Many Co-Fondatrice | Graph'
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| Sujet: Mission rang B » Infiltrer une orfanisation « Dim 25 Oct - 19:48 | |
| Ce vent glissant sur ma peau, à la fois froid et violent. Ces rafales faisant virevolter mes cheveux que j’essayais de retenir tant bien que mal avec ma main droite. Ce bruit d’air sifflant entre les brins d’herbe. Cette sensation de froid et de chaleur agréablement simultanée. Ce grondement à mes oreilles reflétant la vitesse du vent. Les feuilles volant autour de moi … J’étais devant le campement de l’organisation qui faisait l’objet de ma mission. * FLASH BACK *Je me levais ce matin, et la tête encore dans les nuages j’aperçu une lettre cachetée du symbole d’Oto glissée sous le pas de ma porte. Je l’ouvris après m’en être saisit. Et comme je l’avais prévu, une convocation pour ordre de mission dans une heure. Je froissais la lettre de ma main gauche puis je la jetais négligemment dans une poubelle de mon appartement. Une heure plus tard, je me retrouvais donc dans un bureau attendant patiemment que son propriétaire revienne de la pièce adjacente. Ce qu’il fit environ cinq minutes plus tard. Dans le silence il s’installa dans son siège. Il posa ses coudes sur son bureau et croisa ses doigts avant de prendre la parole.« Kazumi, Nous avons des ordres de mission pour toi. L’important est de savoir que depuis peu, une petite organisation qui pourrait devenir dangereuse prépare quelque chose. Elle a pris campement non loin d’Oto dans un petit village. Elle ne semble pas être vraiment puissante pour l’instant. Vous devez premièrement vous infiltrer dans celle-ci. C’est votre ordre de mission. Les prochains vous seront communiqués plus tard. […] C’est tout ce que j’avais à dire. Bonne chance, tu peux disposer. » Finit-il. Sans dire un mot, je me relevais puis partais n’ayant rien à dire à cet homme. Il m’avait dit pas mal de chose sur cette organisation, j’en savais largement assez sur le sujet pour m’infiltrer dans la plus grande discrétion. ** ** ** Le soleil commençait à se coucher, laissant derrière lui une douce lueur rougeâtre dans le ciel. Signe météorologique prévoyant un lendemain venteux. Alors que je m’avançais vers le campement en question on m’interpella pour me demander qui j’étais et ce que je faisais là. En restant vague je répondais que je venais pour devenir membre de cette organisation et que je voulais voir le chef. Ce qui ne ce fit pas attendre, en effet seulement une dizaine de minutes plus tard je me retrouvais une nouvelle dans un bureau à attendre. A ce moment là, j’espérais que ça n’allais pas devenir une routine pour moi car je trouvais ça ennuyant au possible. Un bruit sourd, j’observais l’homme qui venait d’entrer. Celui-ci posa son regard sur mon visage puis sans me lâcher, alla s’asseoir sur son fauteuil en face de moi. « Reila Kazumi, si je ne me trompe pas ? Mais ton nom m’importe peu, je ne sais pas qui tu es. »Fit-il calmement.
» Non c’est bien ça. Je suis une Nukenin de Konoha et j’aimerai entrer dans votre organisation ayant entendu parler d’elle il y a peu. «
« Nukenin de Konoha ? Intéressant … Hum, je pense que c’est possible, il n’est pas bien compliqué de rentrer dans notre groupe. Il suffira que tu fasses tes preuves dans une mission. […] » * * *Je marchais sur un de ces sentiers de montagne caillouteux. Derrière moi, un groupe composé de membre de l’organisation. Je n’étais en aucun cas leur chef, je préférais juste marchait à l’écart de ce groupuscule bruyant où je ne connaissais personne. La nuit était passée lentement et je n’avais pas dormis, préférant observer le ciel étoilé en réfléchissant sur la mission qui m’avait été donné. Elle consistait à tuer un homme plutôt riche habitant dans un petit village de montagne puis à dérober des documents important en possession de celui-ci. Une mission qui reposerait apparemment sur moi.
Bientôt, nous nous engageâmes dans un lit de rivière asséchée, tapissée de cailloux rond et d’un blanc immaculé. L’eau avait creusé la roche faisant naître deux grande paroi suivant le chemin. On y trouvait quelque trou dans celle-ci. Et la végétation commençait à reprendre place. Après environ une trentaine de minute de long cheminement on arrivait enfin devant une sorte de mur de pierre où il devait avoir jadis une petite cascade. Cet endroit, par le passé, devait certainement être magnifique, mais aujourd’hui ce n’était plus qu’un enchevêtrement de grosse pierre blanche toute aussi immaculée que les autres. C’est ici que l’on devait faire halte pour établir un plan. Quand toute la troupe fut arrivée, le leader commença à déplier un plan et alors débuta de longue explication. Je n’avais pas tout écouté, du moins je savais ce que je devais faire et par où je devais agir, j’allais jouer le rôle le plus important. Le leader me donna une sorte de radio que je fixais à mon poignet même si normalement c’était au coup qu’il fallait la mettre. Aucune importance.
Je devais partir avec un peu plus d’avance car c’est moi qui infiltrerait la maison pour tuer cet homme, les autres eux feraient diversion pour qu’aucun garde ne me barre la route. En premier je devais repérer les lieux pour leur communiquer par quel côté il devait faire diversion. J’espérais qu’ils seraient assez compétents pour tenir un petit moment. Cette stratégie, je la trouvais profondément vulgaire. Elle me donnera plus de mal qu’autre chose, je dois agir vite et tuer cet homme avant qu’il n’arrive car sinon il s’enfuira. Stupides êtres qui n’ont même pas envisagé cette conséquence. Ils n’avaient visiblement pas d’expérience, et il avait mieux valut que je me taise pour ne pas me faire remarquer. J’irais autrement mais dans le même sens et ils n’y verront que du feu, ils ne sont pas capables de voir autre chose de toute façon.« Kazumi, commence à partir. » Me dit-on.
» Bien. « Répliquais-je. Je respirais puis m’étirais, et enfin je m’élançais vers le mur de roche en fasse de moi pour le franchir de bond en bond. Je commençais alors une course assez rapide, prenant de plus en plus d’élan à chaque pas. Non loin de là se trouvait le petit village rallier à la grande villa de l’homme. Il était prévu que je le contourne, mais cela me prendrait une bonne vingtaine de minutes même avec cette allure là. La meilleure solution était de le traverser en pensant pas les toits et les rues désertes. Lancer à vive allure j’arrivais rapidement au village en question. Je m’arrêtais net pour m’accroupir un minimum et sauter. Ce saut fut assez long à cause de ma vitesse et j’atterrissais sur le petit rempart qui entourait la ville. Et de là je m’élançais vers le toit du bâtiment le plus proche. Enchaînant cabriole et saut dans les airs à toute vitesse je venais de traverser le petit village en direction de la villa. Celle-ci se présentait en un vaste territoire. Le Jardin plutôt imposant se décomposait en plusieurs terrasse. Ce morceau de terre devait sûrement être agricole par le passé, ou alors ce n’était seulement qu’un effet de style. Plusieurs arbres me cacheraient de la vu des gardes. Il était apparemment impossible de contourner le Jardin et je me voyais obligée de me faufiler dans ses divers plateaux du Jardin. Que je voyais maintenant comme plutôt encombrant… J’essayais de faire mes pas le plus feutré possible, de ne pas marcher sur des feuilles mortes, de ne pas me faire voir, courant le dos courbé, contournant les arbres et parfois redescendant pour mieux remonter. Normalement j’aurais dut avertir mes coéquipier depuis un long moment. Mais c’était maintenant que j’allais le faire. Ainsi donc je disposais d’environ vingt minutes pour tuer l’homme ensuite j’attendrais patiemment que je reçoive le signal avec lequel j’aurais dut partir m’infiltrer dans la maison, mais le timing que j’allais appliquer sera certainement bien meilleur que le leur. Ainsi je ne serais pas gêner par les gardes au moment de ma recherche de document. Enfin j’arrivais presque au niveau de la villa. Je me plaquais dans l’ombre d’un mur, j’avais entendu des bruits de pas. En effet, Je commençais à apercevoir le garde en question. J’avançais ma main vers ma bouche et calmais ma respiration, vidant mon esprit de toute pensée, mon esprit était calme et apaisé sans aucun trouble. Je le suivais des yeux puis quand il fut hors de vue je me rapprochais de la maison. Aucun autre garde en vue. Une dizaine de minute était déjà passée. Bien. Je sautais sur le toit de la maison et je baladais mes yeux sur toute sa surface puis je sortais le plan du bâtiment que l’on m’avait confié. Le déroulant, je vérifiais si mes souvenirs étaient bons, et il l’était. En effet on pouvait voir sur le plan une trappe menant au grenier. Si on pouvait appeler sa un grenier… Je me dirigeais donc vers celle-ci, la soulevant grâce à une poignée fixée dessus, tout doucement pour ne pas faire de bruit. Quand elle fut ouverte de quelques centimètres à peine, je regardais par la fente. Apparemment il n’y avait personne. Je l’ouvris un peu plus puis me glissais dans celle-ci. En me laissant tomber souplement et sans bruit au sol. La trappe se referma et l’obscurité se fit et le seul rayon de lumière venait du pant de la porte. Je l’avançais vers celle-ci pour coller mon oreille contre le trou de la serrure. Aucun bruit. J’ouvrais donc légèrement là porte. Personne en vu et j’en profitais pour sortir de cette pièce poussiéreuse. Je me trouvais dans un couloir sans issus. Une seule solution donc. Peu de monde devait passer par là. Tant mieux pour moi. Je sortais un Kunai et je me plaquais contre un des murs pour ne pas que l’on aperçoive mon ombre au prochain croisement. Accroupie, je regardais discrètement dans le couloir suivant. Ayant étudié les plans de la maison, je savais que la chambre de l’homme se trouvait non loin de là, juste à quelque couloirs, quelque mètre. Désormais il ne restait plus qu’une porte qui me séparait de celle-ci. Un souffle puis je l’ouvrais. Un sentiment d’émerveillement me remplis d’excitation. Le luxe s’émanant de la pièce était incomparable. Je secouais la tête je ne devais pas m’arrêter là, je devais faire quelque chose. La route pour arriver ici nous avait pris tellement de temps qu’il faisait presque nuit maintenant. On ne m’avait sûrement pas vu entrer ici. De toute façon il n’y avait personne. Le jacuzzi qui coupait la pièce en deux m’empêchait de passer. J’aurais pus marcher sur l’eau, j’aurais pus sauter par-dessus, mais je ne le fis pas puisque sur ma droite se trouvait une sorte de couloir miniature qui menait à l’autre côté. Me faufilant entre les sièges, passant dans ce minuscule passage, je me retrouvais donc dans la deuxième partie de la pièce où se trouvait un bureau avec beaucoup de document déposé en vrac dessus et un autre passage d’où venait une source de lumière, il y avait aussi une fenêtre non loin du bureau et diverse siège et plante. D’abord j’allais fouiller le bureau avec un peu de chance ce que je cherchais y serait. Et j’avais raison. Je plaçais le document en haut de la pile se trouvant sur le bureau puis j’allais m’occuper de l’homme, mon kunai toujours à la main. Et Sans qu’il ne me voie, sans qu’il ne m’entende, je me plaçais derrière lui et positionna mon Kunai sous gorge. Quand il se rendit compte de ma présence je lui tranchais le gosier d’un coup sec et définitif. Il Eut un hoquet puis s’écroula à terre en suffoquant de douleur. Soudain, on entendit le bruit d’une grosse explosion provoquant un vacarme assourdissant. Ils avaient donc commencés l’attaque. Pille au bon moment je devrais dire. Je ne réfléchissais pas plus je me saisissais du document, j’ouvrais la fenêtre pour ne pas la défoncé et alarmer encore plus les gardes puis après avoir pris un peu d’élan, je m’élançais et sautais pas celle-ci. Une fois encore je sentais le vent glacé faire virevolter mes cheveux, me bourdonner aux oreilles. Mais cette sensation fut de courte durée, car elle avait été provoquée par la chute. Je me trouvais derrière la maison et une forêt intense s’offrait à moi, je ne tardais pas à m’y engouffrer puis j’activais ma radio. » Mission accomplie, j’ai le document en question. On peut se replier. Je vous rejoins à l’endroit où on a fait une pause stratégie. Au croisement de la rivière en bref. «
« Bien. » Me répondit-on. Je rentamais ma course en traversant cette forêt et en contournant la maison et son jardin. Et environ une demi-heure après je me retrouvais en haut du mur de pierre que j’avais franchis une ou deux heure avant. Les autres étaient déjà en train d’attendre, de discuter, de soigner les blessés pour le peu qu’il y en avait. J’inspirais calmement et profondément puis je sautais pour me retrouver en bas de ce mur de roche blanche. Le leader de la troupe vint m’accueillir et me demandant si j’avais le document, je lui répondais d’un hochement de tête et je lui tendais celui-ci. Je l’avais bien sur étudié sur la route et je savais parfaitement sa contenance. On reprit ensuite la route pour prendre campement dans un endroit éloigné de la forêt. Je venais de gagner leur confiance avec brio. | |
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