Combat : Eaque vs Yujoba

Des hurlements, de la haine, de la souffrance, mélangé à un prfond sentiment de mélancolie. Puis, encore des hurlement, avant un réveil en sursaut, pour cause, une vitre brisé. Ou plutôt, un tempête, un tempête faisant gronder le tonerre plus fort que jamais. Comme s'il n'avait pas déjà assez de mal à se reposer, il fallait en plus ces saloperies d'orages. Le ciel était sombre, en cette nuit d'hiver, il était, sur le radio-réveil de Yujoba, trois heures du matin. Il se dit que cela était idéal pour un poetit entrainement, qui signifiait, pour lui, un entrainement durant quelques jours... Décidemment, il est vraiment fou... mais là, il lui revint ses cauchemars d'il y a quelques minutes, et le mal le prit de face. Un serpent...Orochimaru, il s'imaginais en train de l'achever, et lui, hurlant, se debattent, ne pouvant rien faire contre cette mort, contre cette horreur venant à lui, mais ne suffisant pas à lui faire payer ses crimes. Yujoba était à bout de nerf, en manque de sommeil, mais pour une fois, ses rêves et souvenirs ne l'avient pas autant horrifié que d'habitudes, fautes de leur nombres. Et oui, depuis qu'il était arrivé à Konoha, et avait passé ses examens, son esprit avait retrouvé une certaine sérénité, mais bien sûr, l'aventure ne fesait que commencer, et chaque jour, Yujoba se rapprochait de plus en plus de son but, et la mort de orochimaru était de plus en plus proche. Son rêve de devenir Sannin s'amplifiait, mais il était d'ailleurs bien partie, en tant que ninja d'exéption, il n'avait que quinze ans, et avait passé ses examens, avec une certaine lassitude, car l'examen de sémlections de chunnin n'était pas très compliqué pour certaine personne, mais ceui pour devenir junnin, en revanche, nécessite une certaine force d'esprit, une logique énorme, et une puissance certaine. De jour en jour, il devenait plus fort, mais c'est justement en pensant à ceci, qu'il se remit les idées en place, et qu'il se décida à aller faire un tour dans le vilage, et à aller s'entrainer, comme d'habitude. Il se dirigea vers sa cuisine, toutes en désordre, mais pas sale, non, Yujoba était plutôt du genre maniaque, il ne supportait pas la moindre trace de poussière, ou de saleté, ni dans sa deumeure, ni sur lui, sur son corps. La porte de sa cuisine, restée ouverte, fessait un bruit extrêmemnt désagréable, et Yujoba la démonta d'un coup de poing en plein centre. Voilà qui était fait ! Il alla ouvrir son réfrigirateur, et en sortit une bouteille de coca-cola, qu'il s'enfila à moitié. S'en suivit la préâration d'un sac à dos, remplie d'un sac de couchage, de barre chocolatées, de shuriken, de kunai, d'habits de rechange. Il sortit ensuite, à l'air frais de la nuit, qu'il apprécia particulièrement bien. Il se laissa porter par le vent, et les étoile, celles d'un ciel sans lune, se remémorrant tout un tas de souvenirs agréable, celle du visage de sa mère, lui souriant, et poussant son dernier soupir, le regard braqué sur lui, toujours avec ce visage et sourir bienveillant. Vous vous demandez sûrement la raison pour laquelle Yujoba a prit un sac ? Il avait l'intention de desert... Mais non, pas de déserter, mais de voyager. Oui, de voyager, longuement, de s'entrainer, de traverser le monde. Il allait en parler à son kage, à... Trois heures et demi du matin. En faite, si, il y avait longuement pensé, à s'en aller. Ce village, il l'aimait, plus que tout autre chose, mais comme on dit, il faut savoir faire des sacrifice. Lui, est ce qu'on pourrait qualifier d'un homme sacrifié, à une vie de misère. Il avait prévu de s'en allait, loin, mais il voulait monter en grade, et ce qu'on lui répondait, c'est qu'il fallait qu'i fasse ses preuves. Il ne faisait pas grand choses pour son village, au lieu de choisir les missions pour l'aider, il choisissez toujours des choses pour "tester ses limites". Mais son Kage, l'aurai empêcher de monter en grade, et il aurait était forcé à déserter. Le seul problème, c'est qu'il avait toujours envie de tester ses limites, c'est pourquoi il avait prévu de défier sa kage, dans un combats à mort. C'était de la folie, c'est d'ailleurs pour cela qu'il s'étiat dit que finalement, il réflécjirai à deux fois, avant de proclamer ce combat à mort.Il se rendormi, ses pensées sombrèrent dans les ténèbres avec lui. Dex jours plus tard, il fut réveillé par des cris, hurlement incessant. Il sortit, cela venait des portes. La lune n'était plus, à présent. Elle était caché par une sombre brume. Aux portes, des ninjas... Des ninjas de Kiri, et un homme à la tenu d'Akatsuki. Mais il partait déjà, Yujoba, lui voyait un homme dont le potentiel excellait, dont la réserve de chakra était assez immenses. Un ninja, lui aussi, du village de la brume. Ils attaquaient Konohga, et lui, il avait envie de tester ses limites. En un geste, uniforme, il planta un Kunai devant les pieds du ninja. Il vit son Kage à terre, et c'est à ce moment précis que que le chakra l'entoura, et que la colère s'empara de lui.

"C'est... Le Hokage ! Non, il était à moi ! vous comprenez, à moi, qui l'a tué !"

Il se retourna vers le ninja, sachant pertinement que ce n'était pas de sa fautes, ou qu'il n'était pas repsonsable, et il le fixa intensémment. Ce combat, allait être pour la connaissance de leur limites respectives, pour la survie, pour la victoire, il se battrait avec hargne, haine, et force.

~~HRP : Attention, ce rp contient des passages de cruauté et de tortures.~~

L’éclat terni d’un rayon de pureté venait filtrer a travers l’aube vitale dans lesquels se pavanaient ces êtres aux corps si distordus qu’ils semblaient tout droit sortir de l’imagination. Les doux rayons du soleil filtraient à travers l’épais feuillage d’un vert sombre, comme si la lumière céleste du grand astre de feu absorbait l’éclat des êtres terrestres pour le redistribuer autrement… C’était comme si le linceul de transparence d’un corps inconnu venait entourait de chaleur et de bonté un monde refroidit par des ténèbres nées des corps de ceux surplombant les couches terreuses dont se part Gaia elle même. Une robe de poussière virevoltante au grès du souffle du vent répandant sur son passage la promesse d’un monde bénie et de vie nouvelle… Un contraste bien étonnant par rapport à la vérité qui gouvernait le monde, un monde emplit d’une folie douce et meurtrière qui se répand tel le poison d’outres tombes que répandrait une hydre de son sang maléfique après qu’un quelconque guerrier eusse eut le courage de trancher une de ses innombrables têtes. Ce perfide poison qui se répandait dans les veines de la reine terre n’était autre que le résultat de la déchéance humaine dans son plus bel et sordide appareil… c’était celui de la destruction. Une destruction pourtant nécessaire car synonyme de bien nombreuses choses, telle que la renaissance et la création de monde plus évolué et plus grand encore que les précédents… C’est une spirale infernale que l’on appelait le cycle infinie de la mort, telle la malédiction qui pesait sur le destin maudit de chaque être, un destin qui semblait mener à une seule chose, la mort inéluctable, un labyrinthe immense cernant la voie tracée entre la création et la fin.
Dans ce sombre chemin de folie et de massacres perpétuels se devaient de jouer certains acteurs… des acteurs dont chaque homme sur terre en jouait la pièce principale, celle de la tragédie d’un destin immuable s’enfonçant à chaque seconde dans le gouffre sans fin d’une déchéance absolue. Mais, parmi ces acteurs, certains se sortaient la tête haute de la spirale de folie qu’engendrait cette noirceur, des démons aux corps marqués par la guerre et le sang d’un rouge de rubis de leurs ennemis, des êtres qui se targuaient de pouvoir répandre la nouvelle création par la destruction. Certains ne s’en rendaient pas compte, mais d’autres eux étaient bel et bien fiers et de noble attitude concernant cette position. Tous des bourreaux avides de sang et de malheurs, certains proclamant haut et fort agir sur la croix du destin, ou d’autre comme moi, simples guerriers en quête de massacre et de terreur victorienne à insuffler dans le cœur des hommes, qui se targuaient d’être les juges des faibles afin de les enfoncer dans leur propre inutilité.
Avançant dans la pénombre stagnante des sous bois qui entouraient tel une muraille naturelle d’une sidérante beauté, parfois entrecoupée de rayons solaires, le village de Konoha, cible désignée de notre armée du village de la brume sanglante, je me délectais du sort funeste qui allait s’abattre sur ces gueux d’un autre age, une fin digne de ces idiots baignés dans leur propre stupidités, se berçant d’illusions d’une niaiserie sans fin sur une pseudo politique de paix et de paroles, une politique qui n’était rien contre la loi du fer et du tranchant, règle absolue qui existait depuis bien plus longtemps encore que la sois disante politique, arme des faibles et ignares. Portant sur mes épaules ma jeune disciple, je jetais des regards alertes de tous les côtés depuis que le soubresaut d’un grondement sourd s’était fait entendre, grondement symbole de destruction probable, et donc du début des combats… La Mizukage avait donc probablement lancée la charge sur le village de Konoha, seule bien sur, un acte fou et idiot pour une personne de ce rang. Ainsi donc, je jetais de nombreux coups d’oeils aux alentours en quête d’un possible ennemi venant du village adverse, embusqué dans les fourrés prêt à bondir comme un animal blessé sur le prédateur qui filait droit sur sa nichée.
Mais en lieu et place d’un adversaire à massacrer, un terrible grondement se fit entendre, comme si dans une nausée atroce, la terre se rompait sur elle même prête à déverser ses entrailles et sa rancœur éternelle. Un vent strident commença à déchirer les environs, comme si le ciel lui même semblait prêt à jouer sa complainte sonore envers les âmes perdues… Le souffle chargé d’une amertume profonde vint alors déranger la quiétude souveraine des arbres de cette foret, faisant danser et siffler les couronnes feuillues et autres parures végétales des seigneurs de la forêt. S’en suivit une seconde rafale, bien plus singulière, rapide et violente qui fit s’ébrouer les arbres aux alentours. Il s’agissait d’une onde de choc… qui fut suivit d’un brouhaha incroyable, comme si quelque chose semblait se refermer sur lui même… Le village de Konoha devait subir une attaque terrifiante en ce moment, mais même la kage ne pouvait faire cela, qui était-ce donc… Heureusement pour moi, je me tenais encore assez loin du village, trop peut être, pour être soufflé par l’attaque et subir des dommages… je dus seulement attendre que le souffle se calme avant de reprendre ma course de plus belle afin d’arriver le plus vite possible, le plus vite que mes jambes pouvaient faire et me porter au grès du vent. A pleine vitesse, défiant les lois de la gravité, il ne me fallut guère plus de 5 minutes pour attendre enfin les portes du village de Konoha, ou du moins ce qu’il en restait…
En effet, devant moi ne se dressait plus qu’un amas de roches grinçantes et de bois brisés, des éboulis empilés les uns sur les autres rappelant vaguement la présence autrefois de ce qui devait être une muraille et une porte de garde. Sous les débris desquels s’écoulaient encore de minces gravats en une fontaine régulière, je pouvais voir dépasser plusieurs mains, bras, et parfois têtes de ninjas pris sous les décombres. Sur un rocher je voyais pendre un bras en partit amputer par la chute des rochers, pendant misérablement au bout d’un moignon sanglant, simplement retenus par de minces filaments de chairs et quelques tendons. Un flot de sang s’écoulait de la terrible plaie, bien que le ninjas ou la kunoichi à qui il appartenait devait être mort ou morte. Tout à coup un rocher vibra et s’écroula, révélant le corps d’une jeune femme encore en vie, bien qu’en piteux état… La jeune femme sortie péniblement des décombres en poussant des jurons et des gémissements e douleur, de souffrance en résonance avec son corps brisés et ses nombreuses plaies qui parcouraient un corps dont la peau devait être d’un blanc assez pur, à en juger par les rares zones sans hématomes… Malgré ses terribles blessures et l’état dans lequel elle était, il s’exhalait d’elle une véritable beauté… qui me donnait certaines envies, comme briser son corps et sa vie alors qu’elle avait pourtant survécut par miracle… Oui, aucune pitié pour l’ennemi…
Alors qu’elle venait de sortir des décombres, je l’observais attentivement afin d’observer les moindres détails de cette ninja de Konoha… De sa longue parure de cheveux d’un noir d’ébène s’écoulaient quelques gouttes de sang provenant sûrement d’une tenaille au niveau du crâne à la base du cuir chevelu… Son visage au teint pâle semblait avoir été épargné, si on faisait abstraction des quelques coupures qui parcouraient ses joues, entailles desquelles suintaient de maigres gouttes de sang d’un rouge pur. Ses jambes aux collants déchirés tremblaient dans une cacophonie grossière, et sa poitrine se soulevait au rythme d’une respiration saccadée… un sourire mièvre s’affichant sur son visage qui transpirait le contentement d’avoir survécut… une joie qui n’allait guère durer.
Je reposais délicatement ma jeune disciple avant de dégainer mon katana en m’approchant d’elle par derrière, sans faire attention à ce mec de l’akatsuki que j’avais tantôt aperçut et qui ne m’avais guère marqué par rapport à la joie de graver dans les yeux de cette femme l’incarnation même de la terreur. Lorsqu’elle entendit le cliquetis de mon armure du Garuda, la jeune femme sursauta et tourna rapidement la tête vers moi tout tentant vainement de se relever… Ecarquillant ses yeux e stupeurs alors qu’elle devait avoir pensé être enfin sauvée, je tendis la lame de mon katana en arrière avant d’en enfoncer rapidement la pointe dans son abdomen. La réaction fut immédiate, ses lèvres d’un rouge soutenu se vrillèrent avant de s’ouvrir largement pour lâcher un cri suraigu de douleur et de désespoir. J’approchais alors ma main droite de son visage, lui caressant sa joue à la peau douce et couverte de sang avant de retirer rapidement ma lame de ses entrailles au moment où mon fidèle Borkoff arrivait enfin, transpirant et respirant bruyamment. Le colosse tout en muscles tenait entre ses bras 6 immenses roues, et tenait attaché dans son dos diverses planches de bois servant à exécuter le supplice de la roue. Tout en désignant la première victime de Borkoff du doigt, c’est à dire la jeune femme haletant à terre, tenant sa plaie béant au creux du ventre pressée avec ses deux mains frêles, j’aidais mon serviteur bourreau à décharger ces instruments délicats. Il ne nous fallut que quelques secondes pour tout déposer à terre et finir les préparatifs du supplice alors que la pauvre future victime rampait tant bien que mal afin de tenter d’échapper à ses démons. La rattrapant, je la soulevais par la taille tandis qu’elle tenait sans résultat de se débattre en agitant faiblement ses bras et ses jambes, pour finalement la déposer à terre, sur des planches disposés d’une façon spécifique… deux planches soutenant les jambes, les articulations des genoux se trouvant dans le creux entre les deux planches, deux autres disposés de façon identique sous le bras gauche au niveau du coude, et deux encore au même endroit pour le bras droit. Les bras et jambes attachées aux planches, elle ne pouvait plus se débattre alors que le géant qui allait abattre sur elle la roue du jugement … Au moment où il la dressait au dessus de sa tête, plusieurs ninjas de mon groupe de combattant arrivèrent alors. Les voyant, Borkoff reposa sa roue, laissant un bien maigre sursit à la jeune captive. En effet je venais de lui faire signe d’attendre ayant un message du clone de la Mizukage à délivrer.

-Borkoff… Amuses toi avec elle pendant que je transmet certaines choses, soulages toi en elle si t’en as envie, comme à ton habitude dès qu’on doit interroger une ninja ennemie…
-Oh oui oui, tirer un coup !

Alors que je me retournais pour avancer vers mes subordonnés, je pus apercevoir du coin de l’oeil, le pantalon noir de Borkoff qui ressemblait plus à un sac usé et rapiécé qu’autre chose, tomber à terre, suivit quelques secondes après du caleçon. Cet homme, en plus d’être un expert dans l’art d’infliger les pires souffrances à ses malheureux « patients », était un être vulgaire et obsédé par l’attrait du corps féminin dans ses moindres courbes… plus particulièrement les courbes des fesses et dans l’écartement des jambes…..
Je m’arrêtais quelques secondes pour voir le visage sublimé par la terreur et le dégoût de cette jeune femme lorsque le colosse se baissa sur elle pour, d’un simple mouvement des deux mains, déchirer sa tenue de ninja afin de la mettre quasiment à nue… Malgré ses blessures et le sang qui s’écoulait de la plaie causée par mon sabre sur son abdomen, sang qui dégoulinait tel un fleuve minuscule, une coulée à l’éclat de rubis qui semblait renfermer tout ce que le désespoir pouvait contenir en son être, le symbole de la vie s’échappant à jamais d’un corps dans la disgrâce la plus totale.
Ravie de cette vision d’un corps dénudé à sa merci, le géant commencat à glousser avant de commencer son va et viens indécent, prenant un plaisir malsain à la faire gémir de terreur, et d’une jouissance pourtant non désirée. Me détournant des cris de l’ex-miraculée, je m’approchais de mes gardes afin de leur donner l’ordre d’aller transmettre un message de la Mizukage, ou plutôt de la clone de la Mizukage qui m’accompagnait, qui donnait pour ordre aux troupes d’attaquer le village afin d’éliminer un maximum de survivants du village de Konoha, sauf les enfants bien sur… Puis, une fois deux d’entre eux partis, les autres étant aller déterrer un large poteau qui dépassait des ruines, je m’assis sur un rocher en attendant que Borkoff ait fini sa tâche lubrique… Au bout d’une bonne demi heure, le géant s’écarta de l’entrejambe de la jeune femme, avec probablement un sourire ravi sur son visage caché derrière sa cagoule noire. Le spectacle de cette humiliation ayant émoustillé mes instincts les plus primaires, j’avançais vers elle, détachant le bas de mon armure pour à mon tour me plonger dans le plaisir sauvage de la chair et la plus totale déchéance.
Après un temps que je ne saurais préciser, mon corps s’étant soulagé de son fardeau, tout comme d’autres choses qui venaient de voir leur poids allégé, je refermais mon armure avant de préparer l’exécution de cette femme…
Borkoff ayant lui même attendus sur un rocher que je finisse mon œuvre, il se redressa et attrapa au passage une de ses immenses roues.
Son beau visage couvert de larmes, la jeune femme hurla de plus belle en voyant arriver son bourreau, son énorme roue brandie au dessus de sa tête. Toutefois, il n’abattit pas sa roue immédiatement, réfléchissant à quoi broyer en premier…. Il se décida enfin et tendis sa roue au dessus des genoux de la jeune ninja. Je me penchais pour resserrer les jambes de cette créature démolie et rattacher les rattacher aux deux planches… L’espace entre les deux bouts de bois disposés sous les genoux était juste suffisant pour laisser passer la roue. Puis après que j’eusse retiré mes mains, le géant frappa de toutes ses forces. Le résultat fut immédiat. Un craquement sinistre résonna en harmonie discordante avec le bruit sourd du bois de la roue frappant le sol sous les chairs écrasés et meurtris. Du sang s’écoula de sous la roue tandis qu’il la soulevait. Les chairs au niveau des genoux avaient été complètement explosés, la partie inférieure et la partie supérieure des jambes n’étaient encore rattachés que par de minces lambeaux de chairs rosés et quelques ligaments, l’os dépassant des deux côtés des plaies, tandis que l’articulation elle même ne devait être plus que des éclats éparses d’ossements. La réaction de la prisonnière fut elle aussi immédiate, elle poussa un hurlement tel qu’il était difficile d’imaginer qu’un être humain puisse le pousser. Un hurlement à déchirer l’âme des êtres les plus sensibles, et même de certains qui pourtant sont capables au quotidien de réprimer leurs sentiments. Pour ma part, je ne voyais là qu’un doux chant, celui du désespoir, de la terreur et de la souffrance.
Après avoir recalés les planches sous le bras droit, il recommença son œuvre, puis en fit de même avec le second bras, avec à chaque fois, une nouvelle plainte stridente.
La transpiration se mêlait à présent sur son visage, les dents serrés refreinant une douleur inimaginable. Le supplice était bientôt achevé, en effet, le bourreau tandis une nouvelle fois au dessus de sa tête pour l’abattre avec cette fois beaucoup moins de force, sur la poitrine dénudée de cette guerrière déchue, brisant alors la quasi totalité des côtes. Un nouveau hurlement s’en suivit… Nous détachâmes alors rapidement les planches de sous les membres broyés tandis que le poteau venait enfin d’être dégagé. Je pris entre mes bras le corps brisé de cette femme afin de l’amener à la roue posée à terre… une fois devant, je la posais lentement dessus. Puis, Borkoff prenant la moitié droite, moi la gauche, nous fîmes s’enrouler les membres broyés autour des barreaux de la roue avant de les attacher avec de fines cordelettes.
Et enfin, après avoir enfoncés le creux central de la roue dans le poteau, nous le dressâmes en plein milieu des décombres, le fixant de façon précaire au sol.
Quelques secondes plus tard, des corbeaux arrivèrent et se posèrent sur le corps nue et agonisant de cette femme, probablement pour la dévorer encore vivante… Ce serait une mort lente et atrocement douloureuse.
Nous venions tout juste de venir lorsque ce qui semblait être un vulgaire kunai se ficha à terre entre mes deux pieds. Je me retournais pour voir là ce qui semblait être un ninja de Konoha sans blessure quelconque apparente, il devait donc être absent du village au moment de l’attaque… Je ne fis guère attention aux paroles dénuées d’intérêt qu’il proféra, et une fois qu’il eut finit, je lançais à son encontre :

-Enfin un adversaire… Je suis Eaque, le juge du Garuda. Avances et bats toi misérable insecte… je pense que tu dois être un Hyuuga non ? De tels yeux blancs ne peuvent mentir sur tes origines… Active donc ton Byakugan ! Montres moi ce pouvoir contre lequel je m’entraîne depuis longtemps déjà… viens danser avec moi dans le bal de la mort elle même ! Compagnie ! En avant !

Les ninjas de mon groupe militaire répondirent tous en cœur avant de former un large périmètre de combat circulaire cernés par leurs armes, afin d’éviter toute fuite de la part de l’ennemi, et de couvrir la mienne en cas de problèmes…
Ce petit insolent venait de me défier, il allait apprendre en quoi le Garuda était un démon terrifiant qu’il valait mieux y réfléchir à deux fois avant de le défier. Formant rapidement une série de mudra avec mes mains, je préparais ma première offensive.

-Katon, Kasumi Enbu no Jutsu !

Je crachais alors un épais brouillard d’un gris stagnant, épais et dangereux à la fois, promesses de mort et de terribles souffrances, un chemin flottant dans l’air qui allait conduire les flammes voraces d’un démon appelé destruction. Le brouillard semblait former des vagues qui s’étendaient sur tout le terrain, il était temps…
Je tendis les mains devant moi après une courte série de mudra… des flammes commencèrent à se former, des flammes violettes. Elles commencèrent à se répandre rapidement en l’air, devant moi…

-Garuda Fire !

Les flammes voraces pourpres et noires se mêlèrent alors au brouillard, ce qui donna naissance à une explosion redoutable, les flammes se propagèrent à une vitesse incroyable sur le sol et dans les airs, avalant tout ce qui étaient sur leur chemin, comme le souffle d’un redoutable dragon… ces flammes malfaisantes étaient redoutables et étaient incroyablement difficiles à repousser, et de plus, elles possédaient la capacité de ronger tout et n’importe quoi durant un long moment avant de disparaître d’elles mêmes. Les brûlures qu’elles engendraient étaient telles que la chair touchée par ces flammes pouvait subir des dommages irréparables. Dévorant tout sur leurs passages, elles devaient avoir frappées de plein fouet mon adversaire, tout en formant autour de lui une épaisse cage de feu qui allait le dévorer…

Résumé des actions :

Spoiler:

Spoiler:

ce week end, j'essai de poster Wink

j'éditerais ce message

Bon je vais paraître gonflant mais tant pis...

RE UP.
Car 3 semaines pour répondre, c'est ptêtre un peu abusé, même moi en ayant des exams, des blems irls et plus internet à mon appart, j'arrive à rp vite --' ( alors que je suis lent d'habitude )

Bah t'inquiète Eaquiqui, il va rep tôt ou tard, prend exemple sur moi et aou, on a de la patience ( surtout moi ) Combat : Eaque vs Yujoba Star3

Car dans ce monde, tout n'est que poussière, et ne deumeurera que poussière, car dans ce bas onde, d'imbécil se battant pour le pouvoir, rien de ce qui est réel ne peut faire changer l'homme d'objectif, Yujoba gardait la tête haute, ses pensées étaient enfoui si profondement que la vie elle même semblait s'être éteinte, dans cet âme en peine que possédait le ninja au byakugan. Il deumeurait immobil, mais bien conscient, presque même heureux. Tout n'est qu'abstret, rien de ce qui est réel ne m'arrêtera, rien, l'âme, l'esprit, son les seules véritable force... Cen'était pas lui de penser cela, mais son esprit, son âme, sa conscience changeait, pôur laisser place à la même, mais en plus sage. Son passé, il ne l'oublierai pas, bien au contraire, il allait se battre pour lui, un combat pour tester ses limites, un combat pour la puissance, pour la lutte acharnée d'une vie maudite, pour la survie, pour cette vie de chien ! Cette existence, il en la maîtriserait, cette vie, il en ferait son arme, son destin, il en fera son but, et son passé, sa vie ! Son présent n'était plus qu'un simple combat, car le présent c'est l'instant même. La plus grande détemination de ce bas monde était entre ses mains, imaginez, la puissance d'un ninja d'exeption, se battant pour ses buts, et pour la paix, non, pas une raison égoiste, bien au contraire, car personne ne le savait, mais ce but qu'il convoîtait tant, était le retour à l'air ancienne, soit une ère nouvelle pour les ninja tels que lui. Son esprit, embrouillé, passa u bonheur, à la haine, puis à la mélancolie. Tout cela ne dura que quelque minutes, et des actions se déroulaient à côté de lui. Mais, il ne pouvait sortir de ce pur état d'inconscience partielle. seul son âme était prisonnière, de ce qui semblait être des paroles... Les paroles d'un chien, les paroles d'un être qui ne méritait pas la vie, et qui se la verrai très bientôt oter, pour connaître les mêmes souffrances que les autres personnes. La torture devrait être son châtiment, ainsi que la douleur sans fin. C'est ce que souhaitait Yujoba, c'est ce qu'il désirait le plus, mais le destin en ferait peut être autrement. Quoiqu'il en soit, l'heure était au combat... Mais ces paroles, confuses, qui résonnait tels un écho dans sa tête, étaient plus attirantes que cet homme pitoyable en face de lui... Elles l'appelaient, et lui, il hurlait, il hurlait, sans s'arrêter. La douleur, de plus en plus intense, le rapproché petit à petit vers la mort, ou encore pire, la folie... Les larmescoulaient, mes il les voyait, dans son esprit. Des images horrible, une femmes égorgées, puis, lorsque le cohoc le fit rouvrir les yeux, le trouble de ces paroles les firent refermer. Mais comment un homme pouvait-il autant souffrir, et même les cris ne faisait rien à cette torture mentale. Mais soudain, ce fut le retour à l'origine, le retour à la genèse, la base de toute cette chienne de vie ! Dans une chambre, enfermé, ... Vous allait connaître ce moment, que personne ne connait, mise à part lui...

Une nuit, dans sa chambre, il fut troublée, et il sû qu'à partir de ce moment, cette soirée, une nuit sans lune, comme on dit, tout allait changer, sa vie allait être chamboulé. Il comprit que pour la survie, il devait enfin révéler sa véritable personnalité. Ainsi, alors qu'il était si angoissé, si triste, énervé, haineux, il changea, du tout au tout. Peu à peu, des douleurs physique s'instalèrent dans son corps, mais dans le fond, elles étaient mentales, pour laisser place à l'homme qu'il est maintenant. Avant cette trensformation, il était un ninja comme les autres, ou plutôt normal, car de nos jours, plus personne n'est normal. Il était souriant, il rigolait. Mais désormais, il avait laissé sa conscience propre prendre la place de l'ancienne. Il se trouvait dans sa chambre, totalement dévastée, en ruine, pour ainsi dire, et il pleurait, il criait, il ne comprnait plus rien. Mais au fil des jour, tout devînt normal, habituel, et sa personnalité était encrée à jamais. Il avait décidé de retser comme ça, d'oublier, mais en vain, du moins l'oubli.

Ses yeux s'ourvirent, et il était troublé. Cette après midi allat être particulièrement interressante pour lui. Son envie de combat revint en force, et après tout, il devait bien venger son Hokage !! Son village !! Mais cela n'était pas la raison pour laquelle il se battait aujourd'hui, en tout cas, pas la seule. Maisassez parler... L'air, le soleil, lui procuraient un bonheur fou, la chaleur était présente, pour sa joie, les oiseaux perchés sur les arbres ne chantaient plus, sentant le danger, et les actions se déroulèrnt très vite.

-Enfin un adversaire… Je suis Eaque, le juge du Garuda. Avances et bats toi misérable insecte… je pense que tu dois être un Hyuuga non ? De tels yeux blancs ne peuvent mentir sur tes origines… Active donc ton Byakugan ! Montres moi ce pouvoir contre lequel je m’entraîne depuis longtemps déjà… viens danser avec moi dans le bal de la mort elle même ! Compagnie ! En avant !

Ces pitayable paroles, pas dignes d'une personne qui souhaite vivre, il n'en avait pas tenu compte, à vrai dire, il ne souhaitait pas l'écouuter ni paroler dans l'instant précis, mais tester ses capacités avant. Une légère rotation de pied gauche avait suffit, pour se retourner d'un bond, et regrder les mouvement de ses enfoirés de garde du corps, encopre des ninjas pitoyable, qui ne savait pas ce qu'était un vrais combats. Certes, ils pourraient intervenir, Yujoba les auraient aussi appellé, seulement s'il était sur le point de mourir, mais de là à leur demande de l'encercler...

-Bande de chien, je vous tuerais tous. Vous savez ce qu'est un vrai combat, non, bien sûr que non, vous serez mort trop tôt ! Quant à toi, j'attend un combat digne de ce nom, tu m'entend ?

-Katon, Kasumi Enbu no Jutsu !

Toujours les mêmes techniques qui revenaient, katon, doton, et suiton... Il allait lui apprendre à se battre, mais il ne le sous-estimait pas non plus. Il cru un moment qaue ce brouillard était fa pour l'aveugler, et il se dit que son ennemi était vraiment un ignorant, mais il était spur d'une chose, un sort de feu allait être lancé. Les ninjas qui l'entouraient ne serviraient à rien, ils auraient vite fait de périr lors de ce combat qui s'annoncer destructeur.

-Le tourbillon divin aérien ! Kaiten aérien !

L'art des Hyûga... L'une des défense ultime, une défense quasi impénétrable, mais peut être queYujoba n'y avait pas mis assez de puissance. Il tourna ur lui même le chakra sortant à flot, et tournant avec lui, dans cette danse sublime inspirant la puissance de ce dôjutsu. Une sorte de dôme, tourbillon le protégea de cette attaque, sans lui, il serait sûrement dans un sale état, mais il n'était pas un ninja misérable, il se voulait une légende du moins, dans quelques années, ou même siècles, ou même jours, peu lui importait. Il se crispa, lorsqu'il sentit des flammes traverser un peu les paroi de son chakra, et il crut que celui ci allait être brisé dans cet élégent mouvement, significatif d'une défense extrême, mais sûrement pas la plus puissante. Il avait du sauter très heut des les airs pour effecteur cela, ce qui lui permis en fait, de ne pas avoir à subir les inconvénient du sol, il préféré ce qui n'était pas matériel. Il sentit des brulurees intenses, mais il redoubla ce puissant tourbillon, jusqu'à ce que l'attaque soit terminée. Ensuite, il retomba à terre, et sourit à son adversaire, car celui ci ne pouvait pas s'imaginer à quel point il réanimer le coeur de Yujoba, son esprit, sa joie, celle d'un combat intense en émotions, celle d'un combat épique. Il le remercia, simplement, et il s'étonna lui même. Ensuite, le chakra laissant des traces lorsqu'il avançait, à toute vitesse, sur son ennemi, il utilisa un style de combat bien pârticulier, le juken. Mais les brulures lui faisaient mal et il ne pu s'empêcher d'échapper une plainte grave. Il ten,ta d'asséner un up dans les muscle cardio vasculaire de son adversiare, ce qui signifiait soit la mort, soit un état critique s'il se faisait toucher. Ensuite, ill essaya d'en placer trois dans le bras gache de son adversaire, puis il tenta une balayette toujours à la jambe gauche.

-La paume du Hakke !

Il tenta cette technique juste après avoir asséner, du moins avoir essayer d'asséner une centaines de coup à son ennemi, ainsi, il serait plus déstabilisé. Il tenta une frappe de la paume;, donc, si puissante que ce "Guaruda" ou je ne sait quoi, aurait sûrent volé à plusieurs dizaine, voir centaine de mmètres, avant de s'écraser sur des roches, ou un obstacle.

ps: je ne dit pas que tu te prend mes attaque, à toi de faire en, srte quele rp soit réaliste. is moi si tu trouve que je me sors trop facilement de tes attaques, et désolé des fautes, de la petite longueur du texte, et aussi de la qualité très limité, mais je te remercie de m'avoir fait rp,; ça fait du bien, et bientôt, je serait entièrement libre pour rp !
-Garuda Fire !

Mission in rp:

[ Je serais que là comme spectateur de votre combat ^^. Comme zetsu lors du combat Itachi sasuke ^^. ]

Le Feu, un élément vital pour les hommes, un élément dangereux pour les hommes s'il est mal utiliser, mais aussi un élément très puissant. C'est l'élément du village de Konoha, on l'appelle souvent le pays du feu. Ils ont aussi une expression bizarre, d'après mes souvenirs cette expression est "la volonté du feu", qui disent que chaque ninja qui a cette volonté, pourraient défendrent le village jusqu'au dernier. Qu'elle blague ! c'est vraiment une histoire à dormir debout.
Depuis quelque jour, Kaims était parti du village de Oto pour surveiller Konoha. Cette mission pourrait peut-être tourner dans un bain de sang ou non. Cela dépends de la discrétion de celui çi.
Pourquoi maître Orochimaru veut surveiller Konoha, peut être il allait détruire le village ou peut être que non. On ne sait jamais ce qu'il pense, donc il est difficile à le comprendre.
Sur le chemin, un lapin était mort, il se trouver près d'un vieux arbre. Vous vous direz que ce n'est pas extraordinaire, sauf que ce lapin ne saigné pas, ni d'une mort naturelle. Il avait reçu un choc. Qui aurait bien pu faire ça ?.
Ce n'était pas tout, plus il continuait, plus le chemin devenait de plus en plus dévaster. Des arbres déchiquetaient, des rocher qui se trouver au milieu du chemin. Mais le plus mystérieux c'était un vieil homme, ses jambes étaient coincer par un arbre. Par miracle il respire encore, mais pour combien de temps ?

Kaims=>Que c'est t-il passait ici ?

Vieil Homme=>Un monstre.... un monstre est apparue et à tout dévaster, notre... village... est... est... Hreuh hreuh.

Kaims=>Et et vieil homme...

C'était la fin, le vieil homme venait de mourir.

Kaims=>mais que voulait -il dire, par monstre. Est-ce-que le village a été... Non impossible

Kaims court alors, vers le village, en prenant le passage des branches. Il était effrayer d'imaginer le village détruit. Qui aurait bien pu faire cela ? Qui est assez fort pour réussir cette exploit ?
Le chuunin s'arrête brusquement, il sait sûrement dit qu'il ne fallait pas qu'il soit repérer, sinon il n'aurait pas fait long feu. Kaims se met alors en haut de l'arbre pour observer le village, et là, oui là. Le village de Konoha n'était plus. Tout était que poussière est ruine. Plus aucune trace de ce village, comme si elle n'avait pas exister. La flamme du pays du feu va bientôt être éteint. Cet homme doit être extrêmement fort pour détruire ce village en un tât de ruine, plus puissant que maître Orochimaru, dont lui avait échoué.
Le Chuunin n'avait plus à faire dans ce lieu. Sa mission était terminer, mais tout à coup il entend quelqu'un criait. Comment il a survécu à cette attaque ?
Il fallait le voir, il pourra peut-être dire un peu plus sur cet événement.
Il arrivait près de la porte de Konoha dans une branche, caché des feuilles verte, car c'est ici d'où venait le cri. Mais ce n'était pas un ni deux, mais plusieurs. Déjà il y avait un avec un gags avec une armure noire, avec des ailes. Son armure était étincelante. C'était magnifique à regarder. Il était aussi entourer d'homme, cela doit être ses gardes et donc, il doit être un homme important et puissant pour avoir le privilège. Par contre, il était impossible de savoir d'où il vient, normal depuis cette distance. L'autre ninja avait des yeux blancs et d'après mes souvenirs, il fait parti du clan Hyuga, les maîtres en combat rapprocher. Ils peuvent battre un ennemi ou de bloquer le chakra avec un seul poing. Donc il y a beaucoup de chance que cet homme est du village de Konoha.
Ils ne sont sûrement pas ici pour discuter vue ce qu'il sait passer. C'était sûrement un combat, mais pas n'importe quel combat, un combat à mort. Il ne fallait pas rater cela, car ce combat pourrait peut-être changé l'avenir du monde.

kaims=>Quelle chance j'ai. Déjà que le village est détruit, mais en plus d'observer un combat de haut rang. On ne voit pas ça tous les jours.

Excuser moi de ce rp médiocre. Mais je n'ai pas trop d'inspiration depuis quelque temps, j'espère que je vais le retrouver ^^

HRP : j'ai l'autorisation de Sesshomaru de poster pour tenter de clore ce combat en faisant abstraction des erreurs énormes que Yujoba a commis dans son rp, surtout vis à vis des limites de son juken, et du nombre de chakra qu'il a consommé qui est bien trop conséquent par rapport à ses capacités.
Je demande à Saber ou Sesshomaru de donner son avis à la suite de mon rp pour savoir si je peux reposter ensuite pour exécuter mon adversaire qui n'a normalement, aucune chance de survivre ici. Je me suis même permis de dire qu'il subissait obligatoirement mon attaque, vu le cas qu'il représente, j'expliquerai pourquoi à la fin dans la description des actions.

Le feu… Artefact sacré, cadeau des dieux envers la race inférieure qu’ils avaient crées afin de leur donner le don de vie et de survie afin d’affronter plus aisément les adversaire les plus redoutables que la nature pouvait leur apposer, tel que les morsures profondes et sanglantes du froid hivernal lorsque le corps du monde vient parfois à se couvrir de ce manteau épais d’un blanc éclatant qui semble alors scintiller comme les milles facettes d’un diamant, ou comme les reflets azurés d’un pilier de cristal, donnant alors l’impression de voir le monde à travers un kaléidoscope d’une blancheur pure et impénétrable. Ce feu, tout d’abords symbole d’espoir et de renaissance, permettant de faire fondre le miroir sacré de glace qui s’était formé entre la dure réalité de la vie ancestrale, et celle du premier pas vers l’évolution, feu si sublime dans sa danse éternelle faisant mouvoir sur les corps l’entourant, un jeu d’ombres et de formes rappelant la chorégraphie d’une tragique pièce de théâtre où les formes torturées d’une armée de démons avançaient sur le centre de la scène, feu si puissant qui n’allait finir par devenir que l’arme de base dans ces guerres entres hommes, entres humains. Une arme que, comme tout homme, je maîtrisais à la perfection, invoquant sur le terrain cette flambée sépulcrale de flammes violacées aussi voraces que la gueule du terrible Léviathan, démon gardien de la porte des enfers qui avalaient ses victimes pour les envoyer dans le royaume des morts. Ce sont les larmes sanglantes baignées dans les lacs de sangs bouillonnants des enfers, le Pyriphlégéton, qui en son sein enferme à jamais à jamais dans un orchestre de hurlements et de souffrance, les violons de la déchéance jouant leur ultime symphonie, les âmes damnés de ceux ayant vécus dans le pêché de violence, les flammes sont comme ces tourbillons sanglants, comme la spirale de haine de ce lac maudit. Moi, juge suprême du Garuda, je me demandais si je n’étais pas une incarnation vivante de ce lieu maudit de destruction, car je ne vivais que par la violence, et la soumission d’autrui. Mais que peu m’importait réellement ce genre de choses, tant que je pouvais sentir entre mes doigts couler comme un filet d’eau limpide et scintillant, l’âme et la vie fuyante du corps de mon adversaire. C’était un sentiment qui donnait l’impression d’être grand, un sentiment enivrant, car c’était là la véritable signification du juge.
Le destin est une chose bien capricieuse …Après tout, tout être que nous sommes, tout homme que nous sommes, en tant qu’être vivant, nous possédons tous quelque chose qui fait que nous établissons aux yeux de tous notre identité propre, c’est quelque chose que nous avons tous en nous, car nous avons tous une part de mystère, d’insouciance, d’envie… et ce peu importe nos couleurs et nos rangs. Mais il y a une autre chose qui définit notre humanité, qui définit et trace le but de notre existence même en ce monde. C’est quelque chose qui nous pousse à avancer à toujours suivre ce sentier fermé qu’est le destin, le but de notre existence, la fatalité. Mais qu’est-ce que le destin ? Est-ce simplement une suite d’événements incontrôlables dont l’enchaînement fut décidé avant même toute chose et dont nul être en ce bas monde à la moindre emprise dessus ? Avant la naissance même de cet univers impitoyable ne laissant aucune place aux remords, et à l’interrogation sur ce dit destin ? Pourquoi est-ce un monde où notre destin est tout tracé que nous suivons, un monde où seul la mort et la tristesse et se côtoient ? Un monde où la joie ne trouve sa place que dans la tristesse et la souffrance et inversement … c’est ce chemin qu’on appelle destin.
Mais tant d’interrogations ne peuvent qu’amener à d’autres interrogations. C’était comme une boucle reliée par les deux bouts, un cercle vicieux, tel un immense labyrinthe qui n’aurait qu’une seule et unique issue, une simple porte, mais une porte fatale qui amenait à franchir de nouvelles portes, qui elles mêmes nous mèneraient vers de nouveaux labyrinthe plus compliqués encore, qui aboutiraient enfin sur de nouvelles portes … et ainsi de suite, des labyrinthes dans d’autres labyrinthe formant eux même un immense labyrinthe retraçant toute notre vie jusqu'à arriver à la porte finale, la porte de la demeure de la Mort elle-même, notre fin.
Mais dans cette fatalité sans fin, cette inlassable quête du destin, il y avait une chose qui nous permettait de nous défaire un tant soi peu de l’écrasante pression qu’exerce sur nos épaules le fardeau du destin qui nous maintenait dans le chemin tout tracé de notre vie, et ce peu importe quelles étaient nos choix, nos pensées, les dilemmes qui s’offraient à nous nous tourmentant, jalonnant ce monde impur de souffrance, et semant ce chemin d’obstacles et autres péripéties. Des péripéties semblables aux portes des labyrinthes façonnant notre destin. Ces obstacles représentent les choix que nous faisons dans nos vies, ces choix qui suivent le tracé de notre destin.
Mais il y a une chose de sûre, malgré ces faits, ces choses qui nous dominent, et ce chemin tout tracé pouvant varier d’un moment à l’autre, tel les remous du corps d’un serpent, il y avait toujours une question, cette question remettant en cause le fondement de toute vie qui se posait inéluctablement à nous, un jour ou l’autre, à chaque être vivant, peu importe sa race, sa couleur ou son rang, c’était cette question qui revenait perpétuellement nous hanter et saccager nos esprits.
Mais quelle est cette question ? Il vient toujours un moment, qui s’impose à nous et peu importe nos réticences, notre peur et notre état d’esprit, s’oppose à nous, comme un adversaire, un adversaire d’une telle puissance que l’idée de le combattre est une chose difficile à concevoir, mais cet adversaire, c’est nous.
En effet, qui sommes nous, où allons-nous, et pourquoi ? Pourquoi existons-nous et quel est le but de notre existence ? Pourquoi sommes-nous sur terre, et quel est le destin qui nous incombe ? Cela revient à redéfinir toutes les bases de ce monde, des bases qui seront forcément différentes selon la personne qui les définit, car nous sommes tous différents. Réussir à découvrir la vérité derrière ces mots est un rêve que beaucoup de personnes en ce monde tentèrent en vain de percer, que tant de personnes tentèrent de caresser, la vérité derrière la vérité. Ne serai-ce qu’un mensonge ou une pure folie ? Car s’interroger sur ces fondements revient aussi bien à se demander ce qu’est l’univers dans sa toute puissance, dans toute son immensité. C’est une question qui touche beaucoup trop de choses, elle était pour certains impossibles à résoudre, c’était une chose que seul les plus sages pouvaient résoudre.
Mais chez certains, cette question se limite seulement à un univers, le sien, son propre microcosme. Cela ne se définit qu’à sa propre personne, un être unique ? Dans ce cas la question est peut-être plus simple à résoudre. Nous cherchons alors à savoir d’où nous venons et le but précis de notre existence et ce qui l’anime. Car telle est notre nature, celle de remettre en cause tous les fondements. Car l’évolution ne se base-t-elle pas sur les questions que nous nous posons ? Sur ces questions qui nous font remettre toute chose en question pour mieux l’étudier et la comprendre ?
Mais cette quête incessante de la vérité absolue entraîne un tout autre problème.
C’est un obstacle qui peut se révéler être fatal, insurmontable, signant alors la fin de tout, a être confronté à ses peurs, et en périr. C’est reconnaître une chose que nul homme ne peut accepter, que nul homme ne veuille affronter, sauf ceux qui décident d’eux-mêmes de ne plus jamais vouloir souffrir.
Ainsi, trouver la réponse à ces interrogations ne serait-il pas le moment où tout se finit, où La mort viendrai elle même nous chercher, pour nous extirper à ce monde, nous retirons alors le fardeau de cette incessante quête d’absolue vérité et de fondement.
Mais lorsqu’une âme est assez puissante, il se peut que celle-ci en ressorte grandit et s’élevant au dessus des autres pouvant ainsi à suivre sa quête de réponses.
Ce sont ces personnes qui peuvent regarder le monde avec fierté en sachant pleinement que la plus grande des batailles a été gagnée, le plus terrible de tout les obstacles à été bravé, le cheminement de toute une vie, et ainsi, regarder droit dans les yeux cet immonde être qu’est la Mort, s’approchant d’elle et acceptant son jugement sans peine, ressentant à chaque instant son râle effrayant, lorsque celle-ci décidera de se pencher sur nôtres cas et de nous enlever à ce monde, nous emmenant dans sa propre demeure.
Mais parfois, la réponse était trop complexe, et toute une vie ne permettait pas d’y répondre, et dans d’autres cas, la solution ne se résumait qu’en une seule et simple phrase.
Une seule phrase qui résumait toute une quête, toute une vie de recherche et de bataille, c’était l’accomplissement de son destin.
Le destin, était donc l’instrument des dieux, et dans une moindre mesure, des puissants, et en ce jour, moi juge du Garuda, qui sentait bouillir en mon corps les flammes pécheresse de la violence et du plaisir à la destruction, je venais de prendre le choix d’orienter le destin de cet homme vers une seule issue, celle de la mort, la porte finale du labyrinthe qu’était sa destinée.

Alors que les flammes du Garuda commençaient à dévorer son corps, le jeune homme, le jeune Hyuuga qui allait subir la guillotine du jugement du Garuda, les flammes de la destruction commencèrent à tourbilloner pour former ce qui semblait être une sphère. Ainsi, pour ne pas finir dévorer par la gueule béante du démon enflammé qui l’attaquait, il venait de lancer ce qui semblait être un kaiten aérien, mais il était trop tard, car une telle technique ne pouvait étendre les flammes, et surtout car elles avaient déjà apposés leurs marques sur son corps, il gaspillait son énergie en vain.
Faible créature que ce sont les hommes de bas rangs… Puis, au milieu de ces mêmes flammes, un autre style de tourbillon se dessina, en effet les flammes s’arquaient en formant un demi cercle, ce qui signifiait qu’il courait à travers les flammes à grande vitesse, probablement pour tenter d’atteindre mes ailes, moi.
Alors qu’il arrivait vers moi, je m’écriais dans un sursaut de joie :

-Tu me lances un défi ver de terre ? Soit, moi le Garuda accepte de mesurer la puissance de mes ailes aux tiennes !

Puis, il était sur moi, un filet de chakra bleuté filtrant de ses doigts, il utilisait donc le juken, technique des membres du clan Hyuuga, techniques que ma propre chef maîtrisait et dont je connaissais les secrets grâce à ses propres informations. Mais cet idiot avait-il simplement calculé le fait que j’étais un adversaire bien plus solidement bâtit que lui, et surtout, couvert d’une cuirasse monstrueuse ?
Non, apparemment non, et il venait donc de se ruer lui même dans la gueule béante de l’oiseau mythique que j’étais, attendant sournoisement le moment de le happer afin de déchirer sa chaire entre son bec sinistre, répandant alors dans une gerbe de sang les larmes du désespoir. Le premier coup que tenta de porter cet insecte insolent visait ma poitrine, il voulait probablement tenter de porter une attaque qui aurait pour effet d’entraîner un choc cardiaque dangereux… mais c’était une nouvelle preuve de la bêtise de cet homme sans cervelle, le juken ne consistant qu’en une simple projection de chakra, ce qui n’était pas suffisant pour produire ce genre d’effets, seul l’impact pur de la paume de la main était apte à produire ceci en compressant le point d’impact, mais sa main ne put que s’écraser dans un bong sonore sur l’épaisse cuirasse de mon surplis du Garuda. Les 3 coups suivants furent identiques, d’une faiblesse ahurissante, n’entraînât pourtant que de simples démangeaisons à mon corps à travers l’épaisse carapace dont je me vetîssais. Puis, au bout de la 5 ème attaque, jugeant qu’il était temps d’en finir, je tendis rapidement les bras en avant alors que son coup frappait à nouveau ma cuirasse puis :

-Galactica Illusion !

Ma technique suprême. Elle envoyait au cerveau ennemi une puissante illusion le plongeant rapidement dans un néant absolue, où les yeux de la déchéance posait sur lui leur regard soutenue afin de juger ses propres faiblesses, tandis que, d’un geste rapide, je projetais l’ennemi une bonne centaine de mètres au dessus du sol. Les Hyuuga sont connus pour avoir un champ de vision portant quasiment sur 380 degrés, ce qui faisait qu’il ne pouvait absolument pas esquiver cette technique, il subirait donc à coups sur cette illusion. Directement après avoir projeté cette illusion, j’injectais du chakra dans mes jambes pour porter la seconde étape de l’attaque, me déplacant alors à une vitesse telle qu’aucun humain sur terre ne pouvait me voir me déplacer, ainsi, en quelques dixièmes de secondes, je me retrouvais derrière mon adversaire qui lançait une attaque de masse devant lui, je le saisissais alors sous les bras à la même vitesse prodigieuse et le jetais en l’air de toute la puissance qu’étaient capable mes bras dans cet état.
Le corps prisonnier de l’illusion de mon adversaire commença à disparaître dans le ciel au fur et à mesure que son ascension continuait, puis, je traçais rapidement une croix au sol et m’en éloignait tandis que les flammes du Garuda s’approchaient dangereusement de la zone.
3 secondes plus tard, une explosion assourdissante retentit, il venait de s’écraser sur la croix, et les flammes du jugement venaient quémander leur du en infligeant de nouveau leur redoutable morsure vengeresse.

Résumé des actions :

Spoiler:

Explications :

Spoiler:

Etat :

Spoiler:

Vu le combo effectuer (et les grosses fautes commises par Yojoba plus haut) sans compter qu'en RP sa colle parfaitement, en prenant en compte les niveau de puissance effroyable différents qu'il y a entre un junin et un bras droit. ( Et l'inactivité de ce dernier)

Pour moi il n'y a plus rien a redir sur ce rp, Yujoba est bel et bien Mort.

Bien, merci Saber, je reserve donc encore la place pour un dernier post, afin de l'achever, et de récupérer quelque chose sur lui ^^
J'ai aussi édité personnellement ma jauge de chakra et de pv pour les mettre à jour suite au combat.

Waaahouuu ça suck xD, mais bon, je suis pas mauvais joureur, du moins, j'accepte la défaite, mais bon, si tu veut, si j'ai pas pû corriger mes erreurs, c'est que en ce moment, j'ai plus trop accès à l'ordi, et que j'vait d'autre priorité au niveau des forum, dont le mien.

après ton post, je ferai un post de mort, et je ferai un autre persnnage, je serais toujours Yujoba Hyuga, mais avec une présentation de qualité supérieure, et voilà, donc bon, beau combat, je suis désolé de ne pas avoir respecter lapersonne avec qui je fait ce rp, hein eaque... Ben oui, je mettais toujours trois semaines pour poster, mais quoi qu'il en soit, on va terminer ce combat dans les règles de l'art, avec mon post de mort^^

lorsque tu aura posté, je veut ben que tu m'evoi un MP s'il te plaît.

Et oui, j'avat utiliser trop de chakra, mais bon, je faisait pas gaffe, bref, on se refera un petit rp dans un futur proche, et je serais là, je te ferais pas attendre.

Juste pour dire que le post est en cours, je réponds dès que je peux =)

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» Demande de Combat de Madara