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Des kunai déformés s’élançant vers mes parents. Mes parents… Qui se changeaient progressivement en poupée de sang puis disparaissaient à vue d’œil dans un tourbillon d’autre débilité. Un flash noir. Puis des couleurs apparaissant par millier, parfois en reformant des visages que j’avais croisés.
Dort, repose-toi et souffre. Observe et passe toute ton énergie dans l’espoir, non. Prend les choses en main, fait de ta vie une histoire intéressante et arrête de rêver ça ne sers à rien. Juste à vivre dans une illusion inespérée qui ne sera jamais la réalité.
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Une brise, un geste brusque de sursaut puis un réveil brutal, retour à la réalité. Le ciel commençait à s’assombrir, j’en concluais donc qu’on était le soir. Avais-je dormi toute la journée ? Pourtant il ne m’avait pas semblé que j’étais autant fatigué ça. Je me relevais puis m’étirais, ce mauvais rêve m’avait vraiment engourdie. En regardant autour de moi, je remarquais que je me trouvais à la lisière d’une forêt. Effectivement, c’est l’endroit que j’avais choisi, ce matin, pour faire un petit somme afin de récupérer de ma pseudo mission pour l’organisation.
Je respirais profondément, puis en me dirigeant vers le campement je vis un homme courir vers moi en agitant ses bras pour me faire signe, affligeant. Je me retournais pour continuer ma route dans une autre direction, mais comme je l’avais prévu c’est à moi qu’il avait à faire.
« Kazumi ! Kazumi ! Le chef veut te voir ! » M’annonça-t-il.
» Le Chef ? Bien. « Répondis-je.
Je soupirais puis prenais la direction des quartiers du chef. Il m’attendait déjà, assis derrière son bureau. La tête penchait sur une sorte de plan. Il s’exclama pour m’accueillir puis il y eut un blanc où chacun de nous deux observa l’autre. Mon regard froid et distant ne le fit pas changer de cible. Je finis par me dirigé vers la fenêtre pour observer le ciel étoilé de cette magnifique nuit, lassé de cet échange. Il commença alors à parler. Les plans qu’il avait sous la main n’était autre que les documents que j’avais dérobés quelques jours auparavant. Il n’avait pas besoin de me le dire, je l’avais remarqué au premier coup d’œil, car ces documents, je les avais étudiés avant de les remettre. Je réfléchis un minimum avant de faire quoi que ce soit. Je savais donc ce que représentais ces plans ainsi je ne fus pas surprise au moment où il me révéla que c’était les croquis de plusieurs bâtiments important du village du son. S’infiltrer dans un bâtiment est beaucoup plus facile les plans en main. Tous comme je l’ai fait pour ma précédente mission, enfin ma seule et unique mission pour leur compte.
Son discours ennuyant continua, peu à peu il me dévoilait tous ses plans dans les moindre détails. Je ne l’écoutais qu’à peine, juste assez pour comprendre son objectif. J’étais bien trop occupée à observer ce majestueux panorama qui s’offrait devant mes yeux tout en réfléchissant à ses dires. Ainsi il voulait conquérir Oto… Était-il fou ? S’attaquer à une puissance ninja avec les hommes minables qu’il a sous son commandement, c’est aller au suicide. De plus il ne se doute même pas que moi-même je fais partis du village du son et que les ’grands’ du conseil le soupçonne déjà lui et son organisation. Stupide homme, je me demande ce que tu vaux…
Je faisais mine d’écouter attentivement ses dires en gardant mon visage impassible de toute émotion. Le but de tout ce discours n’était autre que de m’annoncer que je devrais poser des parchemins explosifs un peu de partout dans un ces bâtiments. Assez délicat. Tant que je ne savais pas mes vrais ordres de mission je devrais faire comme si de rien était et essayer de retarder les choses. Mais un doute me vient à l’esprit. Sans attendre, je lui demandais confirmation de mes pensées toujours en fixant les vitres de cette fenêtre translucide.
» Qui posera les autres parchemins ? Tes hommes ? « Lui demandais-je calmement.
« Oui, tu ne les considères pas comme tes coéquipiers n’est-ce pas ? Va, ce n’est pas important à mes yeux tant que tu fais bien ton boulot. » Me répondit-il comme si de rien n'était.
Sans dire mot, je lui lançais un regard voulant tout dire. Si c’était ce qu’il voulait, tant mieux. Fréquenter des personnes de ce genre ne m’enchantais guère. Je sortais donc de cet endroit allant me réfugier sous un arbre de la forêt alentour. A la lisière j’observais l’obscurité du ciel et commençait à somnoler sans pour autant m’endormir. Je ne pouvais pas dans ces conditions.
* ** *
Un autre jour se levait haut dans le ciel, cela faisait maintenant trois jour que le chef m’avait avoué son plan. Depuis j’avais effectué une autre petite mission pour lui sans grande importance. Le point positif, c’est qu’il n’avait pas encore prévu la date de la sois disant attaque. Cependant je n’avais toujours pas reçu d’ordre de mission venant de la part du village. Bref, aujourd’hui je n’avais rien à faire. La plupart des membres de cette petites organisations étaient partis en mission et peu de monde se trouvait sur le camp. Et bien sur parmi eux, moi …
Oui je me trouvais encore une fois dans la forêt à l’abris des regards. Assez ennuyant comme situation. Soudain quelque chose me revînt à l’esprit.
FLASH BACK *
Ma convocation terminé, je me préparais donc à partir. Mais une fois que j’eus ouvert la porte, l’homme avec qui je venais de parlais m’interpella pour me prévenir. Je me retournais et voyais une forme que je ne pus identifier s’avancer à grande vitesse vers moi. Par reflexe, je tendis ma main à l’endroit du futur impact pour l’attraper. Un parchemin, un parchemin scellé. Et alors que je continuais à observer l’objet, la voix de l’homme se fit entendre.
« Dans ce parchemin scellé se trouve tes prochains ordres de mission, ne l’ouvre qu’au moment où tu seras seule et sans surveillance et quand tu auras finis la première mission, et qu’à ce moment là. Tu pourras le descellé avec un peu de chakra. » Me dit-il alors.
Je passé le seuil de la porte après avoir écouté ses dires. Je n’avais point répondu n’en voyant pas l’utilité de la chose.
* Fin FLASH BACKJetant un rapide coup d’œil dans les alentours, je vérifiais si il y avait une présence quelqu’onque. Aucune personne apparemment, je plongeais alors ma main dans une petite pochette se trouvant au bas de mon dos pour en ressortir ce fameux parchemin. A mes yeux, ma première mission avait été parfaitement accomplie au vue de ce que m’avait dit le chef, il y a peu de temps. Je l’observais un petit moment puis je me décidais à utiliser une infime partie de mon chakra pour enlever ce scellé qui m’empêchait de de pouvoir lire ces écrits.
- Citation :
« Ordre de mission : Une fois intégré dans cette organisation, débrouille-toi pour déjouer leur plan et mettre leur chef dans le plus mauvais état possible. On ne connaît pas son niveau. Cette mission est classée rang B. »
Assez léger comme ordre de mission enfin bref je jetais en l’air le parchemin puis effectuais une série de Mudra pour envoyer une flammèche vers le parchemin qui allait bientôt retomber. Il tomba en feu sur la terre sèche de la forêt. Je surveillais ce brasier irrégulier dont les flammes étaient soit rougeâtre soit orangée. Quand il fut éteins je me déplaçais vers lui pour disperser les cendres et écraser les quelques brindilles qui avaient pu être touchées. Tout ça afin que le feu ne prenne pas et que là forêt soit préservée car elle sera certainement le futur tombeau d’une personne importante de l’organisation.
Maintenant que je connaissais les ordres de ma prochaine mission, je pouvais enfin réfléchir sur mes prochaines actions qui mèneraient à la réussite de celle-ci. C’est ainsi que je passais le reste de la journée à me casser la tête pour mettre en pied un plan.
* ** *La nuit avait passé, et une nouvelle fois on me convoqua dans les locaux du chef. Je commençais vraiment à me lasser des ces multiples convocations trop fréquentes à mon goût. Ainsi donc c’était pour m’annoncer que le plan se mettrait en route dans deux jours. Bien aujourd’hui je pourrais tout préparer et mettre en place, mais une chose m’inquiétait. Mais je me doutais que cette petite organisation devait bien posséder un local ou des stocks sont préservés.
Avant de quitter le chef, je lui demandais donc s’il y avait un entrepôt où se trouvaient des armes en prétextant que je devais me préparer pour nos agissements prochains. Sans aucune hésitation, il me répondit alors qu’il se trouvait un peu à l’écart du campement au sud. Cet homme avait vraiment confiance en moi pour me le dévoiler aussi rapidement. Je m’attendais à plus de difficulté pour obtenir cette information…
Quelques minutes plus tard je me retrouvais devant le bâtiment en question. Entrant avec le code que l’on venait de me donner, j’admirais le fait que tant d’arme pouvait se trouver au même endroit. Il y avait de tout, vraiment. Je commençais alors à fouiller dans pas mal d’endroit. Trouvant mon bonheur avec une bonne longueur de câble ainsi qu’une bonne quantité de kunai et de shuriken. Mais aussi quelques bombes fumigènes, parchemin explosif et autre. Je n’avais pas pioché dans les grandes armes cela ne me servirait à rien.
Bon, tous les ustensiles en main pour mettre en route mon piège se trouvait entre mes bras. Maladroitement, je refermais la porte en essayant de ne rien faire tomber puis je commençais une marche assez lente vers la forêt. J’espérais que personne ne me verrais car cela pourrait peut-être contrecarrer mes plans.
* ** * Enfin ! Tous mes pièges étaient posés, cela m’avait pris une journée entière et une bonne partie de la deuxième. Mais bon, au moins ça m’avait occupé. Pour justifier cette absence au sein de la petite organisation, j’avais annoncé que je partais m’entraîner pour une petite période mais que je serais là pour « l’attaque ».
Le chef m’avait dit qu’il partirait dans la soirée de la veille pour dégager le passage, je n’aurais donc qu’à l’attirer au bon moment et engagé un combat contre lui pour le tuer. Ensuite je ferrais exploser le campement avec les parchemins explosifs qu’il me restera comme ils comptaient le faire sur le village. Même s’ils semblaient ignorer comment il était difficile de rentrer dans la ville souterraine. Ils me paraissaient si ignorant, si incapable que je me demandais s’il ne faisait pas exprès de me le faire croire.
Je devais mettre mes doutes de côté pour pouvoir agir enfin plutôt en profiter pour me reposer. Ce que je fis bien sur. Consciente que la nuit ne tarderait pas à tomber, ainsi qu’il allait bientôt arriver. M’étirant de tout mon corps, je me plaçais sur une branche assez imposante en elle-même. Je le savais, il serait bientôt là. Simplement car le chemin principal et qu’au cas où il passerait par autre part, j’avais disposé des clones dans les alentours.
Je scrutais l’horizon de mes yeux de couleur châtain pour apercevoir la silhouette ombrée de l’homme que je devais abattre.
» Le voilà … « Fis-je sans bouger d’un millimètre.
Oui, on pouvait le voir au loin, et chaque pas le reprochait de sa mort. Bientôt, il s’aperçu de ma présence et me lança un regard interrogateur pour savoir ce que je voulais. Sans dire mot, je descendais de mon perchoir dans un petit saut pour atterrir fluidement au sol. Je me retrouvais face à lui, le visage dénué d’expression, le regard froid. Aujourd’hui serait la dernière fois.
THEME -SONG
Je fermais les yeux, le signal était lancé. Ainsi une grande nuée de shuriken s’avançait dans mon dos, sans que je ne puisse les voir. Mais je savais qu’il était là. Je savais que dans deux secondes à peine, si je ne bougeais pas, ils se planteraient tous dans mon dos. Cependant, je savais aussi qui les avait envoyés. C’est aussi pour cela qu’une bombe fumigène fut envoyée pour cacher la fumée dégagé par le clone sur le passage des armes.
Oui, la Reila que l’homme avait vu n’était autre qu’un clone destiné à perturber, déstabiliser l’adversaire de part sa disparition mystérieuse au milieux de la fumée provoqué par le fumigène. Il utilisa un Kawarimi pour échapper aux armes. Criant mon nom, croyait-il que j’étais morte, terrassée par ces shuriken ? Enfin bref maintenant, c’était au tour des autres clones.
Trois d’entre eux sortirent des buissons mais à différent endroit. Déconcerté, l’homme afficha une expression d’étonnement sur son visage. Puis, sans doute, il comprit. C’était moi qui l’attaquais. Oui, moi celle en qui il avait posé sa confiance pour des missions, celle à qui il avait révélé tout son plan si rapidement. Et maintenant, kunai à la main, je fonçais sur lui, du moins mes clones étaient entrain de le faire.
Le premier lui lança l’arme vers le torse, qu’il évita facilement tandis que le deuxième avait fait un bon, pied en avant pour lui administrer un violent coup de pied. Qu’il évita aussi mais de justesse. Assez bon je devrais dire. Seul fut le troisième à parvenir à ses fins, en effet, celui-ci était resté un peu en arrière pour effectuer quelques mudra et lancer sur lui une flammèche rapide qui lui brûla l’épaule gauche. Première attaque réussit ! Pensais-je.
Les pièges et offensives s’enchaînaient et pourtant j’avais toujours autant de mal à le cerné. Je ne le voyais pas attaquer, juste se défendre. Pourquoi ? Qu’elle était sa puissance ? Je n’en savais rien. Je pensais, en élaborant mon plan, qu’il allait un minimum attaquer pour que je puisse l’observer un minimum. Mais non, non il n‘en faisait pas… Peut-être en était-il incapable, alors. Impossible c’était le chef de l’organisation. Et je suis sûre de ne pas m’être trompé. J’avais senti chez lui, une puissance bien plus élevé que celle des autres membres de l’organisation.
Mais je l’avais quand même touché, même si ce n’était que très peu et minimemment. Je ne pouvais pas continuer à utiliser graduellement mon chakra pour une cause inutile. Je me devais de passer à la vitesse supérieure car désormais même si je ne connaissais pas son style d’attaque, je savais très bien comment il se mouvait, comment il se défendait. Ainsi je sortis de ma cachette qui était beaucoup plus en hauteur que où il se trouvait lui. D’un saut, je me retrouvais en chute libre au dessus de lui. Malaxant mon chakra pour une quelqu’onque prochaine attaque.
Point en avant je frappais dans le vide, il m’avait repéré, il m’avait évité en faisant un pas en arrière. Retombant sur mes pieds et plutôt accroupis, j’en profitais pour effectuer un coup de pied rotatif visant à le faire tomber. Une nouvelle fois il esquiva en sautant. Prenant appuie sur ma main et jambe gauche je me remettais debout tout en lui lançant deux kunai. Cette fois il ne put rien faire puisque il était dans les airs.
Mais cette fois, et pour la première fois l’homme commença à malaxer son chakra puis à enchaîner diverse signe de main. Il me semblait que c’était des signes dédiés au Fuuton et j’étais d’affinité Katon. Autant tenter le tout pour le tout et l’atteindre une bonne fois pour toute. Je devais avoir confiance en ce que j’avais vu, en ce que j’avais deviné. Je respirais un bon coup puis commençais une série de signe tout comme mon adversaire.
» Katon, Goukakyuu no Jutsu ! « Criais-je, un instant après qu’il eut effectué sa technique lui aussi.
Mon impression était juste. Il venait bien d’utiliser une technique d’élément vent. Inférieure à ma technique de feu qui s’embrasa encore plus au contact de la bourrasque en partant vers mon ennemi à toute vitesse. Il fut pris dedans mais en sortit le plus vite possible. Brûlé à plusieurs endroit. Mais quelques chose me gêner, pourquoi ? Pourquoi, avait-il attaqué avec du fuuton, alors que j’avais utilisé des techniques Katon des mes précédentes offensive ?
Même si n’avais rien contre le fait qu’il les utilise. Justement cela me donnait un certain avantage. Peut-être simplement ne connaissait-il pas les supériorités d’affinité. Après tout aucune importance. Mais cela m’étonnais, jusqu’à présent le chef n’avait utilisé aucune attaque. Mais au moment pile où c’était moi et non mes clones qui lançait l’attaque, il avait attaqué. Savait-il que je n’étais pas un clone ? Certainement.
De toute façon, même s’il l’avait deviné, cela serait du pareil au même. Maintenant il était gravement brûlé. Se mouvoir allait être une dure épreuve pour lui, et sans doute il ne tiendrait plus très longtemps. Et c’est maintenant que je devais agir. Maintenant que tout allait se passer. Je me devais de rester vigilante car tout pouvait encore arriver.
THEME -SONG
Je plongeais ma main rapidement dans ma sacoche arrière, me saisissant d’un kunai. Il en fit de même avec une sorte de petit couteau, différent d’un kunai normal. D’un petit signe de main j’ordonnais à deux de mes clones restant de l’attaquer tandis que moi je m’élançais vers lui Kunai à la main. Tandis que mes deux l’assaillait de diverse coup je bondis dans les airs pour lui administrer un violent coup de pied en pleine poitrine. Il vacilla et je pris appuie sur ma jambe droite pour ma réception. Dos à l’homme pendant quelques seconde, je me retournais rapidement le pied gauche armé pour l’envoyer aussitôt valsé sur un énorme tronc d’arbre adjacent.
Instinctivement, mes clones enchaînèrent par un double kage Bunshin shuriken. Utile cette technique… Alors que moi, je respirais profondément, récupérant le plus d’air possible pour gonfler mes poumons au maximum. Allant même jusqu’à me baisser un peu en arrière pour leur laisser plus de place, je malaxais maintenant mon chakra avec cet oxygène récupéré enfin d’en faire une sorte de mélange inexplicable avec des mots et qui donnait à la fin du feu au moment même où il sortait de ma bouche. Ainsi trois long jet de flamme se dirigèrent vers l’individu principal de la petite organisation. Je venais d’utiliser le tir Katon, le dernier jutsu de feu que j’avais réussi à m’approprier.
Et enfin pour l’achever je concentrais une nouvelle fois mon chakra dans mes poumons, mais d’un autre manière. En effet, cette fois ci visait à utiliser une autre technique, non pas une technique de l’élément feu mais une tout autre que j’aimais bien également.
» Doku Kiri ! « Fis-je d’une voix forte.
Aussitôt j’annulais mon jutsu de clone et je sus enfin si mon plan parallèle avait fonctionné. Et effectivement je voyais déjà les images du campement dévasté par les explosions, remplis de cadavre. Je pouvais encore sentir odeur putride dans mes narines, odeur plus que désagréable.
Je me dépêchais de quitter le lieux du combat désormais dangereux à cause du poison se répandant dans l’air. Si je ne me trompais, j’en avais finis avec cette mission. Enfin … Enfin je pouvais retourner à Oto pour me reposer tranquillement en attendant une nouvelle mission.