Mission de Kami : Combattre des bandits

Kami continuait se petite promenade en traversant les paysages de ce monde si merveilleux et mystérieux à la fois.

Spoiler:

Cette fois il se trouva dans une plaine, toujours inconnu à Kami, cette plaine était traversé par un rivière en son centre, il y a avait deux trois maisons de pêcheurs au alentour mais elles semblaient inhabitées. Kami devait absolument réussir sa mission qui était de faire exploser un bâtiment, mais il n’allait pas se rabaisser à faire sauté une vulgaire cabane en bois.

Il était environ midi si on se réfère à la hauteur du soleil et Kami commença à traversé cette plaine d’un pas lent tel un escargot portant sa maison sur son dos. Kami n’avait pas envi de se presser surtout après le rude combat contre les ninjas de Konoha dans les montagnes avec son frère d’arme Aurion. Rien de notable pendant les 2 premières heures. Il arriva à la rivière, elle était d’un bleu clair assez pâle, on pouvait distinguer les poissons à l’œil nu tellement l’eau était transparente.

Grrrrrrrrrrrrrrrrrroooooooowwwwwwwwwww

Comme le dit si bien le ventre de Kami, A TABLE ! Kami sortit 3 scalpels et embrocha 4 poissons qui n’eurent même pas le temps de comprendre ce qu’ils leur arrivaient. Et oui 4, car 1 scalpel avait tué 2 poissons d’un coup ! 4 – 0 pour Kami ! clap clap clap….
Kami fit un feu de camp et mit les poissons à cuirs, il s’assit sur le rocher à coter du feu et commença à méditer. Puis fatiguer il s’allongea et mit son chapeau sur sa tête de façon à cacher les violents rayons du soleil, en parlant du soleil Kami mourrait de chaud, et oui le noir absorbe la lumière, et Kami, je vous le rappelle, est habillé tout en noir ! N’en pouvant plus il retira son manteau noir, sa cravate et ….. non pas son pantalon, désolé mesdemoiselles, après on risque de me censuré ma magnifique mission. Bref il se dévêtu et s’allongea regardant le ciel si beau et cruel à la fois, c’est ce que pensé Kami, un bleu aussi beau à voir mais si inaccessible, Kami tendit la main en direction du ciel, un bleu si fantastique dans lequel vos rêve se réalise, mais pourquoi ne pourrai on pas l’atteindre ? Le destin des hommes est si cruel, si pénible, voir la beauté du ciel mais ne pas pourvoir l’atteindre tel est le destin de l’Homme planté sur Terre et ne pouvant que voir, sentir, toucher, entendre, goûter et penser. Puis Kami réfléchi au comportement de l’Homme. A quoi bon être au sommet de la chaîne alimentaire si ce n’est que pour dominer ? En quoi l’Homme est t – il si différent des animaux, il est aussi barbare parfois que les lions, aussi primaire que les singes et n’est même pas fichu de voler tout seul par ses propre moyen. L’Homme à l’air bien stupide en réalité.
Kami réfléchi de nouveau silencieusement … Mais c’est dans ce silence profond qu’il entendit des cris sauvages.

« A mirt l’itranger ! Pirite ! Bandit ! »

Kami regarda au loin et vit une troupe composée d’une dixième de paysans, ils avaient l’air furieux et devaient faire partie de la paysannerie du pays en raison de leur vêtement gris et déchiré à moitié pour certain. Alors qu’ils approchaient, Kami remit ses beau habits et attendit patiemment le groupe de râleur qui avançait assez lentement. A quelques mètres les paysans s’arrêtèrent, certain avaient peur mais l’un d’eux dit courageusement de sa voix tremblante :

« A…a…alli vi en ! S….ss..sauvage !”

Kami répondit de manière à ne pas faire peur à ces gens du bas peuple :

« Puis-je savoir en quoi ma présence vous déplais ? Et c’est moi que vous traité de sauvage ? Vous ne vous êtes pas vu …»

Les paysans se regardèrent les uns les autres, ils ne semblaient pas comprendre ce qu’avait dit Kami et l’un d’eux dit tout haut :

« Qua c’est qui dit ? »

Kami réfléchi et reprit sa phrase avec des mots plus compréhensible pour la bande d’illettré :

« Pourqui jvous fait chie ? »

Le groupe de résistants se regardèrent de nouveau et une femme prit la parole :

« Vi ni fites pis parti des bandit ? »

Kami ne comprenais pas du tout ce qui se passait, il pensait que la paysanne connaissait les déserteurs et même le bingo book, mais après réflexion il se dit que le terme bandits ne désignait pas les déserteurs mais de véritables bandits qui sévissent dans la région, car après tout Kami ne pouvait être si connu même si il possédait un réseau d’information très influent….

Kami répliqua : « Neni ji suis a voyigeurs »

Les paysans furent surpris par ça réponse et il y eu 1 minute de silence, sûrement le temps que la phrase de Kami leur arrive au cerveau. Un Homme, qui semblait être le chef de la petite troupe car il semblait très âgée et respecté, me fit mine de les suivre.
Kami parcourra avec les paysans la plaine et arrivèrent dans une petite vallée où se trouvait un petite village. Le village était au bord d’une rivière et entouré par une muraille de bois assez solide, au centre, des petites maisonnettes construites en bois et en paille pour le toit, autour du centre se trouvait plusieurs petits cabanons un peu moins élaborés, qui avaient étaient construit à la va vite. Le vieille homme, et chef de ce village expliqua que depuis 4 jours des bandits ravagent la région et détruisent touts les villages qu’ils rencontrent, et ce village est l’un des derniers mais ils se sont préparé à lutés contre ces bandits . D’après les rescapés des différentes invasions, ils formeraient une troupe d’une vingtaine d’homme, très bien armée et surtout ils étaient tous sur des chevaux, ce qui est rare dans la région et qui donne un avantage sur les pauvres paysans. Les cabanons construits autour du centre étaient destinés pour les villageois des villages sinistrés. Le vieille homme dit à Kami que les assaillants devraient arrivés dans 2 jours et que toute l’aide était la bienvenue. Le vieillard n’osait pas lui demander mais il souhaitait que Kami aide les villageois à se défendre contre ces pillards. Kami ne voulait pas et souhaitait rentré le plus vite possible au campement des déserteurs afin de se reposer et reprendre des forces mais le bon coter de Kami pris le dessus et il accepta. Kami voulait connaître les hommes qui allaient se battre à ses coter et voir ainsi leur courage leur motivation et leurs forces. Le petit vieux fut ravis de voir qu’une nouvelle recrut rejoignait ses rangs. Il conduit Kami à la caserne du village, lieu où se trouvait la milice qui devait protéger le village, les autres paysans ne savaient pas se battre. Il y avait là une trentaine d’hommes assez costauds et armées, il portait un casque de fer protégeant ainsi les attaques au niveau du crane, une petite armure très basique qui leur protéger le torse et chacun possédait un arc et une épée. Kami fit connaissance avec les gardes du village qui allaient risquer leurs vie pour leurs compatriotes autour d’une bonne bière et d’une bonne parti de cartes, contrairement au bas peuple, les militaires parlait une langue assez compréhensible pour Kami . Parmis eux , le capitaine de la milice, Baltimor, très bon joueur et grand soldat. Il expliqua à Kami que les villages de se secteur ne possédaient aucune milice même pas de soldats pour les défendre, car cette région était isolée de tout conflit et de toute guerre, une contrée pacifique ou il fait bon de vivre, les bandits avaient sautés sur l’occasion. Sa petite troupe et lui même avaient été envoyée par le (la) Mizukage afin de régler le problème mais le (la) Kage avait sous-estimé la force des barbares et avait envoyé ses soldats au casse pipe !

Kami logeait à la caserne, la caserne était le seul bâtiment assez imposent du village, accolée à la palissade elle était fabriquée avec de la pierre et était assez vaste. Elle comprenait une cour avec des cibles afin s’entraîner pour le maniements de l’arc et des épouvantails assez solide dans le but de s’exercer au maniement de l’épée. Il y avait des douches communes, un dortoir commun et le bureau du Capitaine au centre de la caserne. Kami regarda attentivement les courageux soldats qui s’entraînés puis il se fonda dans le moule, il commença à s’entraîner à l’épée puis à l’arc, certes il n’était pas très doué mais les autres soldats le considérait comme leur frère d’arme. Finalement il finit l’entraînement avec ses scalpels, on ne change pas les bonnes habitude. Il se lia d’amitié avec tous mais les pluma tous au poker ou au autre jeux très jouer au camps des déserteurs.

La nuit tomba….

Kami faisait parti de la troupe à présent et autour du feu cette nuit là il écouta la vie de ces soldat aussi longue soit elle. Ils avaient vécus de nombreux périls mais ne semblaient pas fatigués. Le lendemain, Baltimor, le capitaine organisera le plan de défense afin de repousser les bandits. Il était temps d’aller se coucher, demain encore entraînement ! Kami couchait lui aussi dans le dortoir commun, la pièce était rempli de hamacs mais Kami préféra monté la garde toute la nuit plutôt que de dormir dans un dortoir rempli de ronfleurs !

Cocorico !

Le matin venait de se lever et Kami alla dans le bureau du Capitaine avec les 2 sergents afin de connaître le plan. Le plan était simple, les 2 sergents protègeraient la porte, et le capitaine appuierait le mur en cas de brèche, Kami demanda avec qui il devait aller. Le Capitaine s’avança devant Kami en disant d’une voix grave, comme si quelqu’un venait de mourir :

Je suis désolé Kami mais nous savons que tu es un déserteurs. Je vais te parler en ami, cela n’empêche pas le fait que je te considère comme un vaillant soldat mais auprès du Mizukage cela pourrai mettre toute la troupe en prison voir la peine de mort. Mais on n’a décidé que tu serai le seul à conduire les villageois hors du village. Tu les conduira dans les plaines avec l’aide des carrioles construits la veille. La tu trouvera un fort militaire ou se trouvent plusieurs ninja de Kiri, ne te fait pas remarquer mais dépose les paysans là bas, il seront en sûretés, on compte sur toi.

Je comprend totalement votre choix capitaine mais pourquoi ne pas venir avec nous ?

Baltimor reprit du même ton que précédemment :

Nous avons appris que la troupes de bandits avait presque triplé, nous n’avons aucune chance pour les arrêter hors mit le fort à l’est des plaines, mais ils arriveront bientôt et si nous voulons sauver les habitants nous devons les retenir.

Puis il ajouta d’une voix grave et autoritaire tel un vrai militaire :
La discussion est close, sergent Kami veuillez partir immédiatement, votre mission, sauver la vie de ses villageois au péril de la votre !

Kami pensait : « je suis monter en grade ? Je ne vous décevrai pas Capitaine ! »

Kami parti de suite pour le fort à l’est accompagné du village tout entier, ils marchèrent toutes la journée et un peu avant la nuit on commença à entendre les bruits du fer ainsi que des cris venant du village où Kami se trouvait il y a à peine quelques heures. Mais il devait oublier ce qui se passait en ce moment ….
2 heures plus tard, ils virent le fort au loin mais Kami laissa les paysans y aller seul, de peur de se faire attraper par des ninja de Kiri.
Parmis les différents villageois, l’un d’eux, un éleveur, avait pris ses animaux dont 4 chevaux. Kami pris l’un des chevaux et repartit en direction du village, l’animal galopa si vite qu’il mit 3 fois moins de temps pour arriver au fleuve, là où se trouvait le village, où du moins se qu’il en restait. La muraille de bois n’avait pas encore été détruites car les soldats les repoussaient avec leurs arcs, de nombreux bandits gisaient au sol, et presque aucun soldat de kiri n’étaient morts. La raison était simple, les premiers bandits envoyés étaient des barbares recrutés récemment et donc ils ne possédaient aucune protection solide face au flèches.

Malheureusement on pouvais apercevoir au loin l’armée de bandits, eux très bien équipée qui allait arrivés, Kami profita de ce moment pour se dirigé vers la porte du village et ainsi entré dans l’enceinte de la forteresse en bois. Kami vit les deux sergents et le capitaine, à la vu de Kami les hommes avaient compris que les paysans étaient en sécurités, leur tactique allaient changé, le but maintenant n’était plus de résisté mais de fuir afin de sauver le plus de soldat possible. Mais la horde de pillards avançaient vers les murs, Baltimor savait que nous ne pourrions pas fuir à pied, il ordonna donc aux deux sergents ainsi qu’au soldats les moins gradés de partir vers la caserne au sud du village, il chuchota à l’un des sergents quelque chose et il partirent. Il ne restait plus qu’un tiers de la petite troupe devant les portes.
Le capitaine ordonna à Kami de rejoindre les autres mais le déserteurs refusa fermement d’abandonné son camarade deux fois !
Le sol tremblait, des bandits à pied armée d’une armure et d’épée en fer commencèrent à attaquer la porte, la violence des coups fit céder la porte, de nombreux pillards entrèrent, le combat allait commencer, Kami sortit ses scalpels et commença le combat, il remarqua un défaut dans l’armure des mécréants, le cou n’était pas du tout protéger, Kami tua 4 d’entre eux en visant dans leurs coups, mais un homme arriva devant Kami est se prépara à donner un coup d’épée, le déserteurs ne pourrait paré l’attaque avec des scalpels, Kami esquiva mais le barbares repris son épée et recommença de plus belle, cette fois Kami ne pourrait pas l’éviter, mais heureusement Baltimor planta son épée dans le coup de l’homme, il avait sauvé Kami, il lui lança une épée pour qu’il se défende, le capitaine et Kami furent aussitôt dos à dos entouré par 6 hommes assoiffés de sang, le premier arriva vers Baltimor, le soldat se baissa, Kami se retourna et lui envoya 2 scalpels dans la gorge, le second arriva vers Kami alors qu’il lançait ses scalpels et Baltimor lui planta son épée dans le ventre tout en passant sous le bras de Kami. Les deux corps tombèrent au sol et les 3 autres bandits arrivèrent en même temps sur nos deux compagnons, un coup d’épée arriva sur Kami qui le para avec l’épée donné précédemment, le bandits occupé par Kami se fit tranché la gorge par le capitaine. Les deux amis étaient en mauvaises posture et les 2 autres hommes arrivèrent, impossible de paré cette fois si et l’assaut des deux hommes allaient être redoutable, mais 8 flèches arrivèrent dans le dos des deux hommes, c’était les autres soldats. L’assaut était finis mais on pouvait apercevoir de nombreux corps aussi bien soldats que pillards, du sang à perte de vu, des têtes, des bras, des mains, des jambes disloqués un peu partout, un vrai champ de bataille.

Un cor retentit, la cavalerie allait arriver, il ne restait plus que 6 hommes sans compter Kami, le capitaine ordonna de nouveau au « sergent » de partir et de rejoindre les autres à la caserne, Kami ne voulait pas mais il regarda dans les yeux de son capitaine . Il ramassa en vitesse ses scalpels et il commença à courir vers la caserne. Kami passa devant le bâtiment de stockage des explosifs, il ne restait rien excepté des notes explosives et du fil, quel coïncidence, Kami posa 3, 4 pièges et repartit en direction de la caserne.

Arrivé à la caserne, un des deux sergents été là, deux chevaux se tenaient derrière lui. Kami avait compris que le capitaine ne reviendrai pas. Il monta sur son cheval, le sergent également et partirent par une porte de secours qui se situait derrière la caserne, il partirent vers le fort.

A mis chemin on entendit plusieurs explosion venant du village, les pièges avaient bien marché, le restes des survivants avaient attendu leur 2 sergents et le petit groupe partit sans se retourner et chacun avait un pincement au cœur. Lorsqu’ils arrivèrent en vue du fort Kami fit ses adieux, rendit l’épée qu’il avait, l’un des sergents lui expliqua que c’était l’épée du capitaine, il ne la quittait jamais. Les camarades se séparèrent car un déserteur et des soldats ne pouvait pas aller ensemble tel est la dur loi de ce monde. Kami repartit vers d’autre terres lointaines mais il ne pouvait s’empêcher de penser à Baltimor, mort en héros. Sa vie ne serai plus jamais la même….

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