Mission in Flash-Back ~ Shitei Jin'sei no Shinobi... [Pv Minnie']

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Appartements de Konoha

Mission in Flash-Back ~ Shitei Jin'sei no Shinobi... [Pv Minnie'] Narutohome

Marchant sur les toits des maisons, Aouëriss, 14 ans, approchait à grand pas de son maître. Il venait de rencontrer un homme assé étrange, apparament persuadé d'un destin tout tracé et de son invinsibilité, un homme à l'étrange dôjutsu, le byakugan. Agé de 12 ans, lui se prénommait Neji Hyuuga, il parlait bien, même très bien pour son âge, mais son serieux faisait tache avec la pseudo-insouciance du jeune Aurion. Le vant bien haut la tête, son sensei l'appella :

Aouëriss, descend de là, j'ai à te parler...

Sautant de son perchoir en émettant un très léger soupir, Aouëriss se récéptionna trqnuillement et demanda au grant homme le sujet de sa discution.

C'est assé simple, tu vas efféctuer ta première mission de rang C en solo, sans équipe, se n'est pas une mission simple et mériterait un grand plus élevé mais tu as le niveau et l'atitude nécessaire à son bon déroulement. C'est enfaite une mission de vol, et tu as été requis pour cette mission. Aucun besoin de te dire que tu devras être très discret, car c'est une mission importante donnée par l'hokage, j'ai entendu dire que vous vous connaissiez déjà ?...

Flash-Back

Le petit Aouëriss, très peu de temps après son arrivée au village de la feuille, partait pour échapper aux questions inscessantes des bonnes de la riche famille dans laquelle il était accueillit. Il marcha rapidement et arriva dans un couloir, tout ici lui était inconnu, il prit un autre chemin, tourna, et se cogna contre la jambe maladroite qu'un homme assé grand, il portait une sorte de robe blanche et un chapeau de forme triangulaire...

''Hum ?''

Pardon monsieur, je courait et je ne vous ai pas vu

''Ah ? Comment t'apelles-tu mon petit ?''

Euh... Ak, Aouëriss...

''Dit moi petit Aouëriss, aimes-tu ce village ?''

Eh bien, je ne sais pas...

''Ah ? Eh bien reviens me voir quand tu auras trouvé cette réponse...''

Et l'étrange monsieur repartit avec sa démarche nonchalante, fumant la pipe, d'un air vraiment heureux et épanouis... De la pièce où il sortit était écrit 'Bureau de l'Hokage'

*Pourquoi je ne me rapelle de rien ? ma, ma famille, Ôsamaru, mon... mon prénom ! Mais si ! Je me rapelle des paroles de mon père : - Si un jour tu vas parler avec un humain, dit lui que tu t'apelle Aouëriss... Aouëriss d'Ôsamaru, et ne dit à personne ton vrai prénom, il ne faut pas qu'il sache...Quand tu sera plus grand je t'expliquerais...-*

Fin du Flash-Back

Oui, on se connait déjà...

Bien, alors, un ambassadeur, ninja, représentant Kumo, a fait une halte au village quelques jours pour prendre un peu de repos, sous prétexte d'un long voyage. Hier au soir, l'on a vu une ombre roder autour du bureau de l'Hokage, et comme par hasard, ce matin, un document important à disparu et l'homme de Kumo nous a dit qu'il partirait dans la journée. Le document concerne certains ninjas de son village. Nous ne pouvons le garder sous peine de représaille du village de la foudre, mais il faut en vitesse, que tu pénètre par l'aile gauche, dans une petite fenêtre, dans sa chambre, et que tu récupère le document, un enfant intelligent et agile comme toi serai plus discret et plus rapide qu'un ninja, surtout que tu es le seul à pouvoir passer par la carreau de cette fenêtre.

Ca n'a pas l'air bien complexe, comment je reconnaitrai le document ?

Il est jaune, sur le dessus est inscrit "Anbu réformés De Kumo"...

Bien

Repartant sur-le-champ, Aouëriss ne tarda pas à retrouver la maison en question. Fenêtre sur le côté, comme prévu, l'Aurion exécuta un mudra et inséra une certaine dose de chakra dans ses pieds et ses mains, afin de pouvoir grimer au mur.au niveau du carreau, il activa son Katame Hon'tou et examina très minutieusement la vitre.Elle était en très bon état si ce n'était une légère fissure sur la gauche. Aouëriss apposa la paume de sa main droite à ce petit endroit précis et envoya un très légère décharge de Kyuuzou Chakra. Dans un très léger bruit, la fissure s'agrandit et se fragilisa. Même étant du double couche, Aouëriss n'eut plus qu'à enfoncer un kunai pour finir de casser la vitre.

Pénétrant dans une étrange pièce, il regarda d'un coup d'oeil et ne vit rien. Aouëriss dût fouiller et fouiller chaques documents, chaques paperasses, soulevent des paquets, des papiers, toujours en remettant tout à la bonne place, afin qu'il n'y ai pas de problème. C'est dans un vieux tiroir à double-fond, que l'Aurion trouva finalement ce qu'il cherchait, Mais c'est aussi au même moment qu'il entendit des bruits de pas dans sa direction. Rangea d'un même geste, le papier dans sa veste, et refermant le tiroir, l'Aurion très méticuleux activa ses yeux bleus et vit une aura, un shinobi, approcher et tourner la poignée...

Grand silence, un homme qui n'était qu'un garde surement mercenaire itinérant employé par l'ambassadeur de Kumo entra dans la pièce. À première vue, rien de spécial, à seconde vue, un shinobi adolescent jeune portant une cape blanche cachant partiellement son visage lui tombait dessus. Il n'eut pas le temps de réagir qu'il se prenait une rafale blanche suivie d'un coup de pied en pleine figure. Ejécté à l'autre bout de la pièce, il n'eut pas le temps de se cogner contre le mur qu'Aouëriss le rattrapa au col et le tira vers lui pour lui asséner un très violent coup dans le ventre et le jeter sur le sol, évanouie. Au même moment, l'Aurion sentit de par son oeil, une seconde personne approcher, probablement l'ambassadeur. Très rapidement, le Genin surdoué du village de la feuille referma la porte, jeta de toutes ses forces le garde par la fenêtre et sauta de même par cette fenêtre.

**Je n'ai pas eu beaucoup de chance...**

Arrivant en bas, ayant rattrapé le corps sans connaissance du garde, Aouëriss arriva à un carrefour, il ne connaissait pas du tout ce coin, il était perdu. Le document avec lui, il posa l'homme sur le sol et sortit une carte. Une fille passa rapidement devant lui, il n'y fît pas attention, trop occupé par le corps à côté de lui et son chemin, il ne pensa pas qu'il aurait pu le lui demander. Il regarda une carte, retrouva son chemin et croisa dans une rue son maître.

J'ai récupéré le document...

Ah ah ah, apparament tu n'as pas récupéré que lui. Cet homme à du rentrer en fraude dans le village, c'est un déserteur recherché, je vais l'emmener en prison et ramener ce document à l'Hokage, c'est du beau travail, je pense que tu peux aller prendre du repos.

Hum, je retourne m'entrainer...

Comme tu veux

Retournant à son entrainement, Aouëriss recroisa la jeune fille de tout à l'heure, il la connaissait déjà, elle s'appellait Reila Kazumi et était plus jeune que lui de deux ans. Il la regarda et lui adressa la parole :

Tu attends quoi ici ?

Il ne demandais pas ça méchamment, c'était un ton habituel, il sortit son katana et regarda si il n'avait pas eu de dégats par rapport à la mission précédente, en attendant la réponse de Reila.

Partis ... Encore une fois, pour je ne sais combien de temps. Ils ne me le disaient jamais pour ne pas m'inquiéter. Mais cette fois c'était différent, j'avais un mauvais pressentiment. Heureusement, j'étais genin depuis peu de temps et mes entraînements et missions m'occupaient donc je n'avais pas la tête à ça pendant mes journées. Mais le soir était parfois terrible à attendre...
Le seul jour de repos que j'avais cette semaine, j'allais le passer à m'entraîner pour me vider l'esprit. Comme la plupart du temps.

Préparant rapidement mon équipement de ninja dans ce but. Même si il n'était pas vraiment encombrant et presque inexistant. J'entamais mon chemin vers le terrain d'entrainement que je foulais tant en ce moment. Dans les rues, je croisais un autre genin que je connaissais un petit peu. Son signe le plus représentatif n'était autre que ses cheveux d'une couleur rouge flamboyante. Tout comme ses yeux.

Je passais devant lui sans trainer, de plus il avait l'air plutôt occupé à ses petites affaires. Au vue du corps qu'il tirait. Passant dans diverses rues, puis dans un petit chemin forestier, j'arrivais enfin à la berge de cette petite rivière où j'aimais tant m'entraîner car il n'y avait quasiment jamais personne. La tranquillité en quelque sorte.

M'accroupissant devant la rivière en question, je prenais un petit peu d'eau dans le creux de mes mains puis me la jetait à la figure. Laissant les gouttes d'eau couler sur les traits de mon visage, appréciant le chemin refroidissant de celle-ci. Je levais ensuite ma tête vers le ciel observant ces légers nuages blanchâtres haut dans le ciel... Je me laissais tomber en arrière, allongé sur le l'herbe jonchant le sol je continuais de regarder les cumulus du ciel.

Parfois certain prenait des formes bizarres, d'autre ressemblait à des animaux ou bien à des objets. Je n'avais jamais vraiment fait attention à ça. C'était reposant de les regarder évoluer. Mais je n'étais pas là pour cela, je me relevais en position assise, les genoux légèrement repliés, les mains en arrière pour soutenir mon corps et rester en appuis donc. Mon regard se posa cette fois sur le court d'eau translucide en face de moi.

Pourquoi... Pourquoi avais-je cette impression que cette fois il ne reviendrait pas ? Ma réflexion fut coupée par les bruits de pas arrivant. Mais je ne me retournais pas pour voir qui c'était. Si je connaissais cette personne, elle me parlerait et alors je la reconnaitrais.

Tu attends quoi ici ?

Me dit-il.

Surprise, oui c'était ce que j'étais à ce moment précis ...

»

J'attends ... J'attends qu'ils reviennent.

«

Répondis-je.

Après la surprise était venu la déception, oui je crois qu'au fond de moi, au plus profond de mon âme, j'avais espérais que cela soit un de mes parents qui venait me chercher. Mais non, non, ce n'étais pas l'un d'eux. Bien sûr ... Pourquoi avais-je eut cet espoir illusoire. Cette impression n'était pas fausse, non, je le savais, mais je me bourrais le crâne de bêtise. Je le savais, ils étaient morts. J'en étais sûre. C'est comme si ces liens avaient été coupé sans scrupule par la faux de la mort. Je ressentais ces liens se consumant à la coupure provoquant un chagrin, le chagrin du deuil ...

Je secouais la tête, puis prenais une grande respiration. Puis je me retournais vers le garçon à la chevelure rouge. Oui, je l'avais reconnu, sa voix, je la connaissais déjà. Même si je ne l'avais pas vraiment entendu de nombreuse fois.

»

Et toi, que fais-tu là ?

«

Dis-je en me retournant.

Spoiler:

Ayant terminé sa première mission de rang C pour son village et revenant s'échauffer au terrain d'entrainement, le jeune Aouëriss avait aperçu pour la seconde fois cette fille aux cheveux bruns et à la toge blanche, et lui avait demander la raison de sa présence ici. Celle-ci lui avait répondu très simplement :

» J'attends ... J'attends qu'ils reviennent. «

Tu attends qu'ils reviennent ?

Surpris, le petit descendant de l'ancéstral clan Aurion pensa d'abord qu'elle était peut-être folle, mais rien qu'aux premiers abords, il la trouvait simpathique. Cette très jeune kunoichi, apparament aspirante de Konoha semblait taciturne, depuis sa petite phrase, elle semblait triste, comme si elle s'attendait à quelque chose de spécial et qu'elle était déçue de ce qui venait arriver. Sans le vouloir, l'oeil couleur rubis d'Aouëriss devînt subitement couleur cyan, un bleu très clair et très pâle. Ce don unique légué par ses aïeux de la famille sacrée rouge sang de l'Aurion, nommé Katame Houn'tou où "Oeil de véritée absolue" possédait d'étrange pouvoir. C'était déjà une aide, une perception et une observation grandement améliorée, mais surtout une capacitée à Analiser, comprendre, retenir et répondre à vitesse sur-améliorée, ça servait nottament durant les combats, à voir rapid"ement clair dans le jeu des adversaires, mais aussi à comprendre les gens, les émotions, et à lire beaucoup, psychologiquement, chez une personne.

Il servait actuellement et de manière fortuite pour cette jeune fille, et invisiblement, l'Aurion lisait en cette fille, une tristesse indécise. Elle semblait vraiment triste, comme la perte d'un proche, ou un amour brisé, même avec son oeil, il n'en savait trop rien. Aouëriss tenta de se concentrer et de maîtriser son oeil mais rien ne se passa. Il réessaya en ilaissant passer un flot de chakra et l'oeil rouge se résorba, la pupille grandit et l'oeil redevînt rouge. Prenant une grande bouffée d'air et se secouant la tête comme pour se reprendre, elle répondit finalement en redevenant plus simple, moins triste et plus calme, surtout pour changer de sujet :

» Et toi, que fais-tu là ? «

Trouvant la question assée banale, Aouëriss fît exactement de même, et lui répondit vraiment très banalement :

Et bien je venait m'entrainer.
Je viens de terminer ma mission de rang C

Puis il continua, dans son ton, toujours un sentiment presque inexistant, même à l'âge petit de 13 ans, le Genin de Konoha était toujours impassible, souvent silencieux, mais tout de même plus expressif, même beaucoup plus que lorsqu'il aurait l'âge de 18 ans.

J'ai l'habitude de m'entrainer dans cette partie
du terrain d'entrainement. Je n'ai pas très bien compris
de ce que tu faisait là mais ne fait pas cette tête-ci,
tu me rend triste. Tu attendais que qui revienne au juste
pour être perdue dans tes pensées comme ça ?

Puis il regarda la lame de son katana et remit l'arme qu'il avait sortit dans son fourreau, comprenant que son entrainement serait après sa discution.

Non pas parce que j'aime, non pas parce que je hais, non. Ces liens font mal, ils nous font souffrir et tout ça dans la plus grande discrétion. Ils se consument lentement, au fil des ans. Ces connexions imagées, tissées par le temps avec ces gens mais qui finissent inlassablement par disparaître car la mort est le destin de tous, autant qu'on ne l'approche, l'immortalité n'est pas et ne sera jamais.

Par ces mots maladroit, prononcés à la vas vite et, sans aucune réflexion. Des mots importants, ne le semblant pourtant pas, pour le monde extérieur. J'en eus la conviction à la réponse du jeune garçon à la chevelure rouge. Oui, c'est vrai j'attendais, je les attendais. Pour moi c'était clair dans mon esprit. Mais pas pour les autres apparemment. Je ne répondis point à ces paroles, tout discours aurait été inutile et dénué de sens, mes pensées étaient bien trop emmêlées pour pouvoir dire quelques choses de censé et cohérent.

Je continuais cependant de l’observer en le détaillant légèrement. Ses cheveux et ses yeux étaient de couleur rubis, pourtant il m’avait semblé les apercevoir fait de cyan il y a quelques instants. Mais étrangement, je les voyais maintenant de la même couleur que ses cheveux. Enfin bon je décidais de ne pas m’attarder dessus peut-être que ce n’était qu’un mauvais tour de mon imagination. Sa chevelure en bataille pouvait presque faire penser à la crinière d’un lion bien que j’en avais encore jamais vus dans ma petite vie.

J’avais aussi l’impression qu’il me scrutait, m’analysait. L’aura qu’il dégageait me faisait du bien. Vraiment. Mon esprit peut-être troublé au début de notre conversation commençait juste à s’apaiser. Était-ce sa présence ou bien autre chose ? Je respirais un bon coup alors que le jeune garçon répondait à ma précédente question. Celui-ci venait de finir une mission de rang C et il venait ici pour s’entraîner apparemment. C’est alors que la véritable raison de ma venue ici me revînt. Oui, j’étais aussi venu pour cela. Mais je pense m’être quand même dérivé de mon but comme à chaque fois.

Toujours de son ton impassible, il continua à parler.

J’ai l’habitude de m’entrainer dans cette partie du terrain d’entrainement. Je n’ai pas très bien compris de ce que tu faisais là mais ne fait pas cette tête-ci, tu me rends triste. Tu attendais que qui revienne au juste pour être perdue dans tes pensées comme ça ?

»

Ce que je fais ici ? En fait, au départ je me suis rendue ici pour les mêmes raisons que toi. Mais le départ de certain de mes êtres chers m’a un peu attristé et je me suis perdue dans mes pensées en voyant cet endroit qui me rappelle tant de souvenirs…

«

Il commença à ranger sa lame dans son fourreau en s’arrêtant bien pour l’observer. Sans doute pensait-il que ce moment allait se transformer en discussion. Pourtant je pense que bougeais m’aurais fait du bien, beaucoup de bien. M’enfin je n’allais pas non plus m’opposer à son envie. En tous cas, il semblait fort, beaucoup plus que moi qui venais d’être promû kunoichi.

Je ne savais plus où j’en étais. Non vraiment plus. En qui croire ? En mon impression ou en l’espoir ? Qui auraient raison ? Qui auraient tort ? Seul le temps pourrait me l’apprendre. Mais je savais que si je restais dans cet état là, je sombrerais sûrement dans les ténèbres. Et comme un ange gardien, il était venu lui, lui que je connaissais à peine. Et dans un sens, j’avais l’impression qu’il m’apportait du bien être, que son aura apportait le calme et la sérénité. Mais cela ne pouvait pas être possible. Personne ici sur terre n’était un ange où quoi que se soit d’autre. Enfin ce n’était qu’une chose qui pourrait paraître logique aux yeux de tous. Elle n’était probablement pas vrai. En tout cas, je ne pouvais pas nier cette sorte bienfaisance qui émanait de lui. Mais agissais-t-elle également sur les autres ?

Mes pensées de moins en moins embrouillées, je décidais de lancer une discussion. Bien que je ne savais que dire.

»

Je trouve ce lieu magnifique n’est-ce pas ? De plus, peu de personne y viennent pour s’y entraîner …

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