin dans les gorges ardentes des enfers. Je soulevai ma tête faisant apparaître ma gorge avant de la rebaisser pour fixer droit dans les yeux cet énergumène alors qu’il prenait la parole pour m’annoncer dans une voie chevrotante, le teint de sa peau virant au rouge clair, tout en sortant de sa poche, d’une main aussi tremblotante que sa voix décharné, un bandeau de Kiri… Ainsi donc la Mizukage était déjà partit attaquer le village de Konoha, quelle inconscience, s’attaquer seule au village revenait à tenter un assaut suicide, de se jeter dans la gueule du démon en personne afin qu’il puisse se délecter de la chaire de son offrande.
Humectant l’air, je riais en le regardant….

-Pour ce qui est de la Mizukage, je te crois, mais, pour le reste, ca pue la trahison et le mensonge… ton visage transpire la malhonnêteté, le dédain et le mensonge, tu crois pouvoir me tromper alors que tu n’es qu’un minable… Je connais tes capacités, ne pense pas pouvoir m’endormir avec ton jouet, tu aurais à peine le temps de la mettre à la bouche que le contenu de ton crâne se répandrait à terre en une soupe visqueuse…. Mais tu as de la chance que je sois pressé, car sinon, je t’aurai tué…. Toutefois, si jamais je te recroise, je t’écharpe sur place !

Reprenant Asano sur mon épaule, je repris alors ma course suivis du clone de Saber qui après avoir déposé une espèce de sacoche, vint avec moi pour retrouver l’originale qui devait déjà se battre aux portes du village le plus inutile au monde, Konoha… Je devais me dépêcher de la rejoindre afin de répandre la volonté du ciel, et le jugement sacré de l’oiseau destructeur, le Garuda, démon aérien dont le courroux était tel que nul homme ne pouvait s’y soustraire.

HRP : inspiration = 0

Le voyage fut simple mais un peu long à mon goût. Je n'avais que suivre mon sempaï et j'avais passé les trois quart de mon temps sur ses épaules. En même temps, avec les entrainements que j'ai eu sur le bateau... Autant dire que c'était corsé... J'ai passé deux jours à faire ça sauf qu'à un moment donné, j'ai fini pendu par les pieds sur le mât... Quelle plaie... J'avais eu le malheur d'échouer à un des entrainements de la première journée. Sempai n'était pas très content... J'avoue ne pas trop comprendre ce point de vue mais il reste mon senseï et je ne peux pas lui taper dessus parce qu'il agit de la sorte. Honnêtement, je me vois mal lui taper sur la gueule... C'est plutôt moi qui risquerait d'en prendre plein la tronche. C'est un bourrin... On pourrait presque dire que je suis la diplomate des deux... Ce qui est vrai. Mais bon, je suis de rang inférieur à lui et je lui dois obéissance et je dois apprendre de ces enseignements. Mais au milieu de la deuxième journée, j'ai passé ma journée sur le bord du bateau... J'étais pas bien du tout et je sentais mon estomac se noué... Il est même arrivé que je recrache ce que j'avais avaler dans la journée. Cela avait eu le don d'agacer Eaque mais je n'y étais pour rien... Pour une fois... J'avais le mal de mer et c'est vrai que je n'aime pas voyager sur l'eau. Les médecins qui nous avaient suivis m'ont donner un traitement de choc mais une fois le pied à terre, je me sentais beaucoup mieux. Je préférais la terre ferme. Mais les médecins ont imposé une limite. Tous savent que je suis malade à cause de beaucoup de chose... Je devais faire attention en m'entraînant. Les médecins font attention aux vies des leurs et cela n'est pas plus mal. Attrapant mes cachets dans mon sac, je les avale comme je fais depuis des mois. Depuis qu'ils ont découvert le pot au rose, en fait. J'avais fini par prendre l'habitude. Mais le pire, c'est que je ne savais pas si mon sensei était au courant de ça... Enfin, qu'il le soit ou pas ne change rien au fait que je peux mourir bien avant ma date... Le voyage m'avait énervé. Enfin, c'est le fait d'être malade qui m'a plus ou moins mise hors de moi. Je ne suis qu'un Chuunnin et j'ai encore besoin d'entraînement. Mais c'est pas dans mon état que je vais pouvoir le faire. Pauvre senseï, lui qui avait tous préparé... L'entrainement du premier jour était simple et facile au début mais après attention... En fait, je me trouvais sur ces épaules et il me lançait dans les airs. De là, je devais viser des objets mouvants et les toucher de manière définie par lui-même. J'avais mes yeux pour voir... Au début seulement... Plus tard, j'avais le même exercice... Mais les yeux bandés. Je ne savais pas trop comment prendre cette exercice vu que je n'ai pas l'habitude. Il me disais de me fier à mon instinct et de suivre ce que mon corps voyait sans passer par les yeux. ... ... ... ... ...

Je suis restée silencieuse pendant plusieurs minutes à tenter de comprendre le sens de sa phrase mais autant dire que je ne l'a comprend toujours pas. Bon, cela arrivera peut-être plus tard mais actuellement, cette phrase n'a aucun sens pour moi. Je finis par hausser les épaules et commencer l'entraînement. Au départ, rien... Pas un tir, pas un geste... Je ne faisais que sauter dans les airs. Je tentais de comprendre et de savoir ce qui pourrait m'aider dans cet entraînement particulier. Mais mon senseï n'avait pas tort sur un point. Sur le fait que ce sont nos instinct qui nous guide tout au long de notre vie de shinobi... Je dois reconnaître qu'il n'a pas tort en disant cela. Puis je parviens à me décider et c'était parti. Je ne voyais pas les cibles mais je savais qu'elles étaient tous près. Je parviens à en toucher quelques unes mais ce n'est pas un miracle. Face à ça, j'ai finis ma journée suspendue au mat par les pieds... Je n'avais rien contre mais j'ai finis par avoir la tête qui tournait...

Puis on était arrivé à destination. Ce soleil... Je ne l'avais jamais vu aussi radieux qu'ici. Mais où sommes-nous ? Je pose la question à mon sempaï qui m'attrape pour me poser sur ses épaules. Je pouvais lui servir de guetteur de cette manière. Il m'explique tout et je compris rapidement qu'on allait devoir se battre contre les ninjas de Konoha. Je mets alors mon doigt sur ma bouche et je me mets à réfléchir. Cela n'est pas forcement bon signe. Mais bon, ce n'est pas à moi de décider. On pose pied au sol et on prit la direction de la forêt. Cette forêt... Elle me donne d'étranges impressions... Elle dégage une atmosphère sereine et léger. Comme si on se libérait d'un poids. Quoiqu'il en soit, cet endroit faisait vraiment du bien. Il me fait sourire et parfois, tout en étant sur une des épaules de mon senseï, je parvenais à rire avec un papillon qui passait par là. Bah quoi ? J'ai encore le droit de m'amuser non ? Après, je vais devoir taper sur des gens alors autant se défouler un peu avant... Histoire d'être opérationnel avant de faire du massacre. Sur la route, sempaï me donne des conseils qui sont importants... A mes yeux en tout cas... C'est alors qu'on arrive à destination. L'observant avec beaucoup d'attention, je fronce un sourcil et je quitte l'épaule d'Eaque pour l'observer sous toutes les coutures. Drôle de bonhomme en tout cas.. Il appartenait à Kiri ? Je regarde Eaque d'un air interrogateur... Cela voulait dire quoi ? Qu'il fallait le supprimer ? Dans ce cas, je le fais sur le champ ... Par politesse, je le salue tout de même d'un signe de tête. Je croise les bras et j'écoute vaguement la discussion. Puis après qu'il se soit expliqué, j'entends Eaque parler avec vulgarité. Je me tourne vers lui ...

« - Sempaï, tu n'es qu'une grosse brute... »

Bien sûr, cela était un reproche. Mais en temps, il avait été vulgaire. Je suis plus diplomate que lui et c'est pas nouveau. Il y a d'autre façon de s'adresser à quelqu'un même s'il s'agit d'un ennemi. Je préférais la niaiserie. C'était beaucoup plus drôle. Il a trop de tact... Même pas capable de jouer avec les mots. C'est alors qu'il me reprend sur son épaule et je disparais avec lui. Il était reparti pour faire la course. Tenant mon bandeau, on s'éloigne un peu. Observant le clone du Mizukage. Quelque peu surprise, je demande tout de même.

« - Nia... Bon, il se passe quoi cette fois ? Hein ? Tu ne vas tout de même pas raser le village ? »

» Arrivée de l'arme de la brume sanglante.
» arrivèe de Shiro
» Arrivée de Senkou
» Une arrivée... Vide.
» l'arrivée tranquille